Chère lectrice, cher lecteur,
Je sais bien qu’on ne parle en ce moment QUE du coronavirus, de la quatrième vague et de la 3e dose…mais il y a aussi d’autres sujets qui méritent l’attention.
La résistance aux antibiotiques est l’un d’eux ! C’est même un des défis les plus sérieux que la médecine doit aujourd’hui affronter.
Une vague de panique s’est emparée des médias officiels au sujet d’une infection par la bactérie klebsiella pneumoniae, propagée récemment en Europe ET en France. (J’ai publié il y a déjà plusieurs mois une enquête détaillée sur le sujet, vous pouvez la retrouver cliquant ici).
Les germes deviennent en effet de plus en plus résistants aux antibiotiques, qui pourraient rapidement devenir inefficaces contre certaines bactéries, et en particulier les plus dangereuses.
La situation est tellement inquiétante que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a « tiré la sonnette d’alarme », selon l’expression consacrée :
« La résistance aux antibiotiques constitue aujourd’hui l’une des plus graves menaces pesant sur la santé mondiale. Elle peut frapper n’importe qui, à n’importe quel âge, dans n’importe quel pays. »
En France, ce problème a été souligné par un rapport officiel du Ministère de la Santé :
« Chaque année, plus de 150 000 patients développent une infection liée à une bactérie multirésistante, et plus de 12 500 personnes en meurent ».
Aujourd’hui si vous entrez à l’hôpital, vous avez 7 % de « chances » de contracter une infection grave.
Ce chiffre grimpe à 23 % dans les services de réanimation, où de nombreux gestes invasifs sont effectués (intubations, sondes urinaires…).
Dans le monde, L’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) affirme que l’antibiorésistance fait actuellement 700 000 morts et pourrait, en 2050, tuer jusqu’à 10 millions de personnes par an si rien n’est fait1.
En cause, c’est bien sûr l’abus d’antibiotiques délivrées sur ordonnances, mais aussi celles que l’on trouve dans de très nombreux produits de consommation courante : viandes, poissons, eau du robinet, etc.
Et le développement de l’antibiorésistance ne serait pas que le seul fait des antibiotiques.
Une étude publiée récemment dans la revue Nature2 montre que certains médicaments courants (antidiabétiques, inhibiteurs de la pompe à protons, anti-inflammatoires non stéroïdiens, anti-arythmiques etc.) perturbent l’équilibre du microbiote en altérant le développement de certaines souches de bactéries.
Les chercheurs estiment que la consommation abusive de ces médicaments pourrait contribuer à aggraver le phénomène de la résistance des souches pathogènes aux antibiotiques3.
Maintenant, il ne s’agit pas seulement de faire le constat du désastre.
Il faut aussi dire autre chose :
Il existe AUSSI un fabuleux espoir, et face à l’antibiorésistance, ce sont les médecines naturelles qui sont les meilleurs boucliers de défense
Pour sauver des millions de vies, c’est LA NATURE qui nous offre aujourd’hui des bouées de sauvetage inestimables !
La première de ces bouées, je vous en ai déjà parlé, ce sont les bactériophages, des virus tueurs de bactéries, qui ont comme atout majeur de ne cibler qu’une seule bactérie, contrairement aux antibiotiques qui bombardent indifféremment les bonnes et les mauvaises, causant notamment des ravages à notre flore intestinale.
La phagothérapie4 se pratique aujourd’hui dans des cliniques parfaitement sûres en Russie, Pologne et surtout Géorgie, où un institut comme Eliava soigne chaque année plusieurs milliers de patients atteints d’infections bactériennes, selon un principe d’action entièrement personnalisé.
Il supplie qu’on l’ampute tellement il a mal ! La Nature va le sauver
On recense aujourd’hui environ 6 000 bactériophages. Ils sont présents absolument partout : sur notre peau, dans nos intestins, dans l’eau des lacs et des stations d’épuration…
Ils sont dix à cent fois plus nombreux que les bactéries, permettant un champ d’intervention immense ! En association avec d’autres traitements, ils garantissent de bien meilleures chances de guérison, parfois dans des situations « désespérées ».
