Chère lectrice, cher lecteur,
Vous vous souvenez peut-être de Gregg LeMond, champion cycliste américain1.
Gravement blessé lors d’un accident de chasse en 1986, les médecins lui avaient annoncé un pronostic formel : il passerait le reste de sa vie dans une chaise roulante. Le vélo, c’était fini pour lui.
Deux ans plus tard, LeMond était…de retour sur les Champs Elysées, un maillot jaune pétard sur le corps : il venait de remporter le tour de France !!!
Comme lui, de nombreuses autres personnes qui étaient « condamnées » par la médecine ont pourtant réussi à guérir, déjouant tous les pronostics les plus sombres.
Les scientifiques ont étudié les cas de ces survivants exceptionnels.
Ils ont découvert qu’ils avaient un étonnant point commun, un chemin de guérison qui suivait des étapes précises, souvent inattendues, parfois en rupture profonde avec les codes que la société nous impose.
Surtout, ils ont observé que les bien-portants avaient tout à gagner à s’inspirer de ces étapes, à titre préventif.
Il y a toujours eu des patients qui n’ont pas suivi le cours « normal » de la guérison.
Pourquoi ?
C’est quoi une guérison « normale » ?
Lorsque l’organisme répare un os cassé, on considère que ce n’est pas un miracle.
Pourtant, en tant que processus de guérison, il s’agit d’un mécanisme bien trop complexe pour être reproduit par la science médicale ; il implique un nombre incroyable de processus parfaitement synchronisés dont la science ne connaît que les plus importants, et encore, imparfaitement.
Les raisons qui font que guérir soi-même d’un cancer est un miracle alors que réparer la fracture d’un bras n’en est pas un, relève, d’après le Dr. Chropra, « du domaine de l’association corps-esprit » :
Cette vision impliquerait qu’il y aurait deux sortes de guérisons, l’une « normale » et l’autre, « exceptionnelle »
Pour le Dr. Chopra, cette distinction n’a pas lieu d’être.
Les génies du « corps-esprit »
Un bras cassé se répare parce que la conscience en a décidé ainsi, et il en est de même pour la guérison « miraculeuse » d’un cancer ou la capacité de vivre à un âge avancé sans être diminué par la maladie.
La raison pour laquelle nous n’arrivons pas tous à entraîner le processus de guérison aussi loin qu’il peut aller réside dans nos différentes manières de mobiliser ce processus.
Ce qui différencie un rescapé d’un non-rescapé, toujours selon Chopra, c’est que les « vainqueurs » ont appris à encourager leur propre guérison.
Ce sont les « génies de l’association esprit-corps ».
La médecine moderne ne peut même pas prétendre reproduire leur guérison, en ce sens que nulle guérison fondée sur des médicaments ou la chirurgie ne peut être aussi précisément réglée, aussi parfaitement coordonnée, aussi dépourvue d’effets secondaires.
Leur capacité prend naissance à un niveau si profond que nul ne peut aller au-delà.
Si nous parvenons à savoir ce que fait leur cerveau pour encourager le corps, nous aurions dans les mains l’unité de base du processus de guérison !
Les patients atteints de cancer qui guérissent spontanément ressentent tous un changement radical avant leur guérison. Brusquement, ils pensent « Je ne suis pas limité à mon propre corps, tout ce qui existe autour de moi fait partie de moi ».
Ce saut dans la conscience semble représenter la clé du problème.
Ce changement, les scientifiques le nomment le quantum : « le terme dénote un saut discret d’un niveau de fonctionnement à un niveau plus haut – le niveau quantique ».
Mais comment manifester concrètement ce bond en avant ?
Faire un « bond quantique »…concrètement, comment ça se passe ?
Nous avons déjà évoqué ensemble le cas du Pr Simonton, qui a soigné un patient atteint d’un cancer de la gorge jugé irréversible2.
Ce médecin apprit à son patient à se « figurer » son cancer ainsi que son système immunitaire, à les visualiser de la façon la plus imagée possible.
Le malade se prit si bien au jeu qu’il ne parlait bientôt plus de « cancer » ou de « tumeur », mais décrivait à la place de véritables scènes d’apocalypse, où le tourbillon des particules blanches représentant le système immunitaire recouvrait progressivement, jusqu’à l’ensevelir, un rocher noir menaçant, symbole de la maladie.
Dans cette guerre du bien contre le mal, du pur contre l’impur, le patient devenait un acteur déterminé à vaincre. Et lui que les médecins avaient condamné vit sa tumeur régresser au bout d’une semaine et disparaître entièrement après deux mois !
Un miracle ? Peut-être. Mais qui repose sur des bases solides, que sont la méditation et la concentration sur des pensées positives.
« Je vais guérir », « La blancheur va recouvrir la noirceur », « La vie triomphera ». Le patient du Pr Simonton vivait sa guérison en la visualisant.
Cette mécanique lui était si évidente que quelque temps plus tard, il revint voir le Dr Simonton en lui expliquant que l’arthrite dont il souffrait l’empêchait de pratiquer son activité favorite : la pêche en rivière.
Ne pouvait-il pas aussi s’en débarrasser avec la visualisation ?
En réalité, il avait déjà commencé à le faire. Et quelques semaines plus tard, son arthrite AUSSI avait disparu.
Il n’y eut pas de rechute pour aucune de ces deux maladies pendant les six années où il continua à consulter le Dr. Simonton !
Le naturopathe Michel Dogna raconte une expérience qu’il a conduite avec une femme, qui avait eu un accident de voiture et qui était passée à travers le pare-brise.
« L’une de ses mains était paralysée en raison de la section du nerf radial qui s’était rétracté de 17 cm. Ceci avait été jugé inopérable par les chirurgiens.
« Cette femme effectua pendant 6 mois, matin et soir, un exercice de visualisation qui consistait à imaginer pendant 5 minutes, les deux morceaux du nerf qui se rejoignaient lentement, telles des racines de lumière, à l’intérieur du bras. La repousse fut suivie à la radio et la suture se fit au bout des 6 mois. Elle reprit un an plus tard son sport favori… la varappe ! »
« Ce type d’exploit est à la portée de chacun. Ce n’est pas un problème de volonté, mais de persévérance. Il s’agit simplement d’un exercice de visualisation la plus nette possible, à refaire chaque matin et soir »3.
Ce tourbillon positif, la science le démontre aujourd’hui, a des conséquences physiologiques remarquables.
C’est notamment ce qu’a montré la célèbre étude de la Mayo Clinic, poursuivie pendant près de 30 ans : les personnes optimistes vivaient 19 % plus longtemps que les pessimistes, avec des capacités physiques et une qualité de vie meilleures ! 4
Les secrets de ceux qui ont guéri « alors qu’ils n’auraient pas du »
Le psychologue Alain Moenaert a étudié les cas de plus de 200 survivants « exceptionnels » (patients séropositifs, accidentés souffrant de séquelles irrémédiables, malades de cancers avancés, etc.), et il a identifié douze étapes par lesquelles sont passés tous ceux qui ont guéri « alors qu’ils n’auraient pas dû… 5».
Voici quelques-unes des plus importantes d’entre elles :
- Accepter le diagnostic, refuser le pronostic
- Recadrer la catastrophe en « opportunité »
- Prendre sa responsabilité dans la création du problème
- Devenir la personne la plus importante
- Comprendre le message
- Nettoyer le passé
- Vivre sa vie
La maladie nous touche dans notre ADN comme dans nos références, et entraîne une crise existentielle, avec c’est vrai un danger qui peut être vital, mais aussi l’opportunité de découvrir un chemin intérieur qui nous mène à la profondeur de notre être.
Comme si en faisant tomber l’armure qui nous protégeait, elle nous délivrait en même temps du carcan qui nous empêchait d’aller où nous devions vraiment aller.
Pour avancer sur ce chemin nos deux « jambes » ne seront pas de trop.
L’une d’elles va prendre appui sur « les solutions extérieures » que sont la médecine, l’hygiène de vie, l’alimentation, etc. tandis que l’autre va s’appuyer sur « la solution intérieure » :
Évidemment, une telle perception de l’événement tragique n’arrive qu’après une maturation progressive.
Pour le Dr Medynski, qui a travaillé près de dix ans dans un service de cancérologie, « certains patients remercient le ciel d’être tombés malades ».
Pas à l’annonce de leur cancer, évidemment…Mais par la suite.
Comme une vie réglée par les contraintes ou les relations toxiques acceptées par habitude, devoir, etc.
Mais avant de parvenir à une telle sérénité, le malade a franchi plusieurs autres étapes.
Devenir la personne la plus importante de sa vie
La première d’entre elles est l’acceptation du diagnostic assortie d’un refus du pronostic. « Le diagnostic,c’est simplement la réalité de la pathologie. »
A ne pas confondre avec le pronostic, autrement dit, le temps de vie ou les séquelles que la médecine prédit sur la simple foi de statistiques.
Et puis « pour prendre la responsabilité de sa maladie, il faut en comprendre le message », explique Alain Moenaert.
Et toutes les personnes qui ont connu une guérison exceptionnelle partagent le sentiment que la maladie n’est pas arrivée par hasard dans leur vie.
« La maladie n’est pas quelque-chose que j’ai mais quelque-chose que je fais »…
Cette prise de conscience permet alors au malade d’opérer un profond changement d’orientation.
De devenir enfin, « la personne la plus importante de sa vie »
Dans son livre « Cancer : un accompagnement qui change tout », le dr. Eric Ménat partage le même regard :
« J’ai constaté que la très grande majorité des patients que j’ai pris en charge pour un cancer sont des personnes qui ne s’occupent pas d’elles, qui ne prennent pas de temps pour s’écouter ou écouter leur corps. »
« Ce sont souvent des personnes portées vers les autres, mais qui ne s’intéressent pas à elles-mêmes, voire qui ne s’aiment pas. Prendre du temps pour soi est considéré par elles comme de l’égoïsme ou de la vanité. Cette croyance vient souvent de l’enfance et a parfois été transmise de génération en génération. »
Reprendre contact avec soi-même, s’écouter et savoir mieux s’aimer…voilà quelques secrets de ces « miraculés de la maladie »…bien utiles à avoir en tête aussi quand on n’est PAS malade.
Santé !
Gabriel Combris
Sources :
1 – https://fr.wikipedia.org/wiki/Greg_LeMond
2 -https://www.directe-sante.com/emotions-osez-affronter-votre-fantome-interieur/
3 – Lettre de Michel Dogna, 27 février 2020
4 – Maruta T.,Colligan R.C, Malinhoc M., Offord K.P., « Optimism-pessimism assessed in the 1960s ans self reported health status 30 years later », Mayo Clinic Proceedings, 2002,77,p.748-753.
5 – Les 12 étapes de guérison, Modélisation de guérisons exceptionnelles. Le souffle d’or.
Bonjour, je suis totalement convaincu que la visualisation peut nous aider à guérir.
Mais ce n’est pas à la portée de tous.
Pensez vous qu’il serait possible d’aider les gens grâce aux techniques informatiques.
En fonction de la maladie, on pourrait concevoir une vidéo où on verrait “réellement” la maladie évoluer positivement. Ce devrait être le plus réaliste possible et le scénario bâti par des médecins.
Le malade pourrait ainsi regarder la vidéo plusieurs fois par jour.
Il faut que se rencontrent des médecins et des informaticiens.
Et pourquoi ça ne marcherait pas ?
Bonjour , monsieur . Un article , déjà publié , je crois , mais toujours aussi éclairant et réconfortant , qu il faut transmettre à nos connaissances ( fait pour ma part ! ) . Merci pour tout ce que , vous et vos ” collègues ” de la santé naturelle nous donnez . Vous êtes moteur et lien indispensable dans la propagation de cette ” bonne Nouvelle ” de la santé ” O Naturelle ” . Tenez bon et persévérez . Nous avons besoin de gens comme vous . MiB.
Bonjour,
Je suis sophrologue. Vous lire est une évidence. Je travaille la visualisation positive.
Nous avons tous en nous la capacité de de se surpasser. La résilience, l’ acceptation de soi, la confiance en soi,et l envie de vaincre peuvent mener dans bien des cas à une guérison. Merci.
Je suis d’accord avec vous.
On arrive très bien à se focaliser et donner une image et une vie extérieure à la maladie qui nous touche.
Une atteinte vertébrale me conduisant à devenir grabataire après quatre opérations éloignées chacune de 9 mois, immobilisation totale durant quatre mois après chacune et lombostat en attendant la suivante…
Je vivais avec cette tumeur, elle était mon ennemie, je n’ai jamais baissé la garde. Je ne voulais pas la nourrir.
Je marche normalement, je jardine, c’était en 1989, je fais cinq km par tous les temps chaque jour avec mes chiens.
Le covid m’est tombé dessus le 6 février ..malade, oui je l’ai été’ j’ai maintenant 75 ans … pas questions de quitter ma vie, lorsque mes difficultés respiratoires, douloureuses sont apparues, j’ai repris mon bâton de pèlerin, ce fut plus compliqué que la première fois, j’ai bloqué toutes mes énergies, un matin de grand froid, bien couverte, je suis sortie, prenant appui sur deux cannes et là je suis allée marcher, dur, petites aspirations puis plus grandes, il fallait que je chasse cette saleté, mon cerveau était mes poumons, j’ai ainsi pu me reoxigener naturellement, je suis encore très fatiguée, mais je vais bien, alimentation minimum, tisanes de thym et de clous de girofle toute la journée, lectures et musiques et … mes chiens, je n’ai pas le droit de partir avant eux.
Voici mon histoire de combattante dont la vie a une raison d’être.
Battez vous, ne geignez pas, vous vous déconnectez,,vous vous trompez de direction.
Merci de me donner le plaisir d’aider un peu mes contemporains.
CR
Merci pour ce message. J’aime utiliser cette méthode. La visualisation m’a apporté beaucoup dans ma vie. Dans beaucoup de domaines j’ai réalisé des rêves qui auraient pu ne pas se réaliser si je n’avais pas été convaincue de la force de cette méthode.
Tout est là disponible dans l’univers. Il n’y à qu’à y croire et cela nous parvient.
J’ai beaucoup aimé votre lettre. Apres une dépression (1 mois 1/2 de clinique) j’ai commencé à penser à moi et j’ai essayé de faire ce que j’aimais. Cela m’a définitivement guérie et je suis devenue p:us forte.
Bonjour Monsieur Combris, et grand merci pour ces lignes réconciliatrices avec “non l’espoir” mais avec la certitude de guérir ! J’ose ajouter que même si la guérison n’est pas l’aboutissement de cette croyance personnelle et le respect de soi, ça contribue fortement à repousser ce terme inéluctable pour tous et repousse également le ressentit de la douleur psychique et donc physique… Cordialement, pascal
Excellente lettre! Je me reconnais dans ces lignes de pensée. Merci Monsieur Combris de ses messages d’espoir.
j’ai bu vos explications comme du petit lait…Tellement fort qu’il faut y croire (Effet placébo) !
