Chère lectrice, cher lecteur,
L’un des plus grands scandales sanitaires de l’histoire récente s’écrit en seulement 6 lettres : P.R.O.Z.A.C.
Un groupe de chercheurs, de médecins et de lanceurs d’alerte a raconté dans un livre, « La vérité sur les médicaments » [1], le coup d’état réalisé par l’industrie pharmaceutique avec ce médicament antidépresseur, et d’autres, appartenant tous à la catégorie des ISRS (Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine).
Honnêtement, je pense que vous n’allez pas croire ce que vous apprêtez à lire.
Ce qui s’est passé est tellement aberrant, tellement fou, qu’une réaction parfaitement normale est de contester cette réalité.
Tout est pourtant rigoureusement vrai, documenté, et j’indique bien sûr les références au bas de cette lettre pour que vous puissiez aller vérifier par vous-même.
Epidémie de…crimes
Mais d’abord, avant d’aller plus loin, il nous faut faire un détour par la rubrique…des faits-divers :
- 14 septembre 1989 ; Joseph Wesbecker, ouvrier au chômage, entre dans l’imprimerie Standard Gravure de Louisville (Kentucky) avec une Kalachnikov à la main et arrose ses anciens collègues avant de se suicider. Bilan 9 morts, 12 blessés graves ;
- 15 mars 1996, Waterbridge, Cornouailles. Reginald Payne, enseignant à la retraite, étouffe son épouse avec un coussin. Il laisse un mot sur le réfrigérateur où il conseille à son fils de ne pas entrer dans la chambre du couple, puis va se jeter d’une falaise de 60 mètres de haut ;
- 27 juillet 1997. 23h30. Matthew Miller, 13 ans, claque la porte de la maison familiale du Texas après que son père lui a demandé d’aller se coucher. Le lendemain matin, ses parents le retrouveront pendu à un crochet de linge dans la salle de bains qui jouxte leur chambre ;
- Wyoming, février 1998. Donald Shell, un homme de 60 ans décrit par ses proches comme « charmant » exécute froidement sa femme, sa fille, et sa petite-fille de 9 mois en leur tirant plusieurs balles dans la tête avant de se suicider ;
- Columbine, Colorado, 20 avril 1999. A 11h19, deux lycéens de 18 ans, Eric Harris et Dylan Klebold, commencent à tirer sur leurs camarades. Ils tueront 13 personnes, feront 25 blessés graves, avant de s’enfermer dans la bibliothèque et se faire à leur tour sauter la cervelle.
Vous allez me demander : quel est le rapport avec la santé ?
Il se trouve que ces drames ont plusieurs points communs : ils ont été commis par des personnes « normales », dont l’entourage n’avait absolument pas imaginé un quelconque passage à l’acte violent, et qui TOUS…avaient pris peu de temps avant des antidépresseurs ISRS.
Ces médicaments agissent sur la sérotonine, un neurotransmetteur par lequel les neurones communiquent entre eux (transmission des pensées ou encore des instructions aux autres organes du corps).
Leur rôle est donc d’empêcher le cerveau de « recapturer » la sérotonine qu’il produit, c’est-à-dire de la ré-absorber.
Ils contribuent ainsi à maintenir un niveau plus élevé de sérotonine entre les neurones.
L’augmentation du taux de sérotonine extracellulaire qui en résulte s’opposerait au déficit supposé exister dans le cerveau des personnes…déprimées.
Et voilà comment ces médicaments, parmi lesquels on trouve le Zoloft, le Deroxat ou le Luvox et bien sûr le premier d’entre eux, le célèbre Prozac, ont été massivement prescrits aux personnes souffrant de dépression.
A l’origine du succès, les arguments de vente du laboratoire Eli Lilly, qui a affirmé que le Prozac et sa nouvelle molécule (la fluoxétine) ne présentait pas d’effets secondaires indésirables, contrairement aux antidépresseurs de première et seconde génération.
Un mensonge éhonté. Qui est passé comme une lettre à la poste.
Pour cacher la vérité, utilisez…des mots compliqués !
Dès février 1990, un article écrit par des chercheurs de Harvard faisait en effet état de cas d’akathisie provoqués par le Prozac [2].
Akhatisie ? Ce mot compliqué désigne simplement une agitation extrême accompagnée de pensées meurtrières, suicidaires.
La personne ne tient plus en place, éprouve un sentiment de dépersonnalisation, et devient la proie d’impulsions violentes qu’elle peut mettre à exécution de sang-froid.
« Ce phénomène avait déjà été observé dans les années 1950 chez des patients hypertendus à qui l’on avait donné de la réserpine, un des premiers antipsychotiques également utilisé comme antihypertenseur.
« Plusieurs de ces patients s’étaient suicidés alors qu’ils ne souffraient aucunement de dépression. »
« Or voici qu’on retrouvait le même phénomène chez des personnes prenant des médicaments antidépresseurs » [3].
Ou sinon…sortez le maquillage, comme avec une voiture volée
Très vite, des cas nombreux et similaires de suicides ou de crimes commis sous Prozac furent signalés un peu partout.
En 1990, Eli Lilly était déjà sous le coup de 44 procès !
« La Food & Drug Administration organisa une audition publique où des parents de victimes vinrent décrire de façon déchirante comment leurs proches avaient commis ces actes insensés alors que rien, sinon leur médicament, ne pouvait les expliquer »[4].
Cela ne servit à rien.
Le laboratoire répondit le plus tranquillement du monde que la « suicidalité » et les actes hostiles chez les patients prenant du Prozac reflètaient le trouble du patient et non une relation causale avec le Prozac.
Il faudra attendre 10 ans pour qu’une étude du britannique David Healy, professeur de psychiatrie à la faculté de Cardiff, sur des volontaires en bonne santé mentale montre qu’on pouvait provoquer chez eux des pensées suicidaires en leur administrant un médicament ISRS [5].
Le cas de Traci Johnson, jeune femme de 19 ans qui s’est pendue dans les locaux du laboratoire Eli Lilly lors d’un essai clinique sur un autre antidépresseur, le Cymbalta, allait confirmer ce constat [6].
Dans le test, elle faisait partie de la cohorte de cobayes volontaires qui ne souffrait pas de dépression.
La prise du médicament la conduisit pourtant au suicide.
