Chère lectrice, cher lecteur,
Le 11 juin prochain, les députés auront à se prononcer sur un texte qui devrait légaliser l’euthanasie et le suicide assisté en France…
Alors que les avis s’opposent, je remarque que les partisans de l’euthanasie ont du mal à utiliser ce mot.
Ils préfèrent parler d’« aide à mourir dans la dignité » – au passage, je me demande ce que serait une mort « indigne » ? – mais cela ne change pas le fond du problème.
« Euthanasier », c’est tuer.
C’est faire un geste qui aura pour conséquence la mort d’un autre être humain. Et c’est pourquoi, même si on tourne autour des mots, cette perspective entre en contradiction avec l’idée de soigner…
Comment un soin pourrait-il consister à donner la mort ?
Certes, lorsqu’on fait un sondage, et qu’on interroge des gens souvent bien portants, pour savoir s’ils aimeraient pouvoir interrompre des souffrances devenues trop lourdes, la réponse est écrasante en faveur de l’euthanasie.
Mais il y a un détail à prendre en compte : nous parlons là au conditionnel.Si j’étais malade,
Si mes souffrances étaient insupportables,
… alors je voudrais avoir la possibilité de mourir…
Peut-être.
Mais la réalité auprès des personnes en fin de vie, dans les services de soin palliatifs, montre que le « oui à la mort digne » clamé par le bien portant se fait de plus en plus timide chez les malades, y compris chez ceux qui sont en très grande souffrance.
« Le plus semblable aux morts meurt le plus à regret », écrivait la Fontaine.
Et c’est ce que constatent les soignants, qui côtoient les mourants dans les unités de soin palliatifs.
« Sur les 800 patients pris en charge par notre équipe chaque année, explique ainsi le docteur Alexis Burnod, chef des soins palliatifs de l’Institut Curie l’immense majorité souhaite qu’on les aide à avoir une vie plus supportable. »
On parle bien de vivre, de limiter la souffrance, mais de VIVRE !
L’institut Curie accueille pourtant des patients gravement malades, ou en fin de vie du cancer.¹
Ce genre d’outil lui a été utile pour prendre conscience que la sensation de douleur n’est qu’une portion de ce qui engendre sa souffrance globale.Elle a pu alors se fixer des objectifs plus réalistes que « zéro douleur », et vouloir recommencer à vivre avec les douleurs, en travaillant notamment sur d’autres aspects de sa souffrance (la tristesse, la fatigue, le lien social, etc.).
Avec son patient de 65 ans qui voulait mourir, l’équipe de l’institut Curie a également bâti ensemble un projet de soin, et aujourd’hui il ne fait plus de demande d’euthanasie.
Pour le docteur Burnod, c’est d’ailleurs moins la douleur que « le sentiment de ne pas se sentir soutenu et accompagné par l’entourage et les soignants qui alimente en majorité la peur de la fin de vie. »
Le sentiment d’être un fardeau pour les autres, aussi
Voilà, il me semble, les vrais sujets de la fin de vie.
Les scandales récents dans les EHPAD ont hélas montré à quel point la fin de vie est aujourd’hui méprisée. Près de 80 % des Français meurent à l’hôpital, loin de chez eux, loin des objets, des souvenirs, des personnes qui leur sont chers.
Mais un autre chemin est possible :
Au centre Marc Jacquet de Melun, on diffuse des huiles essentielles (ravintsara, lavande, ylang-ylang) dans le simple but de faire ressentir un plaisir olfactif aux personnes en fin de vie.
Le CHU de Clermont-Ferrand a ouvert un « bar à vin », au service de soins palliatifs.
« On a le droit de se faire plaisir, même en fin de vie ! » explique la chef de service².. Bravo !
Ailleurs, comme à la maison Jeanne Garnier, à Paris, à la maison de Nicodème de Nantes, des bénévoles accompagnent les mourants dans leurs derniers instants. Ils leur parlent, leur rendent des petits services, souvent se contentent d’une simple présence silencieuse.
L’une de ces bénévoles tient sur Internet un blog où elle raconte ces moments de vie « à la frontière de la mort, mais pleinement dans la vie »³…
L’intensité qui s’en dégage est extraordinaire.
Moments de vérité, d’extase, de tristesse, de désespoir, moments ordinaires aussi. En découvrant les histoires de ceux qui arrivent à la toute fin, on se demande vraiment au nom de quoi on devrait les en priver ?
Aujourd’hui sur 300 000 patients qui devraient être pris en charge en soins palliatifs, seuls 100.000 y ont accès…
Or cela pourrait tout changer.
La preuve, avec une des patientes de l’Institut Curue, une femme de 60 ans atteinte d’un cancer généralisé, qui souhaitait que le dr Burnod la remette sur pied pour aller en Suisse, pays où le suicide assisté est légal.
« J’ai compris que c’était un suicide assisté pour lequel elle avait versé une caution. »
« Ce moment d’échange a été l’occasion d’une grande discussion, on lui a montré ce qui était possible comme accompagnement, elle ignorait ce qu’on pouvait faire en soin palliatif, elle a renoncé au projet, vécu 3 mois de plus, elle est décédée paisiblement après avoir passé la plupart de son temps au domicile. Elle était militante de la première heure, depuis trente ans. »
Alors pour finir, où se trouve la priorité ? Dans la légalisation de l’euthanasie, comme il semble que ce soit la volonté du gouvernement ?
Ou dans l’augmentation de l’offre de soins pour permettre aux gens de continuer dignement de vivre le temps qu’il reste.
« C’est là, conclut le dr Burnod, le bon usage du mot « dignité » qui est utilisé à tort et à travers dans ce débat ».
Voilà mes réflexions à quelques jours du vote de la loi. J’aimerais que vous me disiez ce que vous en pensez de votre côté. Je sais que certains d’entre vous ne seront pas d’accord avec le propos de cette lettre.
Sur un sujet aussi sensible, je crois que tous les arguments lorsqu’ils sont exposés avec courtoisie et sincérité méritent d’être entendus.
Santé !
Gabriel Combris
Sources :
[1]https://www.parismatch.com/actu/sante/je-minquiete-de-lidee-quun-etat-decide-dorganiser-la-mort-programmee-216328
[2]https://www.larvf.com/,vin-chu-clermont-ferrand-soins-palliatifs-virginie-guastella-bar-vins,4405324.asp
Je suis contre l’euthanasie pour ces futures dérives.Il va être utilisé pour que les gens marginaux puissent partir et plus à cause de la maladie.
Merci pour cet article auquel je souscris point par point ! Le “droit de mourir”, dont la proposition de loi actuelle va plus loin que toutes les législations en vigueur en matière d’euthanasie ou d’assistance au suicide, et qui, en plus, ne dit même pas son nom (!), se transformera inévitablement en devoir de mourir dans un contexte où l’état de certains Ehpad est catastrophique et où un nombre important de malades n’accèdent pas au soins palliatifs. Le devoir d’humanité passe par l’accompagnement et non par l’inscription dans la loi d’un droit de tuer !
Bonjour,
Il me semble qu’on doit pouvoir “legalement” laisser le choix; que certaines personnes, suite à discussion avec le corps medical qui leur montre les differentes possibilités pour une fin de vie plus “confortable”, pour gagner qq mois supplementaires aupres de leur famille, veuillent changer d’avis sur leur desir de mettre fin à leur souffrance est un droit..leur droit le plus legitime. mais suite à cette même discussion, persister dans son desir d’en finir avec cette souffrance physique et psychologique devrait aussi être un droit!
Après lecture de votre article je me réjouis de savoir qu il ya encore des humains… ne cedons pas au stéréotype de vie de consommation dans tous les domaines que l’on nous imposent a coût de communication massive et de faire des choix sur des lois..
Dans beaucoup de pays les maisons de retraite n’existent pas… je partage vos idées de plus vous soignez ces personnes et vous êtes le plus apte à ressentir leur demande.
Dire devant une bonne bière et le match de foot moi je suis pour le suicide assisté… c’est tout simplement inhumain… Notre société devient inhumaine avec un manque de spiritualité et inculte … heureusement il y a encore de l espoirtant qu il y a de la vie…
Je partage tout à fait votre propos . J’ai accompagné mon époux en fin de vie à la maison. Même s’il souffrait depuis de nombreuses années et avait dû renoncer a beaucoup de choses , nous avons parcouru ensemble ce chemin difficile , certes, mais également parsemé de moments de joie.Je suis agacée – pour ne pas dire plus – par ces gens qui palabrent sur le sujet sans le connaître ou l’avoir partagé avec un proche
Votre article est remarquable en tout point ! On peut rajouter la culpabilité des familles et le droit des soignants à refuser de mettre fin à la Vie et moi , infirmière depuis 45 ans je vois beaucoup de patients partis dans la certitude de vouloir mourir qui au fil du temps préfèrent vivre même en souffrant … plus de places en soins palliatifs et pas de loi dans ce domaine mais que les médecins généralistes soient moins frileux quand aux antalgiques … on a l’impression qu’ils les sortent de leur poche
Merci pour cet article remarquable comme d’habitude
Le problème c’ est le nombre trés limité de personnes qui ont la chance d’ avoir une place dans une maison comme Jeanne Garnier ou une de mes cousines a pu terminer sa vie paisiblement . Elle a pu y entrer grace a des interventions dont celle de son parrain . Sans relations et sans aide , les places sont trop limitées pour avoir une chance d’ y rentrer .
Avec ce procédé il va y avoir plus d’euthanasies que prevu ,notre Président va éliminer bcp de personnes âgées les gens en bonne santé ne le comprennent pas. Actuellement dans les hôpitaux et Centres de soins anti-cancéreux en soins palliatifs on vous promet de vous apporter du bien être pour la fin de vie, aucun personnel soignant ne peut dire avec précision qu’il reste à une personne malade quelques semaines à vivre..Suite à ce projet un Hématologue l’a dit sur une chaine de tv que des gens malades le corps pouvait reagir et ils vivaient parfois 2 ans de plus. Dans ces Centres anti cancéreux en soins palliatifs on vous injecte des anxiolytiques et de la morphine pour vous faire partir plus vite en rapport avec l’âge 74 75 ans c’est arrive à mon mari et autres malades, alors qu’ils auraient dû bénéficier de soins immunotherapie etc..5 personnes sont décédées en 2mois dans ce centre. Est ce que les gens vont réaliser que c’est bien mettre fin à la vie des personnes qui pourraient vivre encore plus longtemps si les soins leurs étaient attribues correctement? ce projet porte bien le nom d’euthanasie et non de soins qui pourraient prolonger la vie des gens…
Merci pour cette belle et juste analyse
meci pour votre réflexion qui aborde des aspects complètement ignorés par les adeptes de l’euthanasie et par contre ils sont indispensables pour bien choisir…
merci
Bonjour.
Je pense également que si la médecine traditionnelle était à la hauteur, les malades souffriraient moins et pourraient espérer continuer de vivre dans de bonnes conditions.
La première chose à faire, c’est un nettoyage profond dans tous les sens du terme pour éradiquer les microbes et virus transmis au cours des soins.
Ma mère qui avait tenu jusqu’à 92 ans est partie a cause d’une perfusion contenant le staphylocoque (info donnée par le médecin même et sans sourciller, donc apparemment c’est normal). Elle avait seulement de l’eau dans les jambes.
J’en arrive à me demander si cela n’a pas été fait volontairement….
Merci ! Tout ce débat est fondé sur le mensonge, mensonge sur les mots, mensonge sur l’intention des personnes en fin de vie. C’est un mépris de plus pour nos aînés, après celui des EPHAD et du manque de soins palliatifs.
Le lien de confiance avec les soignants sera brisé. Les familles seront poussées à tuer leurs parents.
Quel malheur !
La loi sur la fin de vie ne constituera pas une obligation mais donnera un choix, une liberté et une certaine égalité de traitement, car choisir d’aller mourir dans la dignité en Belgique par exemple, n’est actuellement possible qu’aux personnes ayant les moyens financiers. Pourquoi cette injustice ? Pourquoi cette question pose a-t-elle tant de problèmes en France, alors que de nombreux pays offrent depuis longtemps cette possibilité à leurs citoyens, sans les abuser. La loi sur la fin de vie n’est par ailleurs pas un frein à l’amélioration des soins palliatifs, et à l’heure où l’on voit la destruction continue des services de santé, on peut à se demander si l’évocation de l’amélioration des soins palliatifs n’est pas une provocation.
Je soutiens absolument votre réflexion. Tout faire pour soutenir les personnes qui souffrent mais laisser le temps si précieux et si riche de transition, d’ouverture progressive vers le monde de l’au delà, où les messages pour ceux qui restent ont le temps de se formuler.
Sauf peut-être pour des cas vraiment extrêmes, mais l’euthanasie, c’est permettre de vider plus vite les Ehpad, c’est de l’argent gagné pour la SS, c’est finir de transformer l’homme en marchandise.
Bonjour Mr., donc suite à cet article je tiens à vous dire mon opinion concernant l’euthanasie. Je vais, peut-être, avoir des mots durs mais je m’en balance car j’ai toujours dis ce que je pense ce qui n’a pas toujours été une sinécure !
Je sort d’un hospital, là, il y a “mois après une 1ere opération de la hanche (prothèse), puis staphylocoque doré qui m’a attaqué la colonne vertébrale et qui m’a laissé un mois couché sur le dos avec des douleurs comme jamais de ma vie je n’ai eu. Frôlant au passage 2 fois la mort. Suite à cette expérience il est évident que plus jamais je ne retournerais dans un hospital. Et si je ne peut pas invoquer une assistance pour m’aider à mourir je le ferais moi-même en espérant que j’en aurais encore la faculté.
Ensuite je ne vois pas, au nom d’une religion quelconque à la con ou d’une morale quelconque à la con on viendrait se mêler d’affaires, qui, sommes toutes, ne regarde que moi et moi seul. Que les officier de cultes, quel qu’il soient, et autres politiciens à la noix, tous menteurs patentés, s’occupent de leur trous du cul avant de s’occuper de la vie (ou de la mort) des HONNÊTES gens.
Ceci dit je vous souhaite une bonne journée.
Fluck
Cher Monsieur Fluck,
Vous pensez que votre vie ne regarde que vous. Cela serait juste si nous nous appartenions à nous-mêmes. Or nous ne possédons rien ici-bas, même pas notre corps qui ne nous est que prêté. Quand la fin du bail arrive, nous devons restituer le logement et faire l’état des lieux avec le Bailleur, Celui qui nous a dispensé la vie, le mouvement et l’être. L’air que nous respirons Lui appartient, ainsi que l’eau que nous buvons, le sol sur lequel nous marchons, les battements de nos coeurs. Nous avons bénéficié de tous SES bienfaits sans jamais avoir une seule pensée pour Lui, pour Le remercier, pensant que tout nous est dû dans la normalité. Et lorsque le temps de la location gratuite arrive à terme, nous injurions ce Bailleur silencieux et Le maudissons par nos paroles grossières pour le mauvais état final du logement qui nous a été confié à nos soin en très bon état, et que bien souvent par notre ignorance, nos péchés, notre négligence, nous avons abîmé.
J’ai moi-même loué une maison à une famille pauvre, délabrée, sans aucune situation financière fiable. Elle n’avait aucun espoir d’obtenir une location. J’ai eu compassion de leurs supplications et leur ai ouvert le logement pendant 3 ans, sans jamais effectuer de révisions de loyer, en supprimant parfois ou diminuant le loyer pour les soulager (alors que je devais moi-même continuer à payer mon crédit immobilier), en leur ayant offert un coffre de provisions de premières nécessités pour faciliter leur installation à leur arrivée…
Mais c’était une famille à problèmes, qui m’appelait sans arrêt pour des ennuis dont ils étaient souvent la cause. J’ai ainsi dû faire appel à mon assurance pour réparer une conduite d’un insert où ils avaient réussi à mettre le feu par une mauvaise utilisation alors que je l’avais fait ramoner préalablement. Pour finir, ils voulaient me mettre en justice à cause des moisissures qu’il y avait partout dans la maison (la maison jusqu’à leur arrivée était très saine). Ils ne voulaient pas en comprendre la cause :
Ils utilisaient leur sèche-linge de gros calibre dans le salon, puis dans les chambres pour en récupérer la chaleur, malgré la présence d’une pompe à chaleur et l’insert. Résultat : la moisissure couvrait la maison entière au fur et à mesure qu’ils déplaçaient leur machine, et elle leur donnait des problèmes respiratoires dont ils m’attribuaient la responsabilité.
Trop soulagée de leur départ, je n’ai même pas retenu la caution et ai déboursé 3000 euros pour nettoyer et assainir la maison à nouveau.
Mon vécu m’aide à comprendre la relation entre l’être humain et son Créateur.
Ma maison était considérée comme un “château de rêve” selon les termes de ces locataires à leur entrée. Au bout de trois ans d’occupation, elle était devenue méconnaissable avec des salissures et des détériorations. Les problèmes rencontrés par cette famille sont souvent les résultats de leurs propres ignorances ou péchés ( manque d’entretiens, d’hygiène…), et au lieu de s’interroger, de se remettre en cause, ils m’ont imputé tous leurs malheurs. Mais les désordres dans leur vie, désordres non réglés, les accompagnent, et créent des malheurs encore plus graves dans leur nouvelle maison.
Cette histoire longue, excusez-moi, illustre notre comportement humain, ingrat et irréfléchi.
Oui mon bon Monsieur, sachez que votre vie regarde d’autre personne que vous. Parce que vous comptez pour moi, je vous dois la vérité qui seule sauve. Votre vie m’importe et votre mort de même. Mais au-delà, votre vie regarde votre Créateur, votre Bailleur : comme tout être humain, Sa création, nous lui devons des compte pour établir, à notre mort, la fin du bail, un état des lieux de sortie. Ainsi la mort n’est pas la sortie facile, ou l’echappatoire à la souffrance ou l’endormissement ou le néant. C’est le moment du bilan avec son Créateur. Qu’on le veuille ou non, qu’on y croie ou non, cela n’empêchera pas le cours des choses : Nous allons comparaître devant le Dieu de toute vie, et devoir Lui répondre de tous les détails concernant notre vie ici-bas.
La Bible dit dans le livre aux Hébreux chapitre 9, verset 27 :
“… il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, ”
et aussi dans le même livre chapitre 4 verset 13 :
” Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. ”
Et puisque nous ne nous appartenons pas à nous-mêmes, mais au Créateur, le suicide est un meurtre au yeux de Dieu, ainsi que l’euthanasie. Et nul meurtrier n’entrera dans le royaume de Dieu. Ainsi, présenter la mort comme un repos est un leurre, une grosse erreur aux conséquences éternelles, car mourir sans avoir fait la paix avec son entourage et avec son Créateur jette la personne dans des souffrances éternelles, dans des flammes éternelles de l’enfer. Ne succombez pas à cette tentation, à cette tromperie.
Oui, votre vie Monsieur, regarde votre Créateur, car Dieu, malgré votre ignorance de Sa personne VOUS aime au-delà de toute mesure. Votre personne a de la valeur à Ses yeux, et dès votre conception même, au-delà de l’amour que vos parents ou toute autre personne peuvent vous offrir. Et pour vous réconcilier avec Lui, pour que vous puissiez faire la paix avec Lui, Il vous a envoyé Son Fils unique, Jésus-Christ, pour mourir à votre place et prendre sur Lui tous vos péchés et vos offenses. Il vous suffit de croire en Son sacrifice à la croix pour VOUS et de Lui demander pardon pour tous vos péchés et de dire à Jésus :” Je crois et je reçois ton sacrifice à la croix pour mes péchés. Sois mon Sauveur et mon Seigneur. Et prends-moi avec Toi lorsque sera mon heure de partir. Aide-moi à vivre chaque jour avec Ta présence et Ton secours et Ta joie en moi.”
Commencez à Le remercier pour Ses bienfaits, Son amour, Son pardon, la nourriture, les fleurs, les arbres…Votre reconnaissance exprimée, transformera votre souffrance, car Jésus cheminera avec vous, jusqu’à votre dernier souffle, comme Il a promis dans la Bible que je vous invite vivement à lire.
Enfin, je vous laisse mes prières et toute mon affection avec ce dernier verset :
” Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.” La Bible, livre de Jean chapitre 3, verset 16.
Cher Monsieur Fluck,
Vous pensez que votre vie ne regarde que vous. Cela serait juste si nous nous appartenions à nous-mêmes. Or nous ne possédons rien ici-bas, même pas notre corps qui ne nous est que prêté. Quand la fin du bail arrive, nous devons restituer le logement et faire l’état des lieux avec le Bailleur, Celui qui nous a dispensé la vie, le mouvement et l’être. L’air que nous respirons Lui appartient, ainsi que l’eau que nous buvons, le sol sur lequel nous marchons, les battements de nos coeurs. Nous avons bénéficié de tous SES bienfaits sans jamais avoir une seule pensée pour Lui, pour Le remercier, pensant que tout nous est dû dans la normalité. Et lorsque le temps de la location gratuite arrive à terme, nous injurions ce Bailleur silencieux et Le maudissons par nos paroles grossières pour le mauvais état final du logement qui nous a été confié à nos soin en très bon état, et que bien souvent par notre ignorance, nos péchés, notre négligence nous avons abîmé.
J’ai moi-même loué une maison à une famille pauvre, délabrée, sans aucune situation financière financière. Elle n’avait aucun espoir d’obtenir une location. J’ai eu compassion de leurs supplications et leur ai ouvert le logement pendant 3 ans, sans jamais effectuer de révisions de loyer, en supprimant parfois ou diminuant le loyer pour les soulager, en leur ayant offert un coffre de provisions de premières nécessités pour faciliter leur installation à leur arrivée…
Mais c’était une famille à problèmes, qui m’appelait sans arrêt pour des ennuis dont ils étaient souvent la cause. J’ai ainsi dû faire appel à mon assurance pour réparer une conduite d’un insert où ils avaient réussi à mettre le feu par une mauvaise utilisation alors que je l’avais fait ramoner préalablement. Pour finir, ils voulaient me mettre en justice à cause des moisissures qu’il y avait partout dans la maison (la maison jusqu’à leur arrivée était très saine). Ils ne voulaient pas en comprendre la cause :
Ils utilisaient leur sèche-linge de gros calibre dans le salon, puis dans les chambres pour en récupérer la chaleur, malgré la présence d’une pompe à chaleur. Résultats la moisissure couvrait la maison entière au fur et à mesure qu’ils déplaçaient leur machine, et leur donnait des problèmes respiratoires dont ils m’attribuaient la responsabilité.
Trop soulagée de leur départ, je n’ai même pas retenu la caution et ai déboursé 3000 euros pour nettoyer et assainir la maison à nouveau.
Mon vécu m’aide à comprendre la relation entre l’être humain et son Créateur.
Ma maison était considérée comme un “château de rêve” selon les termes de ces locataires à leur entrée. Au bout de trois ans d’occupation, elle était devenue méconnaissable avec des salissures et des détériorations. Les problèmes rencontrés par cette famille sont souvent les résultats de leurs propres ignorances ou péchés ( manque d’entretiens, d’hygiène…), et au lieu de s’interroger, de se remettre en cause, ils m’ont imputé tous leurs malheurs. Mais les désordres dans leur vie, désordres non réglés, les accompagnent, et créent des malheurs encore plus graves dans leur nouvelle maison.
Cette histoire longue, excusez-moi, illustre notre comportement humain, ingrat et irréfléchi.
Oui mon bon Monsieur, sachez que votre vie regarde d’autre personne que vous. Parce que vous comptez pour moi, je vous dois la vérité qui seule sauve. Votre vie m’importe et votre mort de même. Mais au-delà, votre vie regarde votre Créateur, votre Bailleur : comme tout être humain, Sa création, nous lui devons des compte pour établir, à notre mort, la fin du bail, un état des lieux de sortie. Ainsi la mort n’est pas la sortie facile, ou l’echappatoire à la souffrance ou l’endormissement ou le néant. C’est le moment du bilan avec son Créateur. Qu’on le veuille ou non, qu’on y croie ou non, cela n’empêchera pas le cours des choses : Nous allons comparaître devant le Dieu de toute vie, et devoir Lui répondre de tous les détails concernant notre vie ici-bas.
La Bible dit dans le livre aux Hébreux chapitre 9, verset 27 :
“… il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, ”
et aussi dans le même livre chapitre 4 verset 13 :
” Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. ”
Et puisque nous ne nous appartenons pas à nous-mêmes, mais au Créateur, le suicide est un meurtre au yeux de Dieu, ainsi que l’euthanasie. Et nul meurtrier n’entrera dans le royaume de Dieu. Ainsi, présenter la mort comme un repos est un leurre, une grosse erreur aux conséquences éternelles, car mourir sans avoir fait la paix avec son entourage et avec son Créateur jette la personne dans des souffrances éternelles, dans des flammes éternelles de l’enfer. Ne succombez pas à cette tentation, à cette tromperie.
Oui, votre vie Monsieur, regarde votre Créateur, car Dieu, malgré votre ignorance de Sa personne VOUS aime au-delà de toute mesure. Votre personne a de la valeur à Ses yeux, et dès votre conception même, au-delà de l’amour que vos parents ou toute autre personne peut vous offrir. Et pour vous réconcilier avec Lui, pour que vous puissiez faire la paix avec Lui, Il vous a envoyé Son Fils unique, Jésus-Christ, pour mourir à votre place et prendre sur Lui tous vos péchés et vos offenses. Il vous suffit de croire en Son sacrifice à la croix pour VOUS et de Lui demander pardon pour tous vos péchés et de dire à Jésus :” Je crois et je reçois ton sacrifice à la croix pour mes péchés. Sois mon Sauveur et mon Seigneur. Et prends-moi avec Toi lorsque sera mon heure de partir. Aide-moi à vivre chaque jour avec Ta présence et Ton secours et Ta joie en moi.”
Commencez à Le remercier pour Ses bienfaits, Son amour, Son pardon, la nourriture, les fleurs, les arbres…Votre reconnaissance exprimée transformera votre souffrance, car Jésus cheminera avec vous, jusqu’à votre dernier souffle, comme Il a promis dans la Bible que je vous invite vivement à lire.
Enfin, je vous laisse mes prières et toute mon affection avec ce dernier verset :
” Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.” La Bible, livre de Jean chapitre 3, verset 16.
VOUS AVEZ RAISON 66IVG ET EUTHANASIE LE NAZISME MACRONIEN !
Mes propos sont dur mais je n’en pense pas moins surtout en ce moment où tous le monde se mêle de tout et où la plupart des gens en place volent et grugent tous le mondes.
Tout d’abord merci pour les témoignages présentés, ces personnes ont tout résumé. C’est dans les moments de grande fragilité que la vie est sacrée. L’accompagnement jusqu’au dernier souffle est la meilleure réponse à “mourir dans la dignité”, car une personne accompagnée et entourée se sent aimée. C’est bien là l’essentiel de notre fin de vie. Alors développons les soins palliatifs pour une fin digne d’ humanité.
Je suis très sensible à ce sujet. Et vous remercie de nous donner l’occasion de nous exprimer.
Mon compagnon, le seul homme que j’ai vraiment aimé, est mort dans un EHPAD, d’une longue maladie neurologique évolutive.
Je n’avais pas compris alors combien je l’ aimais, de plus, je manquais de temps, et je n’ai pas été suffisamment présente auprès de lui, je ne lui ai pas donné suffisamment de temps « vrai ».
Ses principales interactions se déroulaient avec des aides-soignantes et infirmières débordées de l’Ehpad.
Je suis persuadée, et hantée par la certitude que si j’avais été plus et mieux présente pour lui il aurait pu vivre encore un peu, et beaucoup mieux.
Je suis absolument certaine qu’il aurait connu des moments heureux avant de mourir.
Je souhaite qu’on réfléchisse bien sur la vraie « volonté » de mourir exprimée par les personnes en fin de vie …
Merci 🙏
Bonjour, ,Mon mari atteint d un cancer du colon qui s est generalise a été admis en soins palliatifs. Je ne veux quant à moi subir son sort. Mes enfants et moi même l avons vu decliner de jour en jour..Et puis..comme aucun malade n est revenu de cette dernière expérience pour dire quelles étaient ses souffrances ou pas, sachant que les malades ne sont plus ni hydrates, ni alimentes, justes reçoivent des “calmants”.
Je considere alors que c est un acharnement thérapeutique de plus, sachant qu il ne pouvait plus communiquer.
il ya rien à ajouter, nous ne sommes pas maître de la vie, ni choisi le jour de notre naissance, laissons le createur de toute chose nous prendre dans ses bras au moment oû ce sera le temps
j ai fait beaucoup d etudes sur le sujet il s ensuit que l on choisit sa famille, le lieu et sa propre vie ses choix. J ai revecu plusieurs de mes anciennes vies avec des specialystes, j ai toujours ete une personne courageuse et curieuse ; mais je n ai plus envie de revenir surtout avec le monde actuel cruel et des guerres partout. J ai,88 ans, j espere que cette fois ci je partirai vers la cinquieme dimesion pour ne plus jamais revenir. Serais je exausee ??
ENSEMBLE POUR LA VIE
C’est notre cri de guerre face à la démission d’une société qui réfléchit actuellement à la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
L’euthanasie et le suicide assisté sont un abandon : parce que la mort n’est pas un soin, mais bien l’arrêt de la vie.
Parce qu’une personne aimée et entourée choisit de vivre pleinement ce qu’il lui reste à vivre.
Parce que demander aux soignants de prescrire un poison comme on prescrit un médicament est une véritable transformation dans la finalité de leur vocation. Ceux qui, hier, se battaient pour que l’on vive, seront appelés à poser demain l’acte irréversible de nous donner la mort.
Parce que la réponse à l’ambivalence est la persévérance. Parce que chaque personne en souffrance vacille entre renoncement face à la mort et besoin de vivre.
Parce que notre première réponse en tant que proche, famille, aidant, soignant devrait toujours être d’écouter avant d’agir, d’accueillir avant de fuir. De traiter la dépression et non de permettre la mort. De consoler dans les épreuves, de porter sur nous une partie du fardeau de ceux qui souffrent. D’accompagner la vie sans croire qu’il nous appartient d’y mettre un terme.
“Il faut développer au maximum les soins palliatifs, la seule réponse valable”.
Voilà ce que je pense. Merci de votre courrier absolument juste et exact.
le macronisme dans sa splendeur du nazisme –LE DROIT DE TUER PAR IVG INSCRIT DANS LA CONSTITUTION ET TOUT MEMBRE DE LA MEDECINE REFUSANT DE DONNER LA MORT SERA POURSUIVI OU INTERDIT D’EXERCER — EUTHANASIE PROGRAMMEE C’EST ENCORE LE macronisme le droit de tuer les “”””LES VIEUX ”’QUI COUTENT TROP A LA SOCIETE— SIC les lagarde et attali —ou comment résoudre les manques de medicaments— de pallier aux manques de soignants et d’économiser et reduire les deficits de securite sociale et des retraites !! LE NAZISME A LA MANIERE DE LA RENAISSANCE —- signé “””fils”” et frere de criminels de guerre selon qui vous savez pour avoir repondu a la republique francaise de l”époque et donc participes a la guerre d’ALGERIE –je suis pupille de ma NATION pas de la sienne- pere mort en 1944 et grand pere mort en 1918 —
j ai eu le cas pour mon frere ainé qui a remplacé mon pere decedé , atteint d un cancer du poumon et de mon mari qui a perdu ses deux jambes qui me demandaient de leur donné de quoi mourir rapidement. Helas je n avais pas de quoi les satisfaire, et cela a ete une torture de les voir souffrir sans pouvoir les soulager. Quant aux soins pallatifs ils sont inexistants , les infirmiers (ees) sont debordes et n ont pas le temps de s occuper de la souffrance des gens.
vous publiez les commentaires qui ne vous posent pas trop de problemes ou bien vous etes lige du nazisme facon renaissance
Monsieur Combris,
Que vous soyez béni d’aimer, de soigner la vie et surtout le vivant. Vos mots sont profonds et pleins de bons sens. Que Jésus mon Sauveur vous poursuive de Sa bienveillance et Se révèle à vous comme le Dieu Créateur :
“Actes 17:24-28 LSG
[24] Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme; [25] il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses. [26] Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure; [27] il a voulu qu’ils cherchassent le Seigneur, et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, [28] car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est ce qu’ont dit aussi quelques-uns de vos poètes: De lui nous sommes la race… ”
La Bible, livre des Actes chapitre17, versets 24 à 28
Certes, vos arguments sont recevables. Mais quand on sait que notre vie prend fin, à quoi ça sert de vivre quelques jours de plus? J ‘ai beaucoup réfléchi à cela pendant mes chimiothérapies. J’ai en quelque sorte « apprivoisé « la mort.Je pense à elle avec sérénité . Je veux partir vite et bien.
l’idée que c’est plus facile de légaliser l’euthanasie est bien moins cher et créatif que renforcer les vrais soins palliatifs : très vrai!
Mais ma peur absolue est de perdre la tête et tout ce qui s’en suit! être un poids pour la société, ma famille et la connaissance de toute l’indignité de cette vie là ! Surtout dans la transition et bien sûr dans la situation du ‘légume ‘ qui perd progressivement tous ses savoir-faire… là, je désire transmettre la volonté de mourir des que possible, et le plus discrètement pour moi. Merci
Mourir de manière indigne pour un être humain c’est être maintenu dans un état de délabrement physique et intellectuel qui conduise à non seulement ne plus pouvoir se regarder , mais aussi ne plus pouvoir supporter de se regarder. Si à cela s’ajoute la souffrance c’est scandaleux de se donner bonne conscience en minimisant le choix possible d’être aidé a disparaitre dignemant: c’est à dire en mettant un terme au lien dorenavant juge inutile. Ce qui est important c’est alors le rapport que l’intéresse à avec la mort et non la bonne conscience des préjugés et des leçons moralistes que chacun exprimé. Je n’ai pas peur en tant que juriste d’utiliser le mot adequat d’euthanasie. Je ne crois pas que pousser les gens au suicide par arme à feu ou pendaison soit une décision humaniste en raison de la violence. Obtenir de l’aide pour disparaitre sans souffrance me paraît être le souhait de chacun. Quand au débat sur les derapages possibles , si le texte est bien encadré humainement et juridiquement, il est une turpitude bien inférieure en honte que ce qui se pratique aujourd’hui dans l’ombre de la vieillesse ou de la maladie. La bonne conscience moralisatrice est une manière très égocentrique pour régler le problème du choux de l’aide à mourir de manieredigne à ses yeux.
Légiférer sur l’euthanasie, c’est permettre à ceux qui le souhaitent d’y avoir recours. Cette loi n’est évidemment pas une obligation et ce n’est pas elle qui va décimer la population française.
Merci beaucoup pour cette information sur les soins palliatifs en progrès, sur ce point de vue différent du mien…. Jusqu’alors. Je vais reprendre ma réflexion sur ce douloureux sujet. 😞
Après plusieur phases Covid qui n’ont pas assez tuer à leur gout de citoyens, tous les moyens sont bons pour éradiquer le peuple sur la terre , a coté d’eux Hitler va bientôt passer pour un saint, autoriser l’eutanasie c’est ouvrir la boite de pendor, tout le monde sait que cela se faisait en douce, mais la les crématoriums n’arriverons plus a suivre
et surtout un très bon buiseness suivant le lieu entre 6000€ et 12000€ l’aide a mourir ou je dirais un contrat de meutre va faire des millionnaires
Je suis très croyante cependant, je refuse de finir mes jours comme ma maman dans un lit pendant 7 ans et dépendante de tous . Je refuse de souffrir inutilement tout en coûtant à la société.. Je suis inscrite à MDLD depuis 7 ans et j’aurai recours à la Belgique ou à d’autres…plus évolués quant à la souffrance. Si Dieu est Amour, il ne peut avoir que de la compassion car la maladie n’est pas toujours le fait du choix de l’âme, mais de notre quotidien mal géré..car nous sommes imparfaits…et pas toujours conseillés par nos anges gardiens… C’est un choix personnel que chacun doit pouvoir accepter ou non. Il y a des médecins humains ..c’est certain, et les autres qui se prennent pour Dieu le Père.. Je ne veux pas être un poids pour mes enfants, qu’ils viennent me voir dans un ehpad, délabrée..un légume inutile. ils ont à gérer leur vie qui n’est pas toujours un long fleuve tranquille de nos jours..
Bonjour Monsieur,
Je viens de lire votre message sur l’Euthanasie.
Je voudrais vous faire part de mon opinion à ce sujet.
C’est certain que l’Euthanasie n’est pas à prendre à la légère mais je pense qu’il faut laisser les personnes en souffrance de pouvoir prendre leur décision de vouloir finir leur vie ou non et ensuite étudier cas par cas leur demande.
Pour ma part, si je suis vraiment en souffrance, que mes douleurs sont vraiment insupportables, qu’il n’y a aucune solution pour me guérir, que je ne suis plus capable de pouvoir me débrouiller toute seule et dépendre de quelqu’un pour vivre alors je préfère ne plus vivre et de pouvoir en finir avec ma vie.
Bien cordialement.
Sue
Il faut bien distinguer (comme autrefois…) la ´ bonne ´Mort et la ´ Malmort’; dans tous les cas la Mort est une réalité terrible et inévitable à affronter. On doit essayer de s’y préparer,non de l’escamoter !!( son’ spectacle ´ embête surtout les survivants…qui auront le même destin !)
Bonjour Monsieur,
Après 40 ans de pratique comme neurologue et ayant été confronté maintes fois à des situations difficiles, je confirme parfaitement vos propos.
Ces politiques bien portants sans aucune expérience me révoltent, d’autant que l’aspect financier n’est étranger à tout ça.
Et le spirituel dans tout ça ?
Bien cordialement.
c’est culturel . suite à une vie bien remplie et si l’on a plus d’objectis à réaliseriI me parait légitime de pouvoir choisir sa mort
c’est un droit au lieu de faire profiter des inconscients qui profitent de la situation
D’accord avec votre article ! Avoir droit à des soins palliatifs de qualité, c’est là la dignité de la fin de vie.
