Chère lectrice, cher lecteur,
« Je viens de voir une petite patiente qui m’a bouleversé… »
Ainsi commence une lettre rendue publique par un médecin au sujet du cancer [1].
Elle a été écrite en anglais, mais je vous en propose ici la traduction – vous trouverez le texte original dans les sources.
Lisez-la, il s’agit d’une réflexion profonde, humaine, mais aussi révoltée…sur l’impasse évidente dans laquelle nous ont conduit près de 50 ans de « guerre chimique contre le cancer ». Alors même que cela prive les malades de solutions naturelles et efficaces ! Mais revenons à notre petite patiente :
« Cette petite fille a tout juste 7 ans, et elle a déjà souffert à son âge plus que ce que la plupart d’entre nous auront jamais à souffrir. Atteinte d’un lymphome non Hodgkinien (cancer qui prend naissance dans les lymphocytes), elle a déjà subi une chimiothérapie. »
« Connaissant les risques de récidive avant ses 20 ans, sa mère me l’a amenée pour voir comment nous pouvions réduire ce risque grâce à des choix de vie, des changements nutritionnels ou une supplémentