Chère lectrice, cher lecteur,
Si nous tenons debout, ce n’est pas parce que nous avons un squelette, des tendons et des muscles.
Les morts aussi ont un squelette et des muscles…mais ils ne tiennent PAS debout.
Si nous y parvenons, c’est parce que nous avons une énergie fantastique de communication entre toutes nos cellules, un réseau à la fois électromagnétique et chimique, qui permet aux cellules de rester en cohésion et en harmonie.
Mais que se passe-il lorsqu’on interfère dans ces réseaux, comme le font par exemple…les pesticides ou les perturbateurs endocriniens ?
Pour le Pr Gilles-Éric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l’université de Caen :
« On se désorganise petit à petit et ça se traduit par toutes sortes de pathologies de la communication cellulaire, c’est le cas de la plupart des cancers, des maladies nerveuses, des maladies immunitaires, des allergies et des maladies hormonales ».
D’après le scientifique, on ne peut pas expliquer l’augmentation de ces pathologies par des mutations génétiques qui seraient arrivées en moins de 50 ans dans toute la population mondiale.
Ni par une recrudescence de nouvelles bactéries ou de nouveaux virus.
En revanche, lorsqu’on soumet des rats aux pesticides de manière chronique, on constate qu’on peut reproduire toutes ces maladies…
Ce lien évident, les autorités continuent pourtant de le nier.
Tiens, on ne nous a peut-être pas tout dit…
La situation est d’autant plus préoccupante que, toujours d’après le Pr Séralini, nous sommes « en permanence empoisonnés », et que nous ne sommes pas les seuls : les animaux sauvages, de boucherie ou de compagnie le sont aussi :
« En fait aujourd’hui tous les kilos de chair sur terre contiennent des résidus de pesticides. »
« Même les Inuits qui n’en utilisent pas un gramme, les reçoivent par les pluies et les condensations tombées dans la mer, et donc dans leur alimentation. »[1]
Et il n’y a pas que les pesticides.
Certains autres perturbateurs endocriniens sont tristement connus :
- Le distilbène, qui a déposé son poison dans le ventre des femmes enceintes avant d’être interdit.
- Le bisphénol A (emballages alimentaires, tickets de caisse), interdit en France mais pourtant toujours présent dans certains emballages[2].
Il en existe des dizaines d’autres, que les fabricants essaient de cacher sous des noms scientifiques compliqués : phtalates (peintures, vernis, encres) halogenophénols (désinfectants), PCB, PBDE (dans les crèmes et huiles solaires), etc.
Ces deux derniers, par exemple, ont montré dans une étude chez le poisson-zèbre qu’ils avaient des effets délétères multiples (anxiété, stress, hyperactivité, etc.) qui se transmettaient sur plusieurs générations[3] !
Merci pour l’héritage…
Et sur l’homme ? Là, c’est le grand flou.
Les fabricants et les pouvoirs publics entretiennent volontiers le doute, selon une méthode bien huilée, que dénonce là-encore le Pr. Séralini :
« Je suis persuadé que les pesticides sont 1000 fois plus toxiques sur la santé à long terme que la réglementation ne l’indique. »
« Car ils comprennent des ingrédients non déclarés et l’industrie manipule la réglementation en effectuant des tests portant uniquement sur le principe actif déclaré, qui n’est pas le plus toxique, ce qui permet d’obtenir des taux admissibles de résidus dans l’eau et les aliments. »
Mais aujourd’hui, on lave plus vert, non ?
Ce triste constat, hélas, n’a rien de neuf.
J’ai retrouvé par exemple dans une vieille revue de…1973 ce « coup de gueule » du journaliste Pierre Déom sur les dégâts terribles causés aux chauves-souris par les pesticides :
« Accusés, les poisons chimiques follement déversés dans la nature. Pourquoi ? Parce que, par insectes interposés, ces écoeurantes mixtures se retrouvent en doses massives dans la chair des chauves-souris et s’y accumulent inexorablement. Un jour, le seuil mortel est dépassé et tout est dit. »
« Tout cela pour quel bénéfice ? On se le demande…Les produits toxiques tuent, il est vrai, une bonne partie des insectes mais ceux qui en réchappent sont en quelque sorte « vaccinés » et donnent naissance à une souche d’individus plus résistants. Pour venir à bout de ces derniers, il faut alors augmenter les doses…et puis encore augmenter les doses…et toujours augmenter les doses. »
« Un jour, cependant, il faut bien s’arrêter car l’on s’aperçoit avec une extrême inquiétude que les doses sont devenues tellement fortes qu’elles risquent tout bonnement d’empoisonner l’homme lui-même, par exemple à travers l’eau et les aliments. »[4]
Vous allez me dire : les choses ont un peu changé. Au moins y-a-t-il enfin une prise de conscience écologique aujourd’hui.
Certes…les entreprises, les politiciens, les nouveaux prophètes, tout le monde lave plus vert.
Mais est-ce sincère ou opportuniste ?
Je ne sais pas, mais dans le doute, je suggère d’agir pour se protéger face à ce gigantesque sabotage du vivant.
Règles de survie dans un monde pollué
Evidemment, cela commence dans l’assiette, en évitant les aliments ultra-transformés (voir ma lettre sur le sujet ici) et en privilégiant une alimentation bio.
Si vous n’achetez pas bio, consultez le classement de l’association écologique Environmental Working Group, qui publie un hit-parade annuel des fruits et légumes les plus « sales »[5], c’est-à-dire les plus contaminés par les pesticides.
Sur le podium de tête, on trouve fraises, épinards et nectarines, suivis par les pommes, les tomates, les céleris ou les concombres.
Pour ces produits-là au moins, le bio est vraiment indispensable.
En cuisine, pensez à faire la part belle aux plantes détoxifiantes, comme par exemple la tige et la feuille de persil, ou la feuille et la fleur de cassis, du romarin ou des fleurs comme celle du mélilot.
L’avantage avec les plantes aromatiques est qu’elles stimulent l’odorat et le goût et donc par voie réflexe la salivation.
Et quand un plat vous fait envie, quand vous salivez, vous stimulez vos sucs gastriques et hépatiques, or les enzymes dépollueurs se trouvent dans les sucs hépatiques, ce sont les éboueurs qui nettoient nos cellules.
Si vous mangez du poisson, évitez ceux de la rivière (brochet, silures, anguilles, etc.) et les grands poissons de mer (requin, espadon, mérou) qui sont au sommet de la chaîne alimentaire et accumulent la pollution des plus petits ; privilégiez les petits poissons gras: hareng, maquereau, sardine, anchois, etc.
Sauf dans le cas des femmes enceintes ou des enfants qui grandissent, réduisez votre consommation de viande à une à deux fois par semaine.
Privilégiez les cuissons douces aux fortes, dont certaines comme le barbecue peuvent engendrer des perturbateurs endocriniens carcinogènes comme le benzopyrène.
Il faut éviter le contact avec les braises qui ne devraient pas être sous les aliments, mais à côté (barbecues verticaux) ; on peut aussi protéger viandes et poissons avec du papier sulfurisé.
Chez soi, il faut aérer le plus possible, l’été mais aussi l’hiver, et adopter une fois pour toutes des réflexes sains : plutôt que des déodorisants chimiques, utilisez par exemple les huiles essentielles (eucalyptus, lavannde, citronnelle, etc.).
Eliminer les toxines :
Maintenant, comment procéder à l’élimination des toxines ?
Les perturbateurs endocriniens sont solubles dans les graisses et le tissu adipeux les piège.
Plus on a de tissu adipeux (masse grasse), plus on stocke de perturbateurs endocriniens, et on sait aujourd’hui que ceux-ci contribuent à l’apparition et l’aggravation et du surpoids et du diabète.
La pratique du sport augmente la circulation, et à partir d’une certaine intensité, brûle du tissu adipeux et permet le relargage de ces toxiques.
La prise de taurine est suggérée pour évacuer les toxiques par les voies biliaires via le tube digestif et les selles[6].
Mais ces toxiques risquent d’être réabsorbées dans le tube digestif avant d’atteindre le rectum si on ne consomme pas assez de fibres.
Il y a donc une synergie protectrice entre la prise de taurine et la consommation de végétaux : crudités, légumes secs, oléagineux, pains semi complets, céréales sans gluten, fruits… La pectine de la pomme, par exemple, a montré sa capacité d’améliorer l’élimination de polluants[7].
Enfin, on peut aussi faire des cures de détoxification.