Oui c’est un fait mais laissez décider les personnes de ce qu’elles veulent pour leur fin de vie car on doit parler également des inégalités régionales où les soins palliatifs ne sont pas donnés de la même manière dans les grandes villes : Paris Marseille etc….. que dans les zones rurales, Un ami est rentré à 80 ans dans un hôpital régional en pleine forme, il marchait 7 kms par jour dans les forets autour de son village mais il devenait pour son épouse difficile de s’occuper de lui (il était atteint de la maladie d’Alzheimer). En 3 mois après son entrée dans ce centre : il ne marchait plus, était en fauteuil roulant, avait des couches (car cela doit être trop compliqué de les emmener régulièrement aux toilettes, ils lui avaient enlever son dentier pour soit disant éviter les fausses routes ( je pense plutôt qu’il n’avaient pas le temps de nettoyer son dentier…) et ils ont mis 2 mois à lui couper les ongles des pieds….Il passe l’après-midi devant la télé où se succèdent des émissions débiles. et pour clôturer le tout, il a des ascars. Peut-on encore parler de dignité humaine pour une fin de vie, alors arrêtez de nous bassiner avec des “Oh les soins palliatifs sont très bien prodigués…” ……peut-être à Paris mais Paris ne représente pas toute la France…… Mettez les moyens dans ces centres où le maque de personnel se fait terriblement sentir. La roue tourne, et lorsque que vous aurez atteint l’âge de vous poser la question epad ou pas epad il sera trop tard…
Chaque être humain est unique et a son propre cheminement …je demande le respect des besoins de chacun….car ce n’est pas le cas actuellement….notre société est devenue tellement matérialiste….nous avons oublié le divin qui est en chacun de nous…réveillons- nous ! Nous avons notre libre arbitre et à chacun de décider ce qui est bien pour lui….merci à tous de vos réflexions sur ce sujet si important….💚💙💜
bonjour je pense que chacun a le droit de choisir moi je suis malade je souffre jour et nuit c’est pas une vie j’ai un mari des enfants des petits enfants. je ne suis pas seule et si je reçois un coup de téléphone ou qu’on vienne me voir pour l’euthanasie je dis oui dessuite
on peut me dire se qu’on veut c’est mon choix de plus souffrir et d’avoir toujours besoin de quelqu’un pour se que j’ai à faire. la souffrance eet la pire des choses
merci d’avoir le courage de remettre la vérité en perspective. La vérité, c’est que ce seront encore les laissés pour compte de notre société qui feront les frais de cette loi. Actuellement, se faire soigner devient un parcours du combattant et lorsque, seul, abandonné, on vous donnera le choix de mourir, comment ne pas faire ce choix dans le désespoir ? Et du côté des soignants, comment ne pas devenir schizophrène lorsque dans une chambre vous aurez à donner des soins jusqu’au bout, et dans la chambre à côté vous donnerez la mort ?
Il me semble que les deux solutions ne sont pas incompatibles, mais plutôt complémentaires.
En fonction de l’importance de la souffrance, du vécu de chacun, il est possible d’envisager une euthanasie. Mais je crois que c’est déjà pratiqué par certains médecins avec une sédation pour accompagner l’arrêt des soins. Est-il nécessaire de légaliser?
De toutes façons, les traitements anti-douleurs en soins palliatifs sont de plus en plus utilisés. Le problème réside dans le manque de lits, de formation et de personnel hospitalier. Construire un service public à la hauteur des enjeux est une priorité.
L’acceptation de sa propre mort est la première des conditions qui permet de réfléchir à son choix. Tant que nous pouvons nous exprimer, nous pouvons choisir. La question se pose pour les personnes inconscientes pour lesquelles il est difficile de comprendre ce qu’elles ressentent et souhaiteraient, même si une demande a été proférée antérieurement. Pour avoir des cousins suisses qui ont expérimenté familialement cette façon de mourir, je peux dire que pour la famille, c’est un soulagement de pouvoir accompagner la personne dans ces circonstances, car cela permet de prendre le temps de faire ses adieux. Difficile d’être péremptoire sur le sujet. C’est un sujet très personnel.
Je vous remercie infiniment d’oser dire ce que personne ne veut entendre.
Il y a maintenant trois ans, ma mère a été euthanasiée – dans les hôpitaux, cette pratique existe depuis longtemps et n’a pas attendu “la loi”. Tout s’est passé contre sa volonté et contre la mienne, je n’ai rien pu dire, personne n’a accepté de m’écouter.
Merci de réaffirmer le droit de tout être humain à la vie (je pense que, si paradoxal que cela puisse paraître, c’est bien à l’hôpital que ce droit est le plus menacé). Nous sommes fiers, à juste titre, d’avoir réussi à reculer l’âge de la mort. Mais quel sens cela a-t-il si nous n’avons pas la “dignité” de respecter toutes les expressions de la vie? La fragilité, la faiblesse, l’épuisement – physique et moral -, la complexité des situations individuelles, sont des réalités que nous devons reconnaître, accepter et accompagner.
Avec toute ma reconnaissance.
il faudrait déjà avoir accès aux soins palliatifs
ce qui n’est pas le cas ,faute de place et de moyen,je pense que depuis que la loi a été votée l’on aurait pu mettre les moyens nécessaires à son application
je crains que cette nouvelle loi sur l’euthanasie soit dans un but bien déterminé …? un moyen de remplacer les soins médicaux, puisqu’il
devient de plus en plus difficile d’avoir accès à
ceux ci ,le grand âge sera déterminant
rien de réjouissant…
il faut simplement mettre en place un accompagnement de fin de vie non lucratif accessible à tous et ce sera une avancée pour le respect de son prochain
je ne suis pas totalement contre pour les personnes ayant une maladie incurable ,mais je crains des dérives
j ai gardée ma mère pour les soins palliatifs. les douleurs les cris dans la nuit sont durs à supporter c est pourquoi les cris de douleurs
c est déchirant qui la garde et se lève à toutes heures de nuit pour la voir.
par contre mon père est à l’hôpital il criait de souffrances
ils le levait et l attacher à son fauteuil pour pas tomber cela à durer six mois et pourquoi pour enrichir la sécurité sociale et l hôpital. c est une honte
Je suis pleinement d accord avec votre lettre
La vie humaine et le désir de vivre sont d une grande complexité et non réductibles à une loi de “bien-portant anxieux de leur finitude”
bonjour, merci pour votre correspondance bienveillante !! je suis totalement d’accord avec l’idée de choisir le mieux vivre sa fin , plutôt que comment mourir plus vite !! le gouvernement travaille plus dans le sens de réflexion de mr Attali !! Et du coup , là encore on entre dans la budgétisation de la fin de vie , plutôt que dans une recherche réelle du confort et de l’accompagnement au mieux partir !! Lumineuse journée !
Bonjour, j’ai passé 88ans, depuis plusieurs années je ressens des douleurs un peu partout.
j’ai la moelle épinière comprimée au niveau des cervicales, une scoliose très avancée au point que mes côtes se chevauchent.
pourtant j’ai fait beaucoup de sport, courrir chaque jour le matin avec mon chien une dizaine de kilomètres, j’ai fait trois fois Paris Roubaix amateurs.
Malgré ces douleurs, je fais des travaux que je sais que c’est dangereux, surtout que je n’ai plus d’équilibre, si je il m’est impossible de me relever seul.
Pour en revenir à l’euthanasie, je suis pour surtout que j’ai suivi une de mes sœurs très pieuse ( pas moi ) qui souffrait d’un cancer de l’estomac, chaque jour j’étais pré d’elle à l’hôpital, un jour le curé de la paroisse est passé pour lui rendre visite dans sa chambre je ne suis pas sorti ( une de mes autres sœurs me l’a reproché ).
Le curé en rentrant dans la chambre a prit la main de ma sœur en lui disant avec un grand sourire ” tu es prête Nelly “.
j’étais furieux.