Cette fois, le laboratoire expliqua que la jeune femme avait caché sa dépression pour entrer malgré tout dans groupe d’essai, pour des raisons financières.
Là-encore, le mensonge est passé.
Car en réalité, les dirigeants de l’entreprise connaissaient parfaitement à ce moment-là les risques du Prozac (et du Cymbalta).
Les extraits d’une réunion datant de 1978 (dix ans avec la commercialisation du médicament) sont publiés dans le livre « La vérité sur les médicaments ».
C’est édifiant :
« Il y a eu un assez grand nombre de signalement d’effets indésirables (…) Un autre patient dépressif a développé une psychose (…) On a signalé de l’akhatisie et de l’agitation chez certains patients.
« Certains patients sont passés en quelques jours d’une dépression profonde à de l’agitation ; dans un cas, l’agitation a été notable et il a fallu interrompre le médicament (…) Dans les études à venir, on permettra l’usage de benzodiazépines (sédatifs) pour contrôler l’agitation »
Il faut se rendre compte de ce que signifie concrètement cette dernière phrase hallucinante :
L’agitation causée par l’antidépresseur allait désormais être masquée à l’aide d’un tranquillisant, dans les études futures du laboratoire !!!
…Comme on maquille une voiture volée.
Ni plus, ni moins.
Mais tout n’était pas si « facile ». D’autres fois, il faudrait au laboratoire encore plus d’imagination dans le mensonge. Encore plus de cynisme.
Rien ne se perd, rien ne se crée, mais tout…s’achète (surtout les experts) !
Lorsqu’Eli Lilly déposa une demande de mise sur le marché auprès de l’agence allemande du médicament, en 1984, les évaluateurs refusèrent : « Durant le traitement avec le Prozac, il y a eu 16 tentatives de suicide, dont deux réussies. Etant donné que les patients à risque de suicide avaient été écartés des études, il est probable que cette proportion élevée peut être attribuée à une action du Prozac. »
Le lien est évoqué noir sur blanc. Il est franchement difficile d’être plus clair !
Mais cela ne décourage pas un laboratoire qui sent la bonne odeur du profit.
La direction américaine suggéra alors de « maquiller toutes les références à la « suicidalité » du Prozac dans les documents soumis à aux autorités allemandes. »
Là-encore c’est écrit noir sur blanc dans les mémos internes de la société, que le Pr. Healy a exhumé sur son site internet [7]. Instruction est donnée de maquiller les études.
Et le pire, c’est que ça marche : le Prozac finira par être autorisé en Allemagne.
On sait aujourd’hui grâce au témoignage d’un ancien cadre dirigeant d’Eli Lilly, que la même stratégie a été employée en Suède [8]. Cette fois par le biais d’une corruption active.
En échange d’une somme d’argent, un « expert » membre de la commission de santé suédoise, a volontairement truqué un rapport sur le Prozac pour présenter le médicament sous un jour…beaucoup plus flatteur.
Ainsi, au lieu de la formulation initiale :
« Sur 10 personnes ayant pris le principe actif, 5 eurent des hallucinations et firent une tentative de suicide, dont 4 avec succès »,
L’expert a écrit :
« Dans le cas d’un des sujets de cet essai, tout s’est passé comme prévu, une perte de poids a été relevée chez les 4 autres. Les 5 derniers ont présenté divers effets secondaires ».
Le mot qui fâche, celui de « suicide » ne se trouvait plus nulle part dans le rapport [9]…
Et quand ça ne suffit pas…
L’importance d’employer les bons mots, d’autres laboratoires en étaient eux aussi parfaitement conscients.
Dans une étude destinée à montrer l’efficacité du Deroxat chez les enfants et les adolescents, le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) remplace le mot « suicidalité » (risque de suicide) par « labilité émotionnelle », et les patients arrêtant le traitement pour cause d’agitation extrême sont désignés sous l’appellation brumeuse de « non-observance »
Et quand ça ne suffit pas, on change les morts de colonne !
Ainsi les laboratoires GSK et Pfizer (fabricant du Zoloft) ont inclus dans le groupe prenant un placebo des cas de suicide antérieurs ou postérieurs à l’étude, afin de masquer statistiquement le nombre supérieur de cas de ce genre dans le groupe qui prenait un antidépresseur.
Dans un cas, GSK a même attribué au groupe placebo un suicide survenu après l’étude chez un patient quant prix entre temps du Prozac [10].
« La vie des gens, résume le Pr David Healy, tient parfois à peu de choses. Le Prozac reçut son autorisation de mise sur le marché en 1987. Lilly et les autres labos continuèrent pendant 15 ans à nier le caractère « suicideur » de leurs médicaments tout en gardant par-devers eux les études internes qui montraient clairement le contraire ».
Et l’appétit allait leur venir en mangeant. Puisqu’on autorisait leur médicament, pourquoi ne pas en donner au plus de gens possibles ?
En octobre 2002, voici ce qu’un porte parole de GSK osa déclarer HAUT et FORT à la télévision britannique :
« Si nous pensons que le Seroxat (Deroxat, Paxil) doit être mis à la disposition des enfants ? Absolument. 2 % des enfants. 4 % des adolescents vont développer une dépression. Les risques de suicide sont particulièrement élevés chez les adolescents ».
« Nous avons l’obligation de mettre nos médicaments à la disposition des patients qui en ont besoin. Les adolescents sont parmi les patients qui ont le plus besoin d’antidépresseurs ».
Cette année-là, 2,7 millions d’antidépresseurs avaient été prescrits à des enfants de moins de 12 ans, et 8,1 millions à des adolescents, alors qu’aucune mention de risque de suicide ne figurait sur la notice du médicament…
En 2009, un avertissement contre les risques de suicide fut inséré dans la notice d’utilisation du Zyban, un médicament utilisé dans le sevrage tabagique, mais PAS dans celle de l’antidépresseur Wellburtin, alors qu’il s’agit rigoureusement de la même molécule, le bupropion.
Bilan global de ce millefeuille de mensonges, de cynisme et de corruption : le Pr David Healy a estimé à plus de 40 000 suicides sur les 40 millions de personnes ayant pris du Prozac depuis son lancement…
Bien sûr, je ne dis pas que les antidépresseurs chimiques ne peuvent pas avoir leur utilité dans les cas extrêmes ou sur des périodes courtes, utilisés avec la plus attentive des surveillances médicales.
Mais honnêtement, qui peut se satisfaire d’une telle situation ou affirmer qu’on ne peut rien y changer ?
Un autre monde est-il possible ? OUI !
Pas moi. Car il existe une autre face à cette réalité.
Dans le cas de la dépression, il existe des traitements naturels qui ont été scientifiquement évalués, et qui montrent une efficacité ANALOGUE, voire supérieur, à l’antidépresseur chimique.
Sans présenter aucun effet secondaire.
Cette lettre est déjà longue, mais on peut tout de même signaler quelques études édifiantes pour ceux qui sont intéressés par le sujet (je vous renvoie aussi à une lettre précédente à retrouver en cliquant ici).
D’abord, si les patients sous antidépresseurs témoignent d’une amélioration de leur humeur dans les 6 à 8 premières semaines de leur traitement, il faut savoir que les tests montrent la même amélioration chez 80 % des patients qui se contentent d’un placebo [11].
Conclusion, l’effet de l’antidépresseur est à peine meilleur que celui d’un faux médicament…
Une autre étude, « randomisée en double aveugle » a quant à elle montré que l’huile essentielle de lavande (sous forme de capsule, prescrite à deux dosages de 160 mg et 80 mg) a été plus efficace que 20 mg de paroxétine (Deroxat) [12].
Autre exemple avec la luminothérapie, une technique qui consiste à s’exposer à une lampe qui émet des rayons lumineux très puissants pendant quelques minutes chaque jour (10 000 lux au moins).
Des chercheurs canadiens ont rassemblé 150 patients souffrant de dépression modérée ou sévère, et les ont traités de manière aléatoire pendant 8 semaines avec, soit un traitement de luminothérapie (30 minutes par jour), soit un placebo, soit, soit un médicament ISRS (Prozac).
La luminothérapie seule a permis à 43,8% des malades de ne plus ressentir de symptômes dépressifs, contre seulement 19,4% dans le groupe qui prenait l’antidépresseur seul [13].
Ouvrir en grand les portes de sa vie
Enfin, je voudrais conclure avec une expérience hors du commun, conduite en Islande à la fin des années 1990, et qui devrait faire réfléchir ceux qui veulent gaver enfants et adolescents d’antidépresseurs.
A cette époque, la jeunesse islandaise était traversée par une crise profonde, un mal-être se traduisant par une surconsommation de cannabis et d’alcool par rapport aux autres pays européens [14].
Face à cela, les autorités ont choisi d’investir non pas dans la distribution massive d’anxiolytiques ou d’antidépresseurs, mais dans un programme fondé sur le « rétablissement d’une plus grande proximité des parents avec leurs enfants ».
Cela comportait un volet « répression », avec la mise en place d’un couvre-feu pour les mineurs, le report de la majorité de 16 à 18 ans, l’interdiction de vente de tabac et d’alcool aux mineurs etc.
Mais ce programme insistait surtout sur autre chose : l’importance pour les parents et les enfants de passer du temps ensemble.
Pour cela, le gouvernement a notamment proposé des subventions pour des activités sportives ou de plein air pratiquées en famille (foot, pêche, bowling, etc).
Près de vingt ans après le début de ce programme, le pourcentage des jeunes déclarant avoir bu au cours du mois précédent a été divisé par huit, ceux qui fument du cannabis sont trois fois moins nombreux et les fumeurs réguliers ont pratiquement disparu.
Passer du temps ensemble en famille…voilà le remède.
Dérisoire ?
Peut-être pas tant que ça, à notre époque où la connexion permanente à un écran, à un métier, à un réseau social déconnecte autant de personnes du réel, du présent, du sensuel.
Préparer le dîner en famille, évoquer sa journée, se promener ensemble, cultiver le beau, le dépassement de soi, les amitiés sincères etc…Pas grand chose en apparence, et pourtant ces comportements obtiennent sur l’anxiété, le stress et la confiance en soi des résultats formidables.
Ils permettent de retrouver l’ancrage, la présence à sa vie.
Ils ré-ouvrent en grand les portes du monde que les antidépresseurs avaient fermé.
Santé !
Gabriel Combris
Sources :
[1] « La vérité sur les médicaments », sous la direction de Mikkel BORCH-JACOBSEN, Pocket.
[2] Anatomy of an Epidemic, de Robert Whitaker
[3] Sous la direction de Mikkel BORCH-JACOBSEN, op.cit.
[4] id.
[5] Antidepressant drug use & the risk of suicide, D. Healy et al., NCBI, juin 2005
[6] https://www.nytimes.com/2004/02/12/us/student-19-in-trial-of-new-antidepressant-commits-suicide.html
[7] David Healy, Leat them eat Prozac. www.healyprozac.com/Trials/CriticalDocs.
[8] John Virapen « Effets secondaires : la mort ».
[9] https://www.sante-corps-esprit.com/prozac-histoire-secrete-casse-siecle/#sources
[10] David Healy, Leat them eat Prozac. www.healyprozac.com/Trials/CriticalDocs.
[11] http://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/1151020
[12] Kasper S, Gastpar M, Müller WE, et al. Silexan is effective in generalized anxiety disorder – a randomized, double-blind comparison to placebo and paroxetine. Int J Neuropsychopharmacol. January 23, 2014:1-11. [epub ahead of print]. doi: 10.1017/S1461145714000017.
[13] Raymond W. Lam, Anthony J. Levitt, Robert D. Levitan, Erin E. Michalak, Rachel Morehouse, Rajamannar Ramasubbu, Lakshmi N. Yatham, Edwin M. Tam. Efficacy of Bright Light Treatment, Fluoxetine, and the Combination in Patients With Nonseasonal Major Depressive Disorder. JAMA Psychiatry, 2015
[14] https://www.huffpostmaghreb.com/2017/03/31/islande-jeunes-prevention_n_15722342.html
Merci Mr Combris, j’ai pris des IPP plus de/40 ans (suite a 2 ans de traitement R.A.A.) en 77. J’ai refusé de continuer a prendre cet
inexium depuis pres de 4 ans car je n’avais aucun mieux (on m’a répondu : vs préférez un “trou” a l’estomac) .En janvier 18 une
tension art. à 23 m’oblige au cotriatec et au kardegic 75 et l’estomac reprend ses misères. J’ai bien noté vos conseils et je vais m’en
;
tenir . Merci de vos bons conseils, ils correspondent mieux à mes souhaits Danielle M.
