Chers amis,
« Vous êtes des complotistes !»
Dès qu’on s’interroge sur la sincérité de nos représentants politiques ou sur d’éventuels objectifs dissimulés des multinationales pharmaceutiques, on est invariablement taxé de « complotisme ».
Difficile de ne pas observer que cette accusation s’intensifie ces dernières années.
On a même vu émerger des « spécialistes » dont l’activité, subventionnée bien sûr, consiste à crier au complot dès qu’un avis contradictoire s’exprime (sur les vaccins, le covid, la guerre ici ou la paix là).
Ainsi, l’officine Conspiracy Watch, dirigée par M. Rudy Reichstadt, « donne le la en matière de complotisme », d’après l’hebdomadaire Marianne.
Il décerne les bons et les mauvais points, sans rendre de compte à personne.
Soit vous êtes dans ses petits papiers, soit vous êtes…complotiste.
Peu importe si vous êtes un grand professeur de médecine (Raoult, Perronne) ou un Prix Nobel (Luc Montagnier), vous êtes complotiste si Conspiracy Watch l’a dit, et c’est tout.
Pareil pour l’Observatoire du Complotisme, dirigé par M. Tristan Mendès France, et qui en
2021, martelait partout que le vaccin contre le Covid ne serait jamais obligatoire. Ceux qui pensaient le contraire étaient des complotistes…
Bref. Vous avez saisi l’objectif : faire passer toute personne qui doute pour un paranoïaque, et court-circuiter ainsi la critique et la défiance envers le discours officiel.
Comme si les puissants de ce monde n’avaient jamais œuvré dans notre dos pour conserver leurs intérêts ou prendre le pouvoir !!
Comme si les assassinats de Jules César ou d’Henri IV n’avaient pas existé, que l’affaire du sang contaminé ou du Médiator étaient des mythes.
Pourtant l’Histoire est évidemment jalonnée de complots et de jeux de pouvoirs.
Et la santé est aujourd’hui devenu un sujet à la fois économique – avec des enjeux financiers énormes – et politique, certaines mesures permettant d’installer progressivement un contrôle de la population (vaccination, limitation des naissances, pass sanitaire, pass vaccinal, etc.).
« Ils » décident ce qui est bon pour nous. Et nous n’avons pas notre mot à dire. Est-ce acceptable ? Non.
Alors à ceux qui hurlent au « conspirationnisme », je voudrais à nouveau rappeler l’affaire de la Dépakine, revenue à la une de l’actualité avec la condamnation du laboratoire Sanofi le 9 septembre 2024 : 285 000 euros à verser à la lanceuse d’alerte Marine Martin pour « défaut d’information des risques ».
Traitée à la Dépakine durant ses deux grossesses, cette femme a vu son premier fils venir au monde en 2002 avec des malformations et d’importants troubles neurocomportementaux. Son second fils en sera atteint, lui aussi.
La Dépakine, ce médicament prescrit contre l’épilepsie, on le sait aujourd’hui, c’est 8368 victimes, 1866 avortements et 200 décès.
Et ce qu’on sait aussi, c’est que la toxicité in utero de la Dépakine était totalement connue de Sanofi depuis de très nombreuses années.
Quand la vérité se fait trop crue, n’est-il pas bien pratique d’accuser les lanceurs d’alerte ?
Raisons d’espérer
Maintenant faut-il espérer que les choses changent en 2025 ?
Honnêtement…il est tentant de répondre « oui ». En pleine trêve des confiseurs, dans ce temps ouaté qui fait la jonction entre deux années, on a tout sauf envie de rajouter une couche de pessimisme.
Pourtant il faut être réaliste.
Big Pharma ne lâchera rien, et ses porte-flingues non plus.
Mais tout n’est pas perdu, loin de là.
La vérité prend son temps, mais elle arrive à bon port.
Il n’y a pas si longtemps, ceux qui émettaient l’hypothèse que le virus du covid -19 provenait d’un laboratoire à Wuhan étaient systématiquement traités de paranoïaques, voire de dangers publics. Voyez plutôt cet article du journal Libération, daté du 30 mars 2020 :
Il vaut aujourd’hui son pesant d’or, surtout avec la publication, le 4 décembre dernier, d’un rapport d’enquête sur la pandémie du covid 19 par le Congrès américain, affirmant au contraire qu’il s’agit aujourd’hui de l’explication « la plus plausible » des origines du virus.
Ce n’est qu’un exemple. Il y en aurait des dizaines d’autres.
Mais il pose une question difficile : peut-on encore faire confiance à ces « autorités », politiques, industrielles, médiatiques, qui se sont tellement discréditées ces dernières années ?
La réponse n’est pas tranchée.
Elle requiert de la subtilité, du dosage, de l’investigation, etc.
Ce qui est sûr en revanche c’est qu’on ne peut pas leur accorder un chèque en blanc.
Il est du devoir de chacun de s’informer et surtout, de se préparer.
Voilà pourquoi, en ce début d’année, nous avons décidé de vous offrir un guide spécialement conçu pour se protéger et faire les bons choix santé : « Autodéfense santé ».
Il a pour vocation d’aiguiser votre esprit critique, de vous pousser à enquêter, à chercher les bons renseignements, à penser par vous-même.
Il existe aussi pour ouvrir d’autres perspectives, faire entendre d’autres voix.
Celles que portent haut et fort les naturopathes, les aromathérapeutes, phytothérapeutes et tous les détenteurs d’un autre savoir qu’on essaye de faire taire quand il fait vaciller le « santé business ».
La santé naturelle n’a rien à cacher et vous ne risquez rien à tenter de vous soigner autrement avec les nombreux remèdes que vous trouverez dans ce guide d’autodéfense. Tous ont été validés par la science, et par l’expérience des malades.
Ces remèdes n’enrichissent personne, mais ils offrent à chacun la possibilité de s’interroger sur sa propre santé, de (re)-découvrir ses pouvoirs d’auto-guérison, et de retrouver une vitalité qu’on disait « perdue ».
C’est ce que je vous souhaite pour l’année 2025 !
Santé !
Gabriel Combris