Le site spécialisé La Nutrithérapie conseille notamment le complexe Physiomance Détox (Thérascience), qui « contient une synergie de principes éliminateurs et neutralisateurs, comme la taurine et le sulforaphane. » [8]
Curcuma et compagnie
A cela on peut ajouter une consommation régulière de curcuma (par exemple le remarquable Curq10 du laboratoire Biovancia) d’ail, de thé vert ou d’oignon. Ainsi que :
- des complexes antioxydants (par exemple Antiox 200 ou Aodyn)
- des complexes de polyphénols,
- des cures de stimulants de réparation de l’ADN comme Physiomance DNAir (Thérascience) associés à la prise de vitamine C (500 mg/ jour)[9].
Nous n’avons pas parlé du jeûne mais c’est aussi une piste intéressante de régénération physique…et spirituelle.
Car nos esprits aussi ont besoin de « tirer la chasse d’eau » pour se débarrasser des pensées… toxiques.
C’est un autre sujet, sur lequel nous reviendrons, mais mon hypothèse personnelle est qu’il est vain de prétendre aller bien en faisant l’impasse sur la détox mentale. D’accord, pas d’accord, dites-le moi en commentaire ?
Santé !
Gabriel Combris
Sources :
[1] Revue Santé Corps Esprit, septembre 2016.
[2] http://www.francetvinfo.fr/economie/bisphenol-a-interdit-en-france-toujours-present-dans-des-emballages_1714029.html
[3] Alfonso, S.; Blanc, M.; Joassard, L.; Keiter, S.H.; Munschy, C.; Loizeau, V.; Begout, M.L.; Cousin, X., 2019. Examining multi- and transgenerational behavioral and molecular alterations resulting from parental exposure to an environmental PCB and PBDE mixture. Aquatic Toxicology, 208: 29-38. http://dx.doi.org/10.1016/j.aquatox.2018.12.021
[4] La hulotte des Ardennes, Société Ardennaise de Protection et d’Initiation à la Nature, février 1973
[5] https://www.ewg.org/foodnews/dirty-dozen.php
[6] Etude : R. Huxtable, Xenobiotic conjugation, in Huxtable R, Physiological actions of taurine, Physiol Rev, 1992, 72, 141
[7] https://www.vanvlodorp-nutrition.be/detox/
[8] http://www.lanutritherapie.fr/article/poisons-foison-dans-les-cheveux-des-enfants
[9] Id.
Merci pour votre message. Moi je crois qu’il faut restaurer la capacité du foie à éliminer un maximum de substances toxiques. Pour cela, je pratique le nettoyage du foie et de la vésicule biliaire une fois par mois en suivant la méthode d’Andreas Moritz. À mon dixième nettoyage, j’ai évacué encore une quinzaine de calculs biliaires (environ deux cents ont été évacués au premier nettoyage). Cordialement.
“Manger 5 fruits et légumes par jour !” … avec ou sans pesticides ?
En rapport avec votre article, une série de dessins clin d’oeil à l’oeuvre de René Magritte “Ceci n’est pas une pomme”
La légende diffère cependant. Sous l’image d’un fruit ou d’un légume la liste exhaustive des produits phytosanitaires que contiennent pommes, fraises, pomme de terre … : ” Ceci est du Abamectine , Acequinocyl , Clofentézine , Etoxazole …”
A découvrir la série en cours de réalisation : https://1011-art.blogspot.com/p/hommage-magritte.html
Bonne dégustation !
Bonjour,
Nettoyer le foie c’est bien mais les molécules de synthèse ne s’évacuent pas aussi facilement que l’on voudrait nous le faire croire car leur structure moléculaire n’est pas tout à fait identique aux molécules naturelles.
La chimie actuelle sait parfaitement reproduire une molécule naturelle par synthèse avec les mêmes atomes et le même nombre mais avec une légère différence sur la structure de la molécule , le positionnement des radicaux sur les carbones diffère légèrement ce qui fait qu’elles ne sont pas reconnues par la vie et ne peuvent pas être métabolisées complètement par nos différents systèmes. Prenons l’exemple de deux serrures de composition identique mais l’une à un piston interne positionné légèrement différemment la clé ouvrira uniquement la serrure avec les piston bien alignés, c’est une comparaison simpliste mais réaliste.