Merci pour votre information incroyable !
Je me demandais si vous aviez des informations sur le Risperidone ou Risperdal. J’ai un fils autiste qui en prend depuis un peu plus de 10 ans. Il va avoir 27 ans bientôt. Depuis qu’il prend ce médicament, nous, sa famille n’avons observé aucune amélioration mais plutôt plein d’effets secondaires plus que secondaires !
Il a eu des crises d’epi, il est potomane, il ne supporte pas bien la lumière et a besoin de lunettes de soleil.
Nous avons remarqué que lors d’une crise d’épilepsie, nous ne lui donnions pas de Risperidone et son attention et attitude en général avait changé il était plus présent plus dans la communication.
Actuellement, et depuis mai 2018, le Risperidone est diminué très progressivement de – 0,1 ml tous les deux mois, environ. Ça se passe plutôt bien. Il est question après l’arrêt total du Risperidone de mettre en place le traitement Burinex. Pour ce médicament j’aimerais savoir si vous avez des études fiables.
Nous vous serions reconnaissants d’avoir des études sérieuses sur ces médicaments. Risperidone et Burinex.
lisez le livre ETRE ET NE PLUS ETRE AUTISTE. Magnifique témoignage d’une canadienne qui a pu guérir ses enfants autistes. Toute est expliqué.
Divshisweet@gmail.com
Cher Monsieur Combris, vous avez parfaitement raison, comme toujours !! Mais que faire ? Si la famille vous traite comme un chat des rues, remplir votre assiette et ouste dehors. Si personne, ni vos parents ni vos frères et soeurs ne jouent avec vous parce que vous êtes plus jeune, donc pas intéressante. Que votre mère vous répète que vous êtes BÊTE, que si vous voulez lui poser une question et que la réponse est une gifle à toute volée, que votre soeur fait la même chose puisque la mère ne dit rien…. Que votre père et votre frère vous ignorent d’un air supérieur. Que faire quand vous avez 6 ou 8 ans ? Je suis sous Prozac depuis 40 ans mais j’essaie de diminuer avec 15 gouttes de Noctigem gc11 bio et 1 seul prozac. A 1h du matin, vaincue par l’insomnie j’en prends 1 autre ……
Bonjour.. Vous parlez de remèdes naturels pour soigner la dépression.. Mais quels remèdes ??? Merci
j’ai tentéle 5HTP……JE VOMISSAIT les prescriptions…alors mon médecin m’a recommandé le 5HTP…..
Où peut on trouver la liste des médecins confirmés soignant avec les huiles essentielles… en particulier dans la région Rhône-Alpes ? Merci!
n’arrivant pas a obtenir le formulaire de réponse :voici 3 remarques
1: le Stablon me parait de loin le plus dangereux;devrais etre retiré du marché
je ne dis pas que les autres sont innocents!
2 cela relance encore le probléme des armes aux USA:aggravant les drames
3 j’ai été la plupart du temps épargné par une intolérance totale.
retrouvée chez de nombreux patients
Pour la tension informez vous sur le jeune qui règle tout ce qui est dû à notre mode de vie moderne changez d’ alimentation, Vegan p.ex. Et pour les aigreurs d’ estomac il y a le jus de pomme de terre cru qui agit comme un cataplasme. Sur YouTube vous avez moultes vidéos Informatives dans ce sens.
Merci Gabriel
votre article est édifiant et magnifique!
Ouvrons en grand notre chance d’être en vie et prenons la nature comme “médicament”
Anne Vouiller, association Le Saint Jardin
Bonjour Monsieur Combris, je vous ai envoyé un chèque de 348 euros pour l’abonnement au cercle des docteurs libres, le 20 février. Depuis ce jour, je n’ai aucune nouvelle, ni de la réception du chèque, ni de l’abonnement.
Pourriez vous être assez aimable pour me dire ce qu’il en est.
Par avance, je vous remercie.
Cordialement
Françoise Huber
Bonjour, j’ai transmis votre message à notre service client qui va vous contacter.
Merci de votre patience !
j’ ai pris du prozac ,il y a plusieurs années ,résultat en faisant mes courses dans une grande surface que je connaissais bien ,je me suis perdue !
impossible de me souvenir où j’ étais ,je ne me retrouvais pas dans les rayons ,c’ était très angoissant ,le médecin (généraliste) qui me l’ avait
prescrit n’ a pas été étonné
Un livre est paru à cette époque “prozac le bonheur sur ordonnance ” édifiant
Je l’ai échappé belle : il y a une quinzaine d’années, un médecin a trouvé que comme je souffrais de fibromyalgie, je devais prendre un antidépresseur, il m’a prescrit du Cymbalta que j’ai pris pendant un an. Je ne le supportais pas, j’avais des malaises et finalement il a fini par me dire que cette saleté venait d’être retirée de la vente en Belgique.
Merci beaucoup pour cet exposé plein de vérités et de bon sens.
Il serai temps que la recherche soit menée par des gens honnêtes et véritablement soucieux de la santé publique et non de celle de leur porte monnaie.
Il est certain que si on ne peut seul changer la société, on peut se changer soi-même et décider comme Voltaire: “J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé”.
Quoiqu’en pensent nos politiques véreux (pour beaucoup d’entre eux) et nos scientifiques corrompus ou fainéants (c’est du travail les études en homéopathie ou dans d’autres thérapeutiques alternatives), les résultats obtenus sur les problèmes psychiques par les médecines alternatives et même par l’activité physique sont nettement supérieurs à ceux des médicaments chimiques et en plus sans les effets secondaires désastreux de ces derniers.
merci pour vos infos sur le reflux gastrique, la lithotamne je ne sais pas comment la prendre, j ai du curcuma en poudre de la réeunion, je pense que c est bon ? sinon j ai une prépa homeo et je maintenant je fais avec du bicarbonate officinal après les repas
MERCI
Personnellement je n’ai jamais pris de PROZAC. Par contre un de mes collègues en a pris à la suite d’une dépression. Ce fût pour lui une catastrophe. Sa mentalité avait complètement changée et il était devenu violent verbalement et physiquement avec des moments ou il prenait tout à la “rigolade” ce qui lui a posé de gros problèmes professionnels. Je me souviens que le médecin du travail lui avait octroyer un arrêt de travail avec soins psychiatriques !!! Il est resté absent pendant plus d’un an.