Comme le cas de cette femme, sauvée d’une amputation :
« Après une chute et plusieurs opérations, son pied droit s’infecte. Les antibiotiques sont impuissants, et les médecins ne voient plus qu’une solution : l’amputation. La jeune femme signe une décharge pour expérimenter un traitement interdit en France : la phagothérapie ou l’utilisation de virus pour détruire des bactéries. « Sur la plaie, on versait toutes les 24 heures les phages. C’était juste génial, car au fur à mesure des pansements, je voyais ma plaie se refermer. » 5
Serge Fortuna, 56 ans, a raconté lui aussi comment la phagothérapie lui a sauvé la jambe, alors qu’il avait lui-même écrit une lettre à ses médecins, après des années de souffrance lié à un staphylocoque doré attrapé à 17 ans, pour réclamer l’amputation.
« Avec 39 opérations au total, il n’a pas peur de parler de « succession de mutilations ». J’avais baissé les bras, j’ai réclamé l’amputation, lettre de motivation à l’appui »6.
Et puis un jour, par hasard, il tombe sur un documentaire à la télévision :
« Sur Arte, l’émission parle de ce docteur Alain Dublanchet, microbiologiste à l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges. On le voit partir en Géorgie chercher des virus bactériophages pour sauver la jambe d’une de ses patientes. »
A son tour, Serge Fortuna décide de se rendre en Géorgie, où il débarque avec « juste une adresse et le Guide du Routard » !
« La clinique qu’il a trouvée sur internet n’est pas vraiment engageante. « Je ne savais pas où j’allais, il n’y avait même pas de plaque à l’entrée, mais je n’avais pas le choix ».
Deux fois par jour, il absorbe un cocktail de phages en ampoules, tous les deux jours les pansements sont changés et la plaie nettoyée au moyen d’une solution de phages.
Tous les deux jours, il est également perfusé à la vitamine C.
Chaque semaine, en fonction des analyses, on change de phages. Sa plaie se referme, les douleurs arthrosiques qui le terrassent depuis des années disparaissent. Après 20 jours de traitement, la bactérie a disparu !!!
Un groupe de chercheurs a lancé en Suisse, en 2013, l’étude Phagoburn, qui suit 25 malades infectés par deux bactéries courantes : Escherichia coli, et Pseudomonas aeruginosa.
Des cocktails de phages ont été présentés à l’Agence Européenne du Médicament qui en a autorisé la commercialisation7.
A l’hôpital de la Croix Rousse-Hospices civils de Lyon (HCL), deux patients atteints de sévères infections ostéo-articulaires ont bénéficié d’un traitement par phages8.
Les bactéries ciblées dans le cas de l’étude lyonnaise sont un Pseudomonas aeruginosa multirésistant chez un patient, et un staphylococcus aureus récidivant chez l’autre.
Grâce au traitement par phages, les plaies ont pu cicatriser, alors que tous les autres traitements avaient échoué.
Ces guérisons ouvrent la perspective d’une véritable prise en compte de la phagothérapie par le corps médical, mais à l’heure où nous rédigeons ces lignes, le feu vert n’esttoujours pas donné en France – pays où, notons-le au passage, la consommation d’antibiotiques est 30 % supérieure à la moyenne européenne9, ce n’est peut-être pas un hasard…
La vraie médecine d’élite
Autre famille d’intérêt dans la lutte anti-infectieuse, les huiles essentielles, qui pourraient avoir les mêmes effets que les antibiotiques, en observant un mécanisme complexe en trois temps :
D’abord, elles traversent les membranes biologiques de la bactérie.
Elles perturbent ensuite son métabolisme cellulaire (diminution du métabolisme énergétique, réduction des échanges d’électrons au niveau des membranes).
Enfin, elles bloquent les fonctions vitales de la bactérie (respiration et équilibre ionique intracellulaire).
Les quatre constituants principaux des huiles essentielles contre les bactéries sont le carvacrol, l’eugénol, le thymol, le cinnamaldéhyde, mais on peut également ajouter des molécules telles que le linalol et le géraniol.
Il est probablement trop tôt pour affirmer que les huiles essentielles peuvent être des alternatives complètes aux antibiotiques, mais ce qui est certain c’est que l’on peut aujourd’hui les utiliser en coopération.
Dans certains cas cliniques, l’huile essentielle est même venue au secours d’antibiotiques qui n’agissaient plus ! L’huile essentielle d’arbre à thé (teneur importante en terpinène 1-ol-4 associé à de l’alpha-terpinéol) a notamment permis d’éviter l’évolution de l’infection à Staphylococcus aureus sur une blessure d’un membre10.
Contrairement aux antibiotiques, qui n’agissent que sur les virus, les huiles essentielles sont capables de détruire les virus et de bloquer l’inflammation… ce qui limite le risque de surinfection bactérienne ou fongique !
L’huile essentielle de giroflier, riche en eugénol, est utilisée dans de nombreuses infections et a en plus un pouvoir anti-inflammatoire.
Les huiles d’eucalyptus radié, de niaouli, de ravintsara, de cajeput…riches en 1-8 cinéole, affichent action antivirale, anti-inflammatoire et bactéricide.
La synergie qui fait mal aux bactéries !
En 2007, déjà, des scientifiques de la Manchester Metropolitan University (MMU) ont testé pendant 9 mois l’effet des huiles essentielles dans la prévention des maladies nosocomiales11.
Les résultats ont été au-dessus de leurs attentes :
90% des bactéries d’une pièce ont été tuées grâce à la diffusion dans l’air d’un mélange d’huiles essentielles.
Mais le plus incroyable est à venir :
Pendant toute la durée du test, il n’y a eu aucun cas d’infection au Staphylocoque Doré. En revanche, à peine les chercheurs ont-ils ont arrêté de diffuser le mélange, la bactérie était de retour !!!
Plus récemment, le biologiste Adnane Remmal s’est vu décerner le prix du public de l’Office Européen des Brevets pour son travail sur les antibiotiques enrichis aux huiles essentielles (origan, thym, romarin).
Ses recherches montrent que face aux molécules naturelles contenues dans les huiles essentielles, la bactérie perd son immunité.
« Grâce à ce nouveau médicament, on peut traiter un patient qui a un germe résistant ».
Là-encore, la nature réussit là où la chimie ne pouvait plus RIEN. Ce n’est tout de même pas une petite nouvelle….
Santé !
Gabriel Combris
Sources :
1. https://www.inserm.fr/thematiques/immunologie-inflammation-infectiologie-et-microbiologie/dossiers-d-information/resistance-aux-antibiotiques
2. Lisa Maier, Athanasios Typas et al., Extensive impact of non-antibiotic drugs on human gut bacteria, Nature, 19 mars 2018
3. https://www.medisite.fr/medicaments-et-risques-sante-microbiote-de-nombreux-medicaments-courants-alterent-la-flore-intestinale.5622384.70.html
4. https://www.prevention-sante.eu/actus/bacteriophages-virus-guerisseurs-entretien-docteur-riche
5. https://www.francetvinfo.fr/france/la-phagotherapie-l-alternative-aux-antibiotiques-bientot-autorisee-en-france_1328381.html
6. https://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/02/04/sa-jambe-sauvee-en-georgie-par-des-virus-guerisseurs
7. https://www.letemps.ch/sciences/2017/02/21/virus-antibacteriens-retour
8. https://www.reseau-chu.org/article/a-lyon-le-1er-traitement-par-phages-fabrique-en-france/
9. http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/06/1986302-l-agence-du-medicament-sonne-l-alarme-sur-les-antibiotiques.html
10 Acta Cir Bras. 2015 Jun;30(6):Antimicrobial activity of Melaleuca sp. oil against clinical isolates of antibiotics resistant Staphylococcus aureus.Falci SP1, Teixeira MA2, Chagas PF3, Martinez BB2, Loyola AB2, Ferreira LM4, Veiga DF5.
11. The effect of essential oils on methicillin-resistant Staphylococcus aureus using a dressing model. Burns, 30 (8). pp. 772-777. ISSN 0305-4179
Bonjour
Je suis pharmacien à la retraite et cela fait longtemps que j’ai entendu parler des bacteriophages utilisés avec succès en Géorgie , Suisse et Russie , et de leur formidable efficacité .
Quant aux huiles essentielles, le directeur du laboratoire à côté de la pharmacie , m’avait raconté qu’il avait observé , qu’en « oubliant « sur la paillasse les boites de pétri utilisées pour les antibiogrammes , les cultures inhibées par les antibiotiques finissaient toujours par repousser….
En revanche , la même expérience faite avec des huiles essentielles ( dans ce cas précis il avait utilisé sarriette et origan ) , RIEN NE REPOUSSAIT !!!!! A méditer
Petite remarque sur votre texte :
“Contrairement aux antibiotiques, qui n’agissent que sur les virus,”
Les antibiotique n’agissent quasiment pas sur les virus mais sur les germes et autres bactéries !
Je suis un perdu car vous dites que les antibiotiques n’agissent que sur les virus alors que je pensais qu’ils sont bactéricides
oui c’est un lapsus involontaire.merci
Bonjour,
J’ai lu avec attention votre message.
Toutefois, vous déclarez, je cite :
“Contrairement aux antibiotiques, qui n’agissent que sur les virus, les huiles essentielles sont capables de détruire les virus et de bloquer l’inflammation”.
Or, les antibiotiques ne sont efficaces que sur les bactéries et non sur les virus.
Il est important de diffuser les bonnes informations, pour être crédible.
Bonne journée à vous.
merci de votre vigilance
Vous écrivez : Contrairement aux antibiotiques, qui n’agissent que sur les virus….. Est-ce que je me trompe car je pensais que les antibiotiques n’agissent que sur les bactéries et que les prescrire pour un rhume n’a donc aucun sense?
erreur involontaire.
non ce sont des erreurs médicales mis sous le tapis (les phages font du bon boulot mais on a peur de les utilises on aime mieux le chimique )ex on ne déterre plus un mort au bout de quinze ans pour comme ma sœur et moi voulions le faire pour réunir nos parents qui se sont tant aime ici bas mais a cause des anti-inflammatoires les corps sont intacts une preuve de plus Lavoisier a dit rien ne se créer rien ne se perd tous se transforme sauf que la chimie vient tout contrecarrer
Merci, très intéressant.
Docteur Amouretti
Bonjour
Je @suis une adepte de vos lettres sante et de votre médecine traditionnelle a laquelle je crois
Cependant Encephalomielite myalgie est en elle-même une maladie très invalidante physiquement et socialement pour toutes personnes qui en souffrent……la médecine conventionnelle ne trouve aucun remède votre médecine naturelle ne pourrait elle aider toutes ces personnes dont les ATP SONT INEXISTANT ET ne leur permette plus de recuperer……se qui les plongent dans cet état de fatigue chronique qui les isolent de tout……et leur fait vivre l enfer
Au plaisir de vous lire
Cordialement
Il y a une erreur dans le texte quand vous dites : “Contrairement aux antibiotiques, qui n’agissent que sur les virus”. Les antibiotiques agissent sur les bactéries et non les virus. Ce n’est pas la première fois que cela apparait dans vos articles et j’ai pensé vous informer.
Bonne journée
oui c’est une erreur ! merci.
Contrairement aux antibiotiques, qui n’agissent que sur les virus, les huiles essentielles sont capables de détruire les virus et de bloquer l’inflammation… ce qui limite le risque de surinfection bactérienne ou fongique !