Merci pour cet article très éclairant,; avez vous connaissance de l existence de l association “le cercle des amis de Bruno Groening “? La communauté scientifique prend elle en compte ,dans ses recherches, Le phénomène de guérisons, dites miraculeuses, qui se produisent dans le sillage de Bruno Groening ? Cet homme a subi, après la dernière guerre en Allemagne, “Une interdiction à guerir” de la part des autorites de l epoche, alors que les résultats étaient stupefiants!
Cordialement, Joëlle D
MERCI ! Merci pour ce message de bon sens . Je suis une preuve vivante de ce que vous présentez dans votre lettre . J’ai passé ma vie (64 ans) à m’occuper des autres et à négliger ma vie et ma santé avec le slogan stupide « c’est venu tout seul et ça partira tout seul »
J’ai fini par comprendre que la « mal a die « a un sens ,qu’il faut savoir traduire ,plutôt que d’avaler des médicaments chimiques ou de subir des opérations chirurgicales souvent inutiles.
Merci à vous.
je suis receptif a votre information je souffre de l’épaule gauche , je vais me remettre a la méditation avec visualisation de ma zone algique de la manière que vous préconisez , le temps qu’il faudra . J’ai 70 ans j’avais commencé a le faire pour ma prostate
Ancien pilote de chasse, j’ai la certitude que la survie exceptionnelle ne se limite pas au seul médical.
Sans entrer dans de longues explications (peu compréhensibles pour les non initiés) sauf oubli- je me suis trouvé confronté, à 14 reprises, à une mort, normalement inéluctable… 1 fois, j’ai eu le temps de dire à la radio ”salut les copains, je vais me planter”
‘
Certes, j’ai une chance : en cas de danger, mes facultés et ma réactivité sont décuplées ! Pas un 10ème de seconde de ”blocage” c’est la lutte immédiate pour la survie ! Curieusement : je n’ai aucune réaction nerveuse à la peur (pourtant intense ces 14 fois)
Quand j’ai annoncé à la radio que j’étais fichu, ma voix était normale (par orgueil, il est vrai… cela m’a demandé un important effort de contrôle… qui m’a peut-être sauvé la vie) Lorsque j’ai réalisé que -contre toute attente – je m’en étais sorti… je ne tremblais pas, ma voix était normale et ma seule réaction fut de me dire ”ouf, j’ai eu chaud aux fesses” !
J’ai eu 2 prémonitions (en 42 ans de vols, militaires puis civils)
1) Militaire : malgré une urgence à intervenir (il y avait déjà 16 morts dans un engagement en Algérie) et mes efforts de volonté (en m’injuriant copieusement) j’ai été PHYSIQUEMENT INCAPABLE de monter dans mon avion ! (comprenne qui pourra)
2) Civile : bien que bénéficiant d’un voyage gratuit (gracieuseté des compagnies US pour tous pilotes de ligne) lorsque l’hôtesse ferma la porte… j’ai bondi de mon siège… en demandant à sortir de cet avion. Elle alla chercher le commandant de bord qui m’enjoignit de reprendre ma place. Bien que très gêné de mon comportement (invité… ce n’était pas très ”élégant” !) j’ai insisté à vouloir descendre (mais en parlant doucement) Il me demanda si j’avais bu. Après lui avoir dit que je ne buvais jamais d’alcool (pas même du vin à table… ce qui est vrai !) je lui ai brièvement raconté cette 1ère expérience (ci(dessus, comme pilote de chasse)
Je pense avoir eu affaire à un ancien pilote de chasse car il m’a TRES longuement fixé, est retourné dans son cockpit et annoncé aux passagers : ”Mesdames, Messieurs, pour des raisons techniques nous allons changer d’avion. 1 heure plus tard, posté près de la porte, il me demanda si je me ”sentais en sûreté dans celui-ci”. Sur ma réponse positive, il m’a fait un clin d’oeil… et a fait son vol.
Désolé d’avoir développé ces 2 cas… mais je ne puis expliquer ce qui m’a pris dans ces 2 circonstances
Dans mon pire cas (celui de la radio) ma survie est tellement invraisemblable que je n’ose pas exposer ce que cette expérience m’a amené à penser de l’influence du mental… de crainte de me retrouver nanti d’une camisole de force !
Pour votre part, qu’en pensez vous ?
Quelle expérience et intuition hors du commun ! Merci pour ce partage !
Je vous remercie pour cette lettre qui est un réel cadeau!
Bien à vous.
Josiane Ortet
Bonjour . Bravo pour votre article . Vous pouvez même aller encore plus loin . Ceci dit , je me demande pourquoi vous n’évoquez pas le concept de SUGGESTION et d’AUTOSUGGESTION . Voire d’autres concepts , au demeurant assez simples à se représenter , quand bien même leur application voire leur incarnation relèvent bien sûr d’une préparation psychologique et émotionnelle voire spirituelle . Au plaisir de continuer à vous lire
J ai adore votre texte! Bravo tout est dit je suis moi même une miraculée d un cancer alors je vous confirme que ce que vous avez évoqué est exact
Voila le pourquoi de la croyance les vrais catholiques y vois un miracle et eux on une croyance plus forte que la plus part d’entre nous
Tout à fait d’accord! J’espère que votre intervention sera bien comprise et aidera à guérir beaucoup de personnes.
Article très intéressant.. J aimerais approfondir le sujet…
Merci
Je vous recommande la lecture de l’excellent livre du Pr John Sarno, un praticien, qui guérit 80% des patients qui viennent le voir pour un mal de dos persistant, à condition qu’ils acceptent de croire que leur cerveau peut contribuer à cette guérison.
La règle que vous mentionnez, mais qui n’est pas explicite dans la route vers la guérison, c’est la nécessité d’entretenir une communication bi-directionnelle avec son corps.
Voilà une lettre qui m’a beaucoup interpellée et une expérience que je vais tenter;A la suite d’un tassement d’un tassement de vertèbres fort douloureux au niveau des lombaires dès que je marche mon dos se penche en avant. On m’a dit que c’était une mémoire de souffrance que mon cerveau avait enregistré et que c’était lui qui me faisait prendre cette position pour ne pas souffrir….Je vais donc parler à mon cerveau etc
Séparer l’esprit de la matière n’est vraiment pas une bonne idée
“Quel que soit le père de la maladie, une mauvaise alimentation en est la mère.”
Les deux appuis de la guérison: Physique et Métaphysique
Merci pour ces conseils, il m’est arrivé de pratiquer “l’auto hypnose avec un message subliminal court mais approprié” pour atteindre des objectifs professionnels et cela à bien fonctionné, Je vais faire de même pour évacuer des douleurs articulaires qui disparaissent avec la gym mais que je ressens après être assis ou couché (le matin) Bon courage à tous.
Bonjour,je vous remercie pour vos conseils .je me sens guerri et surtout pleins d’espoir.
56 ans de vie sous le signe du rejet de la maltraitance physique et psychologique de la part des miens et plus tard de mon époux aujourd’hui me voilà enfin délivrée, libre et enfin capable de parvenir à m’aimer et découvrir mes talents
Alors oui merci pour cette vie d’épreuves de difficultés qui m’a transformée et polie en cette femme devenue plus sûre plus aimante envers moi et mon prochain. Nos blessures nous rendent plus forte et plus humaine bien souvent.
J’aime et apprécie la vie et les êtres humains qui la composent.
Merci de cette bonne lettre, généreuse. J’ai découvert depuis quelques années les voyages intérieurs. Ils m’aident beaucoup, m’effraie y parfois… Voir l’intérieur de son oeil et l’action du chirurgien grattant la macula est psychédélique et éprouvant. En revanche, la visite du canal carpien, tendons et nerfs ouvre la main een douceur, avec quelques mouvements conscients, accompagnés de tout le corps. Pacé e salute