Prenons l’exemple des médicaments de synthèse, tous ont des effets secondaires dits indésirables ça personne ne peut le nier. Il faudra bien comprendre un jour que la chimie est contraire à la vie et ne remplacera jamais la nature. Le jour où l’on fabriquera un grain de blé par synthèse chimique , ça c’est possible mais que ce grain de blé germera ça c’est une autre histoire et ce n’est pas pour demain.
J.TURCHET
bravo pour votre article!!!nous sommes tous empoisonnés!!!!!personnellement je choisi le jeûne pour me détoxifier….j’ai 82 ans et une
semaine de jeûne 2 fois par an me garde en excellente santé..je ne consomme aucun médicament
surtout ne nous abandonnez pas et continuez à nous parler pour mieux vivre dans cette jungle !
D’accord avec “qu’il est vain de prétendre aller bien en faisant l’impasse sur la détox mentale.” Je pense que les personnes auraient moins besoin de psy en tous genres s’ils pratiquaient au moins le jeûne.
Avec le jeûne l’esprit se clarifie et lorsque l’on a un travail intellectuel à faire çà va tout seul.
Je pense que cultiver la haine sous quelques formes que ce soient, le ressentiment, la peur est toxique, j’ai vu des gens en mourir, incapables de s’en débarrasser. Je pense que cultiver l’amour du beau, du vrai et du bon libère l’esprit et fait beaucoup de bien pour vous même et les autres.
Je n’arrive à détester personne, même les pires personnes que je considère comme seulement malade et désire les aider.
Les enfants qui grandissent et le femmes qui allaitent n’ont pas besoin de viande. Renseignez-vous mieux. Le régime végétarien n’est absolument pas contre-indiqué pour ces “cas”. Vous éviterez ainsi de contribuer à la désinformation le concernant.
Salutations,
PhL
Bien l’article , Merci
Merci Gabriel pour cet article percutant…Pour ma part ,le jeûne intermittent est ma “”bible”” car mon corps se met au repos ,tout comme mon esprit ,il se regénère pendant cette petite période de repos,jeûne de 17H le soir jusqu’au surlendemain 11H,donc 42h de repos entre le dernier repas et le prochain…et je suis vegan depuis plus de 40 ans…donc je pense quand même que mon corps élimine le maximum de pesticides et autres vilaines choses pendant ces périodes de jêune et ma fois ,je fais aussi beaucoup de marche ,tout à pieds …mes courses ,véto etc ,jamais de transport en commun etc…il est vrai que j’habite Besançon ,suis près d’une zone commerciale Chateaufarine ou tout est à portée à pieds sans aucun problème ,il faut juste s’en donner la peine ,un bon char à magasiner et hop le tour est joué!!
Bien évidemment ,quelques compléments alimentaires sont la cerise sur le gâteau: Vitamine D et magnésium(Julien Venesson UNAE et vitamine C ,et pour la circulation en générale et cérébrale du G. BILOBA…un ch’tit complément pour les yeux quand même…
Simplement vous dire un grand MERCI pour toutes ces informations et tant d’autres…..
Je vous lis régulièrement et voux en remercie. Abordant la question de la méditation que je przatique sus une forme ou une autre, je propose à votre sagacité d’ah=jouter la musique dont l’écoute pour moii est rien de moins qu’une médecine. Peut-etre la plus puissate au niveau de la tranquilité voire meme de la positivité pour ne pas dire jouissance quotidoenne.
Stephen Burrough
On parle beaucoup des pesticides, bien façile mais comment fonctionnent et communiquent les cellules de notre corps et de tout le vivant, il me semble que le bombardement continu de toute sorte d’ondes et diverses fréquences sont beaucoup plus néfastes pour nos cellules, c’est tellement évident et pourquoi c’est ignoré ? Sur que les pesticides ce n’est pas bon ! Mais toute onde perturbe nos cellules, pourquoi toutes ces maladies, le vivant n’était pas bombardé de toutes ces fréquences, hormis les naturelles venant du cosmos qui ont accompagné la création. Le bon sens, le bon sens, ce n’est pourtant pas compliqué, mais il semble écrasé par la wifi etc…..
Je suis d’accord avec vous. Il faut détoxifier le physique et le mental sinon cela ne sert à rien.
Je préfère la première partie de votre article, la deuxième étant plus préparatrice à une vente en boutique :o) Oui! les pesticides sont un fléau, oui, il faut les stopper au plus vite ! Mais dites à un gagnant du jack pot d’arrêter de jouer !
Cher Monieur Combris,
“”
Je vous suis depuis plusieurs annees, faisant partie a l’heure actuelle d’un groupe “” ECOSOLIDAIRE” je voudais savoir si vous accepter que nous partagions vos lettre sur notre groupe (mentionnant votre nom bien sure), afin que nous partagions avec le plus grand nombre… Merci…
Georges Ponzoni
bien sur!
Bonjour, je suis désolé d’avance je vais faire un commentaire totalement hors sujet. En fait j’ai simplement une question à vous poser. Je ne parvient pas à mettre la main sur un mail que vous avez écrit il y a plusieurs mois maintenant. Vous nous avez demandé : quel plante ameneriez nous sur une île déserte ? En introduction vous nous aviez présenté une fleur d’une rare beauté. Pouvez-vous me rappeler quel était cette fleur exactement ? En vous remerciant.
c’était la passiflore ! Bonne journée à vous
MERCI POUR CETTE LETTRE AVEC LAQUELLE JE SUIS D ‘ACCORD DE A à Z ! quant au detox mental , je suis convaincue du bénéfice de cette pratique (encadrée )
J’ai rencontré le professeur Séralini lors d’un stage à Metz chez JM Pelt au cours duquel des “scientifiques” Monsanto avaient exposé les dangers des ciseaux moléculaires utilisés dans la fabrication des OGM. Séralini commençait ses expériences sur des rats.Monsanto a multiplié les procès contre lui et les a tous perdus. Aujourd’hui il peut enfin parler librement.
Bonjour
Je voudrais arriver a comprendre pourquoi un médecin ou un dentiste est capable de nous faire un monologue de plusieurs heures pour dénigrer le glyphosate alors qu’ils restent muets comme des carpes lorsque l’on leurs parle du mercure contenu dans les amalgames dentaires !
Bonjour et bien sûre, le corps et l esprit sontl liés comme la vie et la mort…
vos sont toujours très intéressantes
Très sincère salutation
bonjour ,
je suis actuellement déclaré malade chronique aux pesticides aggravé par la covide , je ne conseille pas vraiment les fibres à base de farine complète , a certains moments de l’année les blés fournis aux meuniers sont surtraités avec un insecticide voir 2 molécules complété d’huile pour perdurer dans le temps , restant sur l’enveloppe , c’est pour cela que les acheteurs ont un droit de réserve si les blés ont plus de 4 % de cassés , n’utilisant que la farine .j’en arrive même a détecter ces produits dans l’alimentation avant que cela me mette au plus mal : 15 mn de patience après une bouché suffise pour valider ou non un aliment toxique ou hyper-toxique pou moi. Je note tout et peux dire la période la plus mauvaise en production de farine , biscuits , pain , pates , semoules …
cordialement
Bonjour et Merci pour pour vos articles toujours passionnants et passionnés!
Dommage que vous oubliez le charbon actif …
De même que le bicarbonate et la menthe pour contrer super efficacement les brulures d’estomac
d’ailleurs,j’ai enfin trouvé la Cause de ces brulures… les céréales(ss gluten)contrées avec une pincée de bic.a la cuisson
Merci a vous!
Recommander l’ingestion de cadavre animal à des femmes enceintes et des enfznts qu’elle desinformation de merde!!!!
Et tu nous parles de santé, de bien-être mental et tu parles d’ingerer du cadavre????
Non ça va pas du tout ça!!!
Il est où le raisonnement scientifique de la connerie que tu écris là????
La base pour une santé et physiqe et mentale? Se nourrir de façon ADAPTÉE à notre physiologie simple……
et pas avec du cadavre animal toxique
Desinformation concernant le “besoin” d’ingérer du cadavre animal……
Vraiment dommage de véhiculer des idées dangereuses pareilles pour une newsletter qui se veut axée sur la santé et le bien-être…
Nous sommes ce sue nous ingérons
Les raisons scientifiques d´ingerer du cadavre pour les enfants et femmes enceintes?
Qui pour moi s’apparente à degoupiller une grenade dans leur interieur…..
Bonjour comment peut-on transférer votre annonce sur le net ( Facebook ou autre ?
Sortez,mon peuple, de peur que solidaires de ses fautes vous n’ayez a pâtir de ses plaies…apocalypse selon Saint Jean
bonjour,
avez vous des pistes concernant les algues dont je suis friande depuis mon intoxication au plomb et mercure