Chère lectrice, cher lecteur,

Il m’arrive parfois de me dire que j’ai trouvé une « bonne » idée.

Que j’ai compris un message « caché »…, quelque chose qui n’était pas immédiatement lisible et que, je ne sais pas trop comment, j’ai réussi à déchiffrer.

Alors je ressens un sentiment de fierté mêlé d’orgueil.

Quand même, c’est pas mal vu, non ?

Et puis ça ne rate pas : je finis par découvrir que quelqu’un d’autre, quelque part, a déjà exprimé cette idée, déjà compris ce quelque chose…et généralement beaucoup mieux que je ne l’ai fait moi-même !!!

Dans le fond, si j’ai perçu quelque chose d’invisible, si j’ai eu une idée « géniale », n’est-ce pas parce qu’elle était DÉJÀ là, dans « l’air du temps », dans cet espace qui me déborde mais auquel j’appartiens sans forcément m’en rendre compte, et qui est fait de communications imperceptibles par nos sens habituels.

Car nous sentons bien qu’une partie de notre être communique avec cet « air du temps ». Mais comment ?

A-t-il perdu la tête ?

L’écrivain Louis-Ferdinand Céline, qui se posait une question assez proche au sujet de la création de ses livres, propose cette étonnante explication1 :

« Je ne crée rien à vrai dire – Je nettoie une sorte de médaille cachée, une statue enfouie dans la glaise – Tout existe déjà c’est mon impression – Lorsque tout est bien nettoyé, propre, net – alors le livre est fini. »

« De soi, de ses propres plans il ne vient que des bêtises – Tout est fait hors de soi – dans les ondes je pense – Aucune vanité en tout ceci – C’est un labeur bien ouvrier – ouvrier dans les ondes ».

Céline, le colosse de la littérature, affirme qu’il ne crée rien !! Il assemble, il compose, il gratte, il nettoie, il sculpte un matériel qui est déjà là, extérieur à lui-même.

Fascinante intuition !

Je crois pour ma part qu’il avait raison.

Je vous ai déjà montré cette photo à plusieurs reprises. Elle fait écho à ce que veut dire Céline :

On y voit une nuée d’étourneaux volants en groupe.

Ils dessinent la lettre « V » inversée dans le ciel.

Leur ballet est incroyable : ils virevoltent dans un sens, puis dans un autre, tournent, piquent, reprennent de la hauteur, changent encore de direction, tout ça en quelques secondes sans JAMAIS s’entrechoquer.

Et la question importante est bien sûr : comment font-ils ????

Le chercheur Michel le Van Quyen a peut-être la réponse :

« Dans ce comportement collectif, dit-il, la nuée forme un phénomène émergent dont l’unité globale ne peut pas être expliquée à partir des comportements individuels des oiseaux »2.

Dit simplement, cela veut dire la nuée d’étourneaux a son existence propre, comme chacun des éléments qui la composent…

Et qu’elle va influencer le comportement des animaux à titre individuel !

Elle agit comme un de centre de décision externe, un « cerveau extérieur » au corps de chaque oiseau !

Voilà comment ils vont suivre une direction plutôt qu’une autre, voler plus ou moins vite, et réussir l’exploit de ne jamais entrer en collision : c’est la nuée qui détermine leurs propres mouvements !!

Toutes ces réflexions sont peut-être intéressantes, mais je crois qu’elles prennent une dimension importante lorsqu’il s’agit de notre santé.

Car ce qui se passe dans l’air du temps quand l’écrivain compose, ou dans le ciel à hauteur d’oiseau, se passe aussi dans notre corps.

La dimension oubliée

Lui aussi possède une cohérence globale, qui agit sur les processus biologiques au niveau le plus élémentaire…

Pour être en bonne santé, il ne suffit pas que les « parties » qui composent le corps soient saines – ou « guéries »…

Il faut que le corps dans son ensemble le soit aussi.

Et c’est ce qui explique pourquoi l’approche scientifique traditionnelle, qui consiste à morceler le corps jusqu’à ses plus petits éléments, néglige une dimension essentielle :

Le tout.

Car si la médecine soigne les parties – les os, les mains, les yeux, etc. – que fait-elle du tout ?

Elle passe à côté, comme s’il n’existait pas.

Certains scientifiques « purs et durs » le reconnaissent d’ailleurs, comme le cancérologue David Khayat, :

« Pendant de nombreuses années, je dois le reconnaître, j’ai été assez réfractaire à l’idée que le stress, le malheur ou la tristesse puissent être à l’origine du cancer.

« Mais aujourd’hui, j’ai changé d’avis. Oui, j’ai l’intime conviction que notre vie spirituelle interfère avec notre ADN et est susceptible de protéger contre le cancer ou, au contraire, terriblement délétère !»

Cette idée est encore révolutionnaire.

Et pourtant elle est absolument évidente :

Car ce n’est pas seulement en mangeant les bons nutriments, en faisant de l’exercice ou en ayant le bon ratio oméga 3/oméga 6 que nous sommes protégés contre la maladie.

Si l’on veut soigner vraiment, il faut aussi prendre en compte l’histoire du patient, les émotions ou les énergies (les ondes) qui circulent en lui et qui ont un impact direct sur son état de santé.

Qui peut sérieusement argumenter par exemple que les mauvaises ondes émis par les mauvaises nouvelles sont sans influence sur notre moral, et donc notre santé ?

Je vous parie qu’ils se trompent

Aujourd’hui les obsédés du progrès estiment que « pour vivre longtemps et en bonne santé, nous avons besoin de technologies et d’innovation »…

En regardant les étourneaux voler, on peut affirmer avec certitude qu’ils se trompent.

Pour vivre longtemps et en bonne santé, il faut soigner l’être entier : le corps, bien sûr, mais aussi l’âme, l’esprit, et puis cette conscience qui nous connecte aux autres et au monde.

Alors nous pouvons guérir intégralement.

Cette conviction est aujourd’hui portée par des médecins et des thérapeutes qui en ont assez de la médecine « banale ».

Assez de cette approche « réductionniste » qui consiste à morceler le corps en petits morceaux sans jamais traiter l’ensemble.

Eux SAVENT au contraire qu’une approche intégrative est la seule issue possible pour guérir.

Pour cela, on ne peut plus s’en tenir aux méthodes conventionnelles.

Il faut s’ouvrir à des techniques plus « larges ».

Explorer des thérapies qui obtiennent des résultats fantastiques sur les patients, mais qui sont ignorées par la majeure partie du corps médical :

  • La médecine du Vif contre l’arthrose
  • Le rêve lucide
  • La médecine psychédélique
  • La thérapie par le Cœur pour soigner les blessures profondes,
  • La Force de l’Intuition,

Ces thérapies permettent parfois de soigner lorsque tout le reste a échoué.

Elles ouvrent une vision plus grande que la seule « réparation » d’un corps machine… en permettant son harmonie avec l’esprit.

Pourtant trop peu de gens en parlent.

Pourquoi ?

Sont-elles trop taboues ? Trop « obscures » ?

Peut-être.

Mais personnellement ce qui m’intéresse, c’est qu’elles sont efficaces.

Qu’elles sont capables de régler en deux semaines des problèmes de santé qui pourrissaient la vie de certains patients depuis 5, 10… parfois même 15 ans !

Alors voilà ce que je pense : il faut impérativement mettre ces thérapies en pleine lumière.

Car « avant la mer…il y a l’onde » dit une très ancienne devise qui elle aussi, peut-être, avait vu juste.

Santé !
Gabriel Combris