« Simple »…

Quel mot magnifique, qui offre une résonnance si particulière à une époque où au contraire, tout se complique.

Et si la simplicité était aussi…la clé ?

La clé du bonheur, de la santé, de l’ouverture à quelque chose de plus grand que soi ?

Pour répondre à cette question, je vous propose dès demain une aventure hors norme.

Une courte série de lettres sur les « simples », ces plantes « ordinaires » aux pouvoirs extraordinaires, qui révèlent bien plus qu’on pourrait croire.

Elles ont, bien sûr, la fabuleuse capacité de soigner, mais les simples font quelque chose de supplémentaire encore, pour la santé de notre âme, pour le bien-être de notre esprit.

Vivre dans leur résonnance, apprendre d’elles, c’est pénétrer dans un monde fascinant où les « valeurs » que l’on pensait réservées aux hommes se révèlent aussi sous nos yeux : le courage, l’abnégation, le partage, l’entraide.

Dur à croire, n’est-ce pas ?

Et pourtant il y a dans l’instinct de vie de ces plantes « toutes simples » un exemple à méditer et peut-être à imiter pour vivre MIEUX.

Je réserve cette série de lettres gratuites aux seules personnes qui le souhaitent, aussi je vous demande simplement de cliquer sur le bouton ci-dessous pour me confirmer votre intérêt.

Et avant de vous retrouver dans ce monde à part des plantes médicinales, je voulais partager avec vous cette réflexion du docteur Madeuf, en préface de son ouvrage « La santé pour tous ou la Médecine naturelle et normale » :

« Il est temps, écrivait-il, de revenir à la médecine normale, simple et naturelle, celle qui faisait les générations normales simple et naturelle, celle qui faisait les générations robustes et les longues vieillesses en bonne santé… »

« Il est grand temps d’employer la simple thérapeutique d’autrefois, renouvelée, épurée, éclairée par les découvertes modernes de la science. Ce serait assurément là le plus puisant régénérateur de l’humanité »

C’était il y a un siècle et je crois que le constat n’a fait depuis que de se…renforcer.

La bonne nouvelle est qu’il existe un chemin qui, je crois, peut nous conduire vers cette médecine naturelle et normale :

Il faut reprendre la route des simples.

Mais avant de vous emmener faire ce beau voyage, j’aimerais vous poser une question.

Toute simple, elle aussi…

Si vous deviez n’emporter avec vous qu’une plante sur une ile déserte, laquelle serait-elle ?

La sauge, la chélidoine, l’ortie, la verveine, l’armoise ou la consoude ?

A moins que ce ne soit le fenouil, le tilleul ou le merveilleux pissenlit ?

Moi, je choisirais la passiflore.

D’abord elle calme l’inquiétude – et perdu sur son île, on peut avoir un petit moment de stress…- et puis…regardez sa fleur :

fleur1

…on dirait un vitrail foisonnant de couleurs.

 

Quelle grâce, quelle beauté !

Qui rappellent à tout homme, même le plus isolé,

 

Que la nature est un livre, un livre splendide illustré,

Que tout est là sous nos yeux, qu’il suffit de regarder…

 

Et vous, vous partiriez avec qui ?

 

Santé !

 

Gabriel Combris