Quelques années plus tard, notre médecin traitant avait prescrit à mon mari du Prozac en indiquant que les effets variaient d’une personne à l’autre et qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Au bout de 2 semaines mon mari s’est rendu qu’il n’était plus lui-même. Son bien-être et son caractère étaient en contradiction avec ses obligations professionnelles, … il a donc arrêté le traitement.
Finalement relaxation et homéopathie ont été efficaces car il s’agissait d’un état dépressif lié à une surcharge de travail.
Mon médecin me trouvait trop nerveuse et il m’a prescrit du Lexomil. je dois vous dire que je ne soigne pratiquement jamais avec de l’allopathie mais c’est par curiosité que j’ai voulu essayer et je n’ai pas été déçue. On m’avait prescrit 2 cachets j’en ai pris la moitié d’un et heureusement. J’avais l’impression que mon âme et mon corps étaient séparés. je me sentais extrêmement bizarre, détachée de ce qui m’entourait. j’ai bu bcp d’eau afin de faire disparaître cette cochonnerie. J’ai fait de la spasmophilie et je me suis soignée avec un succès fulgurant avec gelsenium et Ignatia en 9 ch 10 gr de chaque trois fois par jour et au bout de très très peu de temps (quelques heures) . Je soigne également mes chats avec l’homéopathie et qu’on ne me dise surtout pas que c’est de l’autosuggestion.
Il n’y a pas que le Prozac qui provoque des drames. mon cousin était sous LEXOMIL. Il s’est pendu et il avait 41 ans.
Il est inutile de se cacher derrière un médicament qui ne vous guérura pas. . Il ne faut JAMAIS prendre ces médicaments. il faut affronter courageusement les problèmes et essayer de les résoudre. Il faut garder sa pleine conscience pour faire face et ce n’est pas en se cachant derrière ces cochonneries qu’on résout ses problèmes.
Les dépressifs ne manquent pas de courage, bien au contraire ! Et n’oublions pas que ce sont eux les premières victimes !
Tous les malades sont obligés de faire confiance en leurs médecins. Si on n’a pas confiance, on se tourne vers un autre médecin… qui n’est pas forcément plus fiable.
Le problème vient de cette confiance que tous (médecins et patients) ont dans les médicaments. Ils pensent que les médicaments vont résoudre les problèmes. Ce qui est totalement faux bien sûr. Là, c’est aux médecins de faire leur travail, à la fois de communication et d’information avec le patient, et de mise en place d’un protocole de soins, médicamenteux et psychologique.
Comme l’explique bien Gabriel, les médecins allopathes eux-mêmes n’ont pas les bonnes informations sur les médicaments. Comment pourraient-ils communiquer et informer correctement leurs patients ?
Ce système de santé, très perverti par l’argent car dominé par les laboratoires pharmaceutiques, rend des situations complexes sans solution, sinon celle de se tourner vers d’autres médecines.
J’en ai pris durant des années mais je me sentais pas bien ,voir de pire en pire,j’ai donc arrêté et pris d’autres médicaments
Je peux juste dire: QUELLE HORREUR !! Tout ça, juste pour du FRIC !!!
le fric de Big Pharma est secondaire, il s’agit avant tout de la prise de pouvoir progressive de ceux qui les dirigent (en sous-main, pas officiellement) sur tous les aspects de notre vie, car c’est le même topo dans toutes sortes d’autres domaines comme l’alimentation, la consommation, le logement, la finance, l’administration, etc
Article très intéressant, merci pour l’information, et vive la pensée positive et relativisons tant que c’est possible !
SUPER MERCI POUR CES INFORMATIONS QUI REMETTENT LA VIE A SA JUSTE PLACE
Bravo a vous et continuez a dénoncer comme vous le faite ces escroqueries monstrueuses des labos et la complicité de agences des médicaments ;
Laisser croire que la famille est une panacée ne me semble pas très professionnel vu le nombre et la variété des cas de souffrance mentale liés justement à la famille. Mais les médicaments dénoncés sont des drogues plus ou moins dures donc bravo pour le reste du texte.
Bien sûr, il y a des familles toxiques et elles le resteront (je viens de l’une d’entre elles, je sais de quoi je parle). Mais pour la plupart des familles, c’est le manque de savoir-faire qui est en cause, pas leur bonne volonté. Le manque de communication s’installe de façon insidieuse mais n’est pas toujours irréversible. Tout le monde n’est pas pervers !
Bonjour ! Je viens de lire votre article et je peux aussi vous signaler que mes tentatives de suicide se sont faites sous Prozac. Effectivement, il enlève les inhibitions. Quand je pense que certains médecins le prescrivent encore……..
Je me bats contre la dépression depuis des lustres et je me tourne depuis plusieurs années vers des méthodes alternatives. Cependant, pour l’instant, je lutte encore contre ce “chien noir” comme disait Churchill avec des antidépresseurs.
Merci pour vos recherches avec des médecins afin de pouvoir VRAIMENT se soigner avec les méthodes naturelles.
Il y a plus de 10 ans de cela, à Nanterre, un “fou” prend une mitraillette et tire à bout portant bon nombre de conseillers municipaux en pleine réunion communale. Je me rappelle avoir entendu sur France Info le récit du drame. Ils dirent que le délinquant était sous Prozac. Une heure après, puisque les mêmes disques repassent régulièrement, j’invite une amie à écouter cela sur le bulletin d’informations. Les mêmes paroles étaient prononcées, ils avaient juste remplacé un mot en disant que le délinquant était sous anti-dépresseur au lieu de nommer le coupable qui s’appelle Prozac.
Bonjour, juste un partage d’expérience: Il y a 20 ans, j’ai pris du PROZAC pendant 2 mois car sinon je ne pouvais plus assurer la fin de l’année scolaire dans le collège où je faisais un remplacement de maternité. C’était pleinement consenti de ma part et préscrit par un psychiatre, et efficace. Il était évident qu’après je n’allais plus jamais mettre un pied dans un tel établissement, plutôt donner des cours aux adultes – je n’avais tout simplement pas les nerfs assez solides. Et je suis sortie du traitement bien sagement et progressivement. Seul hic: Je n’avais certes pas des envies de meurtre mais … un contact sexuel qu’autrement je n’aurais sûrement pas consenti, même si j’y ai pris du plaisir – ainsi qu’une gonorrhée, vit réprimée aux antibiotiques. Il était sûr que je n’allais plus prendre un tel médicament sans raison grave -tout en assumant ce qui s’était passé. Car c’était vraiment comme si un filtre était sauté dans mes comportements, et le résultat en aurait pu être bien plus grave.
Avez vous vu ce documentaire récemment sur les anti douleurs prescrits aux USA qui rendent les personnes très rapidement totalement dépendantes ! C’est édifiant et terrifiant !
Merci beaucoup pour les dernières lignes qui mettent en valeur la relation humaine en activité; c’est par elle que j’ose passer pour ne pas avoir à béatifier la pharmacie qui se dévergonde à son profit.
je suis sous prozac depuis 25 ans et heureusement pour moi je n’ai pas eu d’envie suicidaire ni de mettre.
j’en prends toujours 1/2 comprimé par jour et cela me donne une pêche d’enfer gaité, joie de vivre et surtout je ne pleure plus
les personnes de mon entourage me trouve entonne forme et ne savent pas que je suis sous Prozac
je prends également de l’inexium pour mes remontées gastrites et je n’en ai plus c’est quand même plus agréable
je convient que pour certains personnes cela est nocif mais pas pour moi, j’en suis très satisfaite
Arthur HERMAN de Liège
Il aura donc suffit de sauver, grâce à la chimie, un enfant inguérissable pour que tout le système se mette en place.
Maintenant, la chimie médicale nous empoisonne par respect des principes.
Merci pour ce message et surtout pour sa magnifique conclusion.
Message salvateur. Merci pour tous ceux que ça aidera.
mon mari est diabétique, hypertendu, insuffisant cardiaque et rénal (entre autres pathologies) sous dialyse 3 fois/semaine; parmi ses nombreuses prescriptions médicamenteuses, il prend du pantoprazole, dès qu’il l’arrête, il a de terribles vomissements acides. Il se sent pris au piège et ne sait comment s’en sortir. un ami lui a conseillé de prendre un peu de gomme arabique diluée dans un verre d’eau pour apaiser les brûlures dues aux remontées acides. Qu’en pensez-vous? Que conseilleriez-vous à une personne dans sa situation?
En vous remerciant par avance
Helene
Bonjour, je prends aussi du pantoprazole ; j’ai essayé d’arrêter, mais j’ai de terribles remontées acides… je prends parfois du gaviscon après les repas. Et j’ai vu sur le notice que ce n’est pratiquement que du bicarbonate ; je vais donc me mettre à ce bicarbonate, mais j’ai peur ; ça fait si longtemps que je suis avec ce médicament !
Je suis aussi sous Cymbalta depuis plusieurs années, je remercie ma bonne étoile de n’avoir pas eu de soucis, mais maintenant, je me pose des questions sur certains accidents et sur mon manque perpétuel d’énergie…. Si je prends de la lavande à la place, comment faire la transition, comment m’en sortir ?
Et pour finir, je prends des médocs pour dormir. Olala ! Comment puis-je trouver un médecin naturopathe ???
Bonjour,
Je ne peux m’empêcher cette fois de faire un commentaire. Je ne prends plus de médicaments chimiques depuis 13 ans. Je peux pourtant vous dire que j’ai pris du prozac pendant des années et que je n’ai jamais eu envie de me suicider ni de tuer quelqu’un mais que, au contraire, si je suis toujours vivante c’est bien grâce au prozac.
Depuis ma jeunesse je suis victime de crises d’angoisses et d’attaques de panique. On m’a d’abord administré des intraveineuses de calcium, puis des cures de vitamine D et de magnésium, rien n’y a fait ! ensuite je suis passée aux anxiolytiques et aux antidepresseurs. J’ai pratiqué la sophrologie, vu divers thérapeutes et même un psychiatre, ce dernier m’a annoncé: “Je ne peux rien faire pour vous, vous avez parfaitement analysé la situation, vous avez toutes les clés ! ” D’accord mais il ne m’a pas dit où se trouvaient les serrures !
En 1980, lorsque j’étais à Paris j’ai eu l’occasion de suivre un séminaire qui m’a changé la vie et qui m’a permis de passer 5 ans sans crise mais il a suffit d’une période particulièrement stressante pour que ma bête noire (mon autre moi avec lequel j’ai du mal à cohabiter) me retrouve et c’était reparti ! Mon fils, mes soeurs, mes neveux sont atteints de la même “tare”.
Ceux qui parlent de cela en disant qu’il suffit de se secouer n’ont certainement jamais subit ces crises et seuls ce qui l’on vécu peuvent comprendre et combien de fois à ces moments là j’ai failli sauter par la fenêtre ou me jeter sous une voiture, pas par envie de mourir mais seulement pour que ça s’arrête et c’est le prozac qui m’a tirée d’affaire. Mon but a toujours été de m’en défaire dès que possible et j’ai réussi mais les rechutes arrivent souvent à cause de gros stress qui durent longtemps. C’est ainsi qu’après 13 années de paix je reprends du prozac.
Ce n’est pas avec plaisir que j’ai accepté le verdict de mon médecin qui me traitai avec ignatia amara et gelsinium, mais cette fois cela n’a pas suffit et pourtant, croyez moi, j’aurais préféré m’en passer ! Je l’ai ressenti comme un echec et j’ai eu honte en allant à la pharmacie.
Alors, si vraiment vous êtes certain que des gellules de lavande vraie peuvent remplacer le prozac, je ne demande pas mieux et vous demande de me dire où on peu les trouver et quelle en est la posologie et COMMENT FAIRE LA TRANSITION
Merci!
Bonjour
Il y a plusieurs années on m’a prescrit du PROSAC, je devenais agressif, j’avais des douleurs dans la cage thoracique, des réveils dans la nuit, a heure fixe , au bout de huit jours j’ai donné l’ordre au ” spécialiste” de me donner autre chose .J’ai refusé de continuer à en prendre .Les problèmes ont disparu après l’arrêt du “prozac .
Je signale qu’Abilify m’a posé de gros problèmes j’ai refusé de continuer à le prendre.
Depuis 2 ans je refuse de prendre tout médicament, je ne me porte pas plus mal, au contraire j’ai même perdu du poids .Je n’ai aucune confiance dans les “autorités “de santé et big pharma .
Ce qui est décrit dans cet article ne me surprend pas du tout, je dirai même qu’il me rassure si je puis dire.
Avec l’un de mes enfants j’ai été confronté à ce problème. Soigné avec certaines de ces molécules, pendant 2 ans après une longue hospitalisation pour dépression, mon fils manifesta ce que vous dérivez et aucun médecin ne voulait bouger le traitement. J’ai du lourdement insister, dire qu’il y avait non assistance à personne en danger et là enfin un médecin a accepté de le ré hospitaliser pour revoir le traitement, mais cette fois dans un autre établissement. Le médicament en question a été supprimé dès l’arrivée dans ce nouvel établissement et tout est rentré dans l’ordre en à peine 1 semaine. Mais malheureusement ce fait est totalement nié par les prescripteurs initiaux.
A qui faire confiance, quel médecin trouver aujourd’hui dans le domaine de la psychiatrie,
Là est vraiment tout mon questionnement,
Vous souvenez vous du jeune pilote allemand qui a crashé son avion contre la montagne en France, tuant tous les passagers et lui-même? Eh bien il prenait des anti-dépresseurs à l’insu de son employeur. Comme d’habitude ils ont tout fait pour qu’on n’en parle pas, pour que les effets néfastes de ce médicament ne soient jamais connus. Son père cherche toujours à comprendre le geste de son fils. Les sentiments, les émotions de ce jeune pilote étaient complètement inhibés par les médicaments. Il faudrait enfin que cela se sache.
Bonjour,
Mon époux porte un stent depuis 2008 (suite à cançer de la prostate, rayons, traitement antihormonal etc.)
Ses médicaments (a vie, selon les médecins) sont les suivants; PLAVIX, CARDENSIEL, TAHOR et INEXIUM remplacé depuis quelques années par OMEPRAZOLE.
Comme (paraît-il) le PLAVIX est très agressif pour l’estomac,, il doit prendre de l’OMEPRAZOLE. Si mon époux oublie sa prise, il se retrouve avec des brûlures d’estomac horribles d’autant plus qu’il a une ulcération de l’œsophage.
Pourriez vous me donner votre avis et au besoin, des conseils?
Je vous remercie infiniment.
Le professeur Irving KIRSCH (Université de Hull, GB) a publié un livre grand public en 2010. – qui a totalement changé la profession dans le monde anglophone. Une version française fut rapidement publiés par Music & Entertainment Books -qui a fait faillite l’année d’après. Si l’on voulait préserver le juteux marché des antidépresseurs en France, on ne se serait pas pris autrement. Heureusement, Mosaïque Santé a racheté les droits et l’a publié: sous le titre “Dépression – Le mensonge des antidépresseurs… Et les vraies pistes de guérison”. TOUT Y EST !!!
Bonjour,
Adepte depuis pas mal de temps des alternatives à la médecine conventionnelle type HE, plantes médicinales, bio authentique, etc, je suis pourtant en désaccord avec l’injonction concernant les antidépresseurs, Prozac en particulier: ma fille de 27 ans bipolaire +++ a eu la vie sauve à plusieurs reprises grâce au Prozac dans le cadre de dépressions profondes au cours des quelles seule la mort aurait été une délivrance dans sa souffrance mentale et son ressenti de ne servir à rien à part être un boulet pour les autres !!!!
Ce traitement n’est intervenu qu’en situation d’extrême urgence à trois reprises depuis ses 18 ans ( pendant 5 mois à chaque fois) , et m’ont fait relativiser mon avis au sujet de ces médicaments.
BONJOUR,
merci pour cette lecture qui metdes mots sur des evemenets ou sur des situations merci
au sujet des produits naturels contre le R.G.O (autre sujet abordé dans un autre courriel qui dirige sur cette page pour commentaires :
Où peut-on se procurer les ingrédients proposés (HE Gingembre HE menthe (laquelle?) et HE de lemongrass racine de réglisse gélules de lithothamne, depuis l’Etranger (suis en Thaîlande) ? MERCI PAR AVANCE
j’ai un RGO du a un péristaltisme de l’oesophage presque inexistant .
Je ne prends plus d’IPP depuis 1 an ,j’ai une bonne alimentation bio.
Mes douleurs rétrosternales ont presque disparu, mais j’ai encore beaucoup de flatulences.
Que faire?
merci d’avance pour votre réponse.
DR
Je mange une branche de brocoli cru lorsque je souffre de l’estomac et la douleur disaparâit.
Je mange une branche de brocoli cru en cas de douleur d’estomac pour la faire passer. Aprèsplusieurs fois, ça marche toujours
La famille est peut-être un antidépresseur pour vous, mais je ne connais rien de plus déprimant.
Bonjour, ma petite soeur c’est suicidée en 1978 suite à ça j’ai fait une dépression “” que je n’ai pas soignée dons pas pris au sérieux””. Il est évident que quelques années plus tard j’ai réellement fait une grave dépression au point de ne plus savoir manger boire ou respirer oui vous avez bien lu “”” respirer”” Prise de panique je suis allée chez le médecin qui m’a prescrit du PROZAC . Nous sommes en 2019 je suis toujours sous PROZAC je n’ai aucune envie de me suicider ou de tuer qui que ce soit . C’est bien de prévenir les gens de certains effets des médicaments mais de là à en faire une psychose non . Il faut dire que je n’ai que ce médicament le reste je me soigne en homéopathie
Mon commentaire restera surement sans réponse aussi désolée de vous avoir contre-dit amitiés Mandarine
Je viens de lire votre article sur les méfaits des IPP, notemment du MOPRAL, que m’a été prescrit suite à une hernie hiatale il y a une vingtaine d’années. En fait j’en ai pris durant plusieurs mois puis j’ai supprimé le lait et le gluten et j’ai eu beaucoup moins de douleur. Actuellement quand je sens venir la douleur je bois tout simplement de l’eau à petites goulées et cela passe très vite donc je ne prend plus de mopral qui est toujours écrit sur l’ordonnance de mon médecin traitant!!
moi quand j’ai des remontées acides je mets en pratique une formule que j’ai apprise au lycée technique ACIDE+BASE=SEL + EAU ainsi donc dans un verre d’eau assez grand je mets un peu d’argile blanche et une cuillère de bicarbonate de soude (alimentaire ou pas-je crois que le terme “alimentaire” c’est juste pour vendre un peu plus chère ) Et je bois ça , pas la peine de se pincer le nez pour boire ce mélange.Dans les secondes qui suivent un gros rot se fait entendre (surement la réaction chimique qui doit libérer des gaz et me voila d’aplomb .Quand j’en ai parlé à mon gastro-entérologue qui me prescrivait du Pantoprazol et a qui j’ai dit que ce n’était plus la peine de me faire une ordonnance pour ce produit en lui expliquant ce qui précède ,il a souri et m’a dit qu’il connaissait la formule et que je devait continuer ( tant pis pour les voyages payés par le laboratoire- ça c’est moi qui le dit , pas lui ) .
Je conseille aussi de dormir sue le coté gauche ce que je fais car cette position est favorable à la descente des aliments .Et j’ai totalement éliminé les laitages de mon alimentation depuis 3 ans ce qui a amélioré les choses .Surtout ne jamais dormir sur le ventre .Et pour ceux qui dorment sur le ventre et qui s’imaginent ne pas pouvoir dormir autrement sachez qu’il m’a fallu 1 à 2 semaines pour arriver à changer de position ;A croire que le cerveau nous dit “Ah je préfère cette position”
Voir des amis ou la famille est certainement une bonne idée mais pas avec la pandémie du covid19 qui sévit actuellement. Trouvez autre chose.
Bonjour,
Il n’y a pas que le Prozac qui donne ces effets secondaires, un membre proche de ma famille sous “Haldol” s’est suicidée en laissant sa tête dans l’eau de la baignoire, c’est même incroyable. Moi même ayant perdu mon mari et mon fils à 3 mois d’intervalle ayant un immense chagrin mais sans idées suicidaires n’avait plus qu’une obsession après la prise d’antidépresseur : me jeter sous un train. J’ai heureusement fait le lien et arrêté toute forme d’aide chimique.
Bonjour, mon fils de 15 ans est dépressif. Je pense aujourd’hui, à lui faire prescrire des antidépresseurs. Suite à la lecture de votre article, je cherche d’autres moyens pour calmer ses angoisses. Il doit voir un pedopsychiatre. Mais, surtout, il refuse tout ce que vous préconisez pour un ado. Liens familiaux et sociaux , sport… Quel soin pourrait l’aider ? Merci pour votre réponse
Yolande
Bjr Yolande, seul un médecin peut décider ce qui est le plus adapté dans le cas de votre fils. Bon courage.
Pour avoir vécue cela et avoir été traitée bien plus tard ATTENTION : une dépression NON traitée peut amener au développement de la schysofrénie. Perso je regrette amérement que mes parents à l’époque ne m’ait pas traité avec des antidépresseurs que j’ai pu avoir par la suite (effexor) et qui ont radicalement changé ma vie. La depression est une maladie, c’est biologique, donc les antidepresseurs guerissent c’est après qu’ils ont fait effet (a partir d’un mois environ) que là vous pourrez plus facilement lui proposer des activités. Bien sur, c’est à lui de vouloir s’en sortir. Et pour cela, au début il faut se forcer et l’idéal est de trouver un sens à sa vie bien sur.
Bonjour,
Il n’y a pas que le Prozac qui donne ces effets secondaires, un membre proche de ma famille sous “Haldol” s’est suicidée en laissant sa tête dans l’eau de la baignoire, c’est même incroyable. Moi même ayant perdu mon mari et mon fils à 3 mois d’intervalle ayant un immense chagrin mais sans idées suicidaires n’avait plus qu’une obsession après la prise d’antidépresseur : me jeter sous un train. J’ai heureusement fait le lien et arrêté toute forme d’aide chimique.
Bonjour,
Je prends des acides aminés pour les troubles du sommeil. J’aimerais remplacer mes anti-dépresseurs par la prise de tyrosine (acetyl L-tyrosine 500 mg). J’ai cru comprendre qu’il fallait réduire les acides aminés pour prendre de la tyrosine ? Est-ce vrai ?
Merci.
Cordialement.
Je me suis sevrée seule du déroxat ce n’a pas été une mince affaire vu l’accoutumance que j’avais. Mais la disparition tragique de ma maman m’a donnée la triste réalité “les médicaments ne suppriment pas vos problèmes” ils vous les endorment pour quelques instants seulement. Les remèdes naturels ont de loin sans effet secondaire. Merci Monsieur
Un grand merci a vois Docteur
Le Millepertuis et un antidépréseure ( désolé pour l’ortographe) naturel de haut de gamme.
Très intéressant et très vrais.
Vous devez certainement savoir que la CCDH (Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme”
travaille depuis fort longtemps sur ce sujet et a emporté de nombreux succès dans la bataille contre le
“tout psychiatrique”.
Bien à vous
Bonjour,
Je suis totalement en désaccord avec ces propos.
Je souffrais de paralysie du sommeil, d’anxiété (dont mains moites) et j’étais très timide et rougissait pour un rien, les relations sociales étaient compliquées. J’ai fait une dépression.
J’ai eu un traitement par effexor puis un traitement de fond a dose très petite et cela a radicalement changé ma vie et c’est rien de le dire. Tout a disparu, paralysie, anxiété, timidité, dépression… j’ai pu acquérir de nouvelles compétences et faire des activités qu’il m’aurait été impossible sinon (formatrice, animatrice..)
Je trouve que ces propos sont graves et peuvent empêcher une personne naïve de guérir
Cordialement
Un neurologue a prescrit a ma mere agee de 83 ans qui a des troubles cognitifs du Seroplex. Or de sa bouche meme ce medicament accelere la maladie. Que lui donner ? Merci
L’effet néfaste du Prozac est connu depuis longtemps …..
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