Pour terminer mon message, je souhaiterais finir comme ma mère qui est décédée dans son lit la nuit, et c’est ma sœur chérie Nelly qui l’a vu.
oui, Nelly qui a perdu son mari à cinquante ans, deux de ses enfants sa fille Sabine 35 ans mère de deux enfants, Didier cancer aussi mort il a eu la ” chance ” de voir ses jumelles quelques jours avant de mourir, il a dit à Nelly, tu vois maman je te laisse un beau cadeau mes filles Josèphine et Léonie.
ce message n’a peut-être rien à voir avec l’euthanasie, mais ça fait du bien de partager
L’euthanasie reste une porte ouverte aux éventuels abus Et ce nest pas ce siècle, où le corps médical a carrément failli à sa dignité qui peut nous encourager dans ce sens. Cependant, chaque cas demeure particulier et la souffrance poussée à son paroxisme et non soulagée pose aussi un problème de dignité. Difficile débat
je ne comprends pas le fait que j’ai laissé un message et que vous ne l’avez pas reçu
SOIGNANTS NOUS SOMMES PORTEURS DE VIE
96% des personnes françaises interrogées se disent favorables à l’euthanasie .
A qui la question a été posée? à des personnes bien portantes dans la rue,
à des personnes fatiguées de ne pas recevoir les soins dont elles ont besoin(soins palliatifs, soins humains d’écoute, de douceur, de respect, d’aide pour certaines actions, etc.,
à des personnes pour lesquelles les personnes en fin de vie sont gênantes ,coûtent trop chères à la société, aux familles ? que sais-je?
La liberté, oui, mais une loi c’est non pour moi.
Une société qui ne prend pas bien en charge ses éléments les plus faibles devient une société décadente.
Mon mari est mort d’un cancer il y a 10 ans. Il avait toujours dit préférer être euthanasié plutôt que d’être un légume pourtant à la fin il avait changé d’aves. Il a pu heureusement aller en soins palliatifs où il est mort paisiblement Je crois qu’il faut attendre d’être dans le cas pour prendre une décision.
SVP DOCTEUR BURNOD ET LES AUTRES !!!VOTRE DEBAT EST DIRIGE ,DOMMAGE…..
LES EXEMPLES AUSSI HELAS
LES CHIFFRES AUSSI…
NOUS POURRIONS DEBATTRE SANS FIN
GARDONS NOTRE ENERGIE ELLE EST SI PRECIEUSE !!!
MERCI ET BONNE SANTE A TOUS.
j’aime beaucoup ce que vous avez écrit et le ton que vous employez. je suis moi-même médecin et membre depuis longtemps de l’admd.
En ce qui me concerne, je voudrais éviter au maximum la douleur physique, ( je ne suis absolument pas masochiste !) mais je souhaite très vivement être consciente lors de ma mort, ce grand passage que j’attends avec beaucoup d’intérêt et de curiosité . J’ai 85 ans. je suis prête.
je vous suis dans votre argumentation, il faut vivre près d’une personne qui souffre pour bien débattre de cette future loi.
il y a des jours d’abattement et des jours d’espoir, à quel moment faut-il interroger la personne qui souffre ? si c’est le mauvais jour , il y a des chances que l’euthanasie peut être demandée, sinon dans les bons jours , la personne malade sera heureuse de vivre en votre compagnie. comment se fait-il que les psychologues ne soient pas consultés? Qui pourrait être fier de tuer son épouse ou un membre de sa famille aussi facilement et sans regret en s’appuyant sur une loi sans aucune humanité ? Je suis d’accord avec vous.
j’ai été infirmière anesthesiste pendant 33 ans et a maintes reprises des patients m’ont demandé de ne pas les réveiller : je leur ai simplement demandé comment ils pensaient que j’allais vivre avec ma conscience après cela. Sans exception ils ont avoué ne pas avoir pensé à cela et…m”ont dit merci en se réveillant.
aller demander à n’importe qui dans la rue pro euthanasie, s’il voulait vous accompagner à l’hôpital pour tuer quelqu’un. vous ne trouverez jamais de volontaire. on ne devrait pas légiférer sur ce sujet qui ne doit pas en être un. chacun doit être responsable de sa vie donc de sa mort qui n’appartiennent à personne d’autre que soi.
Je suis entièrement d’accord avec vous et on préfère tuer que de soigner à TOUS les niveaux:physiques,psychologiques,spirituels.On manque de temps,de personnes (soignants,aidants naturels,famille,..)pour accompagner une personne malade ..On manque d’amour dans notre société hyper-matérialiste ,individualiste et je devrais parler de la société occidentale,riche.Pour des médecins qui ont fait le serment de soigner,ce nouveau “concept”de tuer est déchirant et j’en connais.Oui,que veut dire mourir en dignité?Certainement pas en donnant la piqûre qui tue….”Pardonne-leur ,car ile ne savent pas ce qu’ils font”(Jésus)
Bonjour ! Lorsqu’un patient souffre terriblement, et qu’AUCUN médicament ou protocole de traitement n’atténue sa souffrance, il n’est pas humain de le laisser dans un tel calvaire. A partir du moment où il n’existe plus aucun recours auprès des services médicaux compétents à l’échelle internationale. C’est se transformer en bourreau insensible à la souffrance insupportable de son patient, et c’est inhumain que de ne pas avoir le courage et l’audace d’intervenir.Alors, quelle attitude s’impose désormais ; si le patient dans son calvaire qu’il continue de subir, implore son soignant de lui injecter le produit qui va le libérer de cette insupportable souffrance, à ce niveau ultime de cruauté de la douleur, l’action est considérée comme un soin incontournable, soin auquel doit répondre tout soignant face à une telle situation. Ce que demande le patient doit être entendu par plusieurs personnes afin d’assumer la finalité exprimée ; le soignant ou médecin, l’infirmière du service, une ASH du service, un ou des membres de la famille du patient, ainsi qu’un ou des amis chers, voire un commissaire de justice. Il serait utile qu’une lettre soit remise par le patient lui-même dès son arrivée, à l’ensemble du corps médical, à titre préventif. Ceci est mon avis. (Uniquement dans le cas de souffrance INSUPPORTABLE et IRREMEDIABLE).
Ma vie m’appartient je veux pouvoir en disposer mais dès que les choses se dégradent on doit foutre le kan et ne pas etre une charge pour les autres.
Vive la Suisse ki autorise l’ euthanasie
La france c’est une grosse MERDE
laisser mourir les patients de soifs ,de faims ,les laisser souffrir ,vous l’ appelez comment ? pour moi c’est comme “Ponce Pilate ” c’en laver les mains !!
Bonjour,
cette histoire de suicide “assisté” ou “euthanasie” ou autre n’est qu’une grosse M…..
comme pour l’idée d’étendre aux handicapés mentaux et autres!!!
Cela s’appelle de l’ EUGENISME ou peu s’en faut; comme le faisaient les nazis dans la dernière guerre.
(Vive la race pure!!!).
A celles et ceux qui voteront cette M…., je leur souhaite de vivre en paix avec leur conscience ou
d’en cr…..
Bonne continuation à vous.
Les euthanasistes sont égoïstes, ils n’ont pas de temps … à donner pour accompagner …
Bonjour,
Pour moi, le suicide assisté n’est pas à exclure ni à légitimer non plus, mais bien à considérer au cas par cas avec la plus grande éthique et respect de la vie et après avoir envisagé toutes les solutions possibles auparavant (les soins palliatifs et dernières volontés), le lien humain étant prépondérant et les personnes toutes uniques et avec des parcours de vie uniques. Nous n’allons pas souhaiter que la plus grande complaisance règne dans ce domaine, car ce serait la porte ouverte aux dérives où l’être humain n’a plus de choix ni le droit de changer d’avis; Il y a un si grand nombre de thérapies et d’aides existantes et de soins contre les douleurs qu’il serait dommage de ne pas les utiliser pour tous; reste la volonté politique et les moyens humains à y consacrer, ce qui pourra entraîner la création d’emplois fort utiles. La société s’humanisera de plus en plus dans cette optique. L’euthanasie devrait rester une exception dans des cas extrêmes.
Je fais partie de ceux qui ne veulent pas de soins palliatifs,mais qui veulent finir dignement dès que les souffrançes seront trop dures à supporter et la dégradation physique installée,je milite avec l’association du droit à mourir dans la dignité.J’ai vu trop de personnes de mon entourage ,des cancers qui occasionnaient des souffrançes insupportables,alors moi je dis bien moi je veux que l’on m’endorme doucement,je pense que chaque personne doit avoir la mort qu’il souhaite,c’est notre décision qui importe.
Pour une personne qui renonce à partir en Suisse pour mourir, combien souhaiteraient pouvoir y aller, ce qui n’est pas possible pour elles FAUTE D’ARGENT. Espérons que la loi abolira en partie cette ségrégation par l’argent en donnant les mêmes droits à tous en fin de vie. Notre devise parle de LIBERTE mais aujourd’hui, jusqu’aux derniers instants, ce n’est pas le cas.
je suis tout à fait d’accord avec tout ce qui a été dit ici, bien manger, utilité de la chrono-nutrition (voir Pr RAPIN), diffusion des HE le soir avant le coucher, les sorties une fois par semaine par exemple, au restaurant ou au cinéma pour ceux qui peuvent se déplacer!!!
IVG ET EUTHANASIE LE NAZISME MACRONIEN
Je suis pour l’euthanasie seulement lorsque l’on ne peut plus rien faire. Mais si en soins palliatifs, on peut aider à vivre plus longtemps, je suis totalement pour, la vie est précieuse
Je suis tout à fait d’accord avec vous quant à la fin de vie! Si les malades avaient une meilleure prise en charge, s’il y avait des unités de soins palliatifs sur tout le territoire il y aurait moins de demandes d’aide à mourir!
Je suis bénévole au sein d’une association d’accompagnement de personnes en fin de vie et de leur famille, comme “Jalmalv”, mais notre action se situe dans les cinq départements de l’ancienne Aquitaine, c’est l’association “Alliance”, chapotée par la Fédération du même nom, elle-même sous le contrôle de la SFAP.
Une formation initiale est proposée aux personnes intéressées par le bénévolat d’accompagnement, ainsi que des formations continues .
Nous sommes actifs au sein de l’hôpital et à domicile.
Nous constatons comme ces services sont appréciés des patients et de leur famille!
Une fois que la douleur est contrôlée, nous n’entendons plus de demande d’euthanasie!!!!!
Nous voulons vivre et profiter des derniers instants de notre vie!!!!….
Pour ou contre peu importe, mais accompagner, entourer, soulager, les douleurs de la personne en fin de vie sont primordiales et sans oublier aussi les aidants, mais le manque de personnels soignants et formés,et aussi les structures sont la raisons de ce débat .
Car nos politiques sont très loin de la réalité et naviguent dans leur monde de privilégiés, et sont sourds et aveugles ………. détricotent le service de santé dans tous les domaines………………….
je suis pour l’instant à peu près bien portant.. mais je suis contre l’euthanasie,,
je suis pour renforcer les centres de soins palliatifs pour pouvoir finir sa vie confortablement sans souffrances , le gouvernement veulent légaliser l’euthanasie pour gagner de l’argent, une petite piqûre et hop cette personne ne coûte plus rien, par contre laisser vivre encore quelques mois des personnes ça coûtent de l’argent à l’état…. une honte d’en arriver là…
C’est vrai qu’on ne veut pas être un fardeau pour les autres et on désire l’ aide à mourir quand on est pas malade .Une fois rendu là et avec des soins appropriés je ne sais ce que je ferais…..?
Je suis entièrement d’accord avec tout ce que vous dites dans cette lettre, car tout y est parfaitement argumenté. Et le “camembert” est particulièrement éclairant ….
Il y a aussi une phrase dans votre article qui me parait déterminante. C’est celle ci:
“Aujourd’hui sur 300 000 patients qui devraient être pris en charge en soins palliatifs, seuls 100.000 y ont accès…”
Elle met le doigt sur ce qui me semble être la raison majeure de cette hâte étatique pour légaliser l’euthanasie: une raison ÉMINEMMENT POLITIQUE !!!…
Cela couterait beaucoup moins cher aux gouvernements ultra libéraux de droite (et d’extrême droite) de permettre à quelqu’un en fin de vie de choisir de mourir plutôt que de multiplier par trois l’accès aux soins palliatifs et que d’investir suffisamment sur le plan financier pour que ce type de soins offre un cadre vraiment humain, même à des personnes qui “n’en ont plus pour longtemps”.
Cela fait au moins 5 mandats gouvernementaux successifs que l’on ne cesse de diminuer les enveloppes budgétaires pour tous les services publics, à commencer par l’Education Nationale, la sécurité sociale, la santé en général et le système hospitalier en particulier, directement concerné par la question de la fin de vie.
Alors c’est très logique, dans une telle “logique”, que le gouvernement actuel tienne tant à légaliser l’euthanasie.
Et ce qui est grave aussi, c’est qu’il semblerait que les parlementaires de la vraie gauche tombent aussi dans le panneau. La vraie gauche, c’est à dire celle qui est assez radicale pour avoir à son programme la restauration du système social français tel qu’il avait perduré de la Libération aux années 1995 environ.
On paie toujours autant d’impôts qu’il y a trente ans, voire plus…. On est de plus en plus contrôlés, fichés même, sur le plan administratif, et en même temps les aides de l’état républicain diminuent comme peau de chagrin pour l’accès de tous à la satisfaction des besoins humains fondamentaux….et au droit à une vie digne, justement….
Merci pour le contenu de cette lettre de Direct Santé.
Oui vous avez raison
L’augmentation de l’offre de soins pour permettre aux gens de continuer dignement de vivre le temps qu’il reste.
C’est ça LA DIGNITE
je demande l’augmentation des soins palliatifs avec un accompagnement de thérapies de bien ère,massages,relaxation ,musicotherapie,écoute avec professionnels de santé, accompagnement spirituel, sortir de sa chambre qd c’est possible, compagnie d’un animal, etc…
Je suis contre cette loi aberrante. La mort est inéluctable pour chacun d’entre nous. Mourir dans la dignité oui, en soulageant la personne de ses souffrances, mais pas d’interferer dans l’heure où elle doit se faire. Pas agréable à dire, mais là mort fait partir de la vie. on nait et au bout on meurt pour laisser la place à d’autres vies. Comment peut on pondre des lois aussi aberrantes pour inciter les gens à mourir plus tôt. Non à l’euthanasie et au suicide assisté. bonne façon de ne pas porter la responsabilité à ceux qui ont voté cette loi.
Je pense que ce gouvernement ne veut pas faire en sorte de mettre en place plus de soins palliatifs parce qu’ils ont un objectif, c’est de faire une dépopulation mondiale.
Le problème avec eux, c’est que ça ne ça pas s’arrêter qu’aux personnes qui veulent partir.
pas besoin de suicide assisté, ils ont vacciné les gens contre covid alors les veinnes se bouchent …
Bonjour,
Un sujet très sensible ! Bon, je pense qu’une personne qui souffre à cause d’une quelconque maladie aimerait qu’elle soit entourée et aidée à guérir. Même si au bout de ses souffrances elle senge à l’euthanasie, néanmoins le devoir du corps médical consiste à guérir les gens et non à les aider a mourir. Donc, en conclusion, je pense que les professionnels de la santé doivent faire tout leur possible pour sauver ces vies
Merci.
J’ai 85 ans et en apparence en bonne santé pour mon âge. Vos réflexions me font réfléchir alors que j’étais favorable “au suicide assisté” à cause principalement des douleurs. Mais vous posez un vrai problème si l’on peut réellement atténuer ces douleurs, quel serait alors mon choix.
Si l’on est très diminué sans possibilité de communication est-ce le même problème? Comment redonner vie à celle qui apparait comme inexistante . . .
Vous avez au moins le mérite de poser le problème, et ce qui semble aller de soi quand on est loin de l’âge de ces choix est totalement différent quand le problème surgit pour soi. Est-ce possible de choisir pour quelqu’un d’autre car quel est sa réelle lucidité quand il le demande.