N’y a-t-il pas une erreur dans ce paragraphe? Les antibiotiques agissent sur les bactéries et non les virus je crois.
J’ai beaucoup aimé votre documentaire sur les phages , et les huiles essentielles , merci de nous fournir toute ces explications ‘je me soigne depuis des années avec des choses naturelles et j arrive à garder un équilibre :teinture mère huile essentielles j’ achète peu de produit transformé aussi bonnes salutations
Bonjour,Je suis vos lettres avec attention. Je viens de lire ce qui concerne les bactéries,les tueurs de bactéries, le problème grave avec les antibiotiques….Effrayant. Nous nous sommes”débarassés” de nos auxiliaires………
Je souffre d’une P B C O. Et je crains lies antibiotiques. Je suis les progrès notamment avec les HE…. Pouvez-vous m’indiquer la meilleure marche à suivre pour éviter le plus possible la prise d’antibiotiques. Je ne vous demande pas un miracle,mais la moindre aide possible pour me soigner le plus “intelligement” possible.
Merci.
Les phages sont connus depuis très longtemps, les biélorusses
Faute d’antibiotique, avaient compensés avec les phages, et obtenaient
D’excellents résultats, notamment sur le staphylocoque doré. Interrogé
Par un journaliste de Science & vie, les gens de Pasteur, balayèrent d’un
Revers main la question, sans intérêt selon eux !
Le fils Depardieu aurait peut-être été sauvé par ce protocole ?
Il existait jadis une spécialité ( Bacté-intestiphage) “ Orthographe non garanti “
Qui donnait satisfaction.
Nous avons sacrifié ce genre de remède, au profit des antibiotiques, qui montrent
Maintenant leurs limites.
J J Gilles
Merci, Monsieur,
Notre fils est né en 1980 dans une maternité qui se trouvait habitée par des staphylocoques dorés. Il devint dépressif à la fin de l’adolescence – sans qu’aucune autre raison connue de nous, que celle-là, dont l’existence nous avait été vaguement signalée. Il est mort à trente-trois ans d’une sorte de désespoir soudain (“Si la vie c’est ça, elle n’en vaut pas la peine” me déclara-t-il un jour), mais aussi de confusion, d’alcoolisme.
J’ai lu votre article avec reconnaissance et tristesse.
Jean-Michel BERNARD
Bonjour M. Gabriel COMBRIS,
Je lis vos courriers depuis un certain temps maintenant et j’ai appris beaucoup de choses et j’apprécie votre dévouement pour aider les gens à utiliser des remèdes naturels pour se soigner.
Pour moi, la nature est faite pour nous. Elle est faite pour nous soigner et nous procurer du bien être et du plaisir.
C’est ce qui m’amène à penser qu’elle est trop bien faite pour être faite par le hasard. Pour moi, il y a un concepteur derrière tout cela et dans le livre qu’il a donné aux humains, ce livre qui fait partie des plus vieux et qui est aujourd’hui toujours le best seller de tous les livres parce qu’il est rempli de sagesse, la Bible, déconseille fortement ce genre de médecine que vous encouragez plus haut.
Je vous recommande de lire notamment le verset biblique de Deutéronome 18 : 11 à 13.
Vous êtes-vous déjà demandé d’où venait leur pouvoir à ces magnétiseurs ? Ce n’est pas une faculté humaine, et si Dieu le condamne dans la Bible, c’est qu’il y a une bonne raison.
De plus, amusez-vous à leur demander à ces personnes-là d’où viennent leurs dons et s’ils arrivent à se guérir eux-mêmes.
J’espère que vous pourrez lire ce mail. Il n’est en rien critique mais il mérite d’y réfléchir dessus, vous qui proposez cette méthode aux autres.
Je me tiens à votre disposition si vous avez des questions plus profondes à ce sujet.
Recevez toute ma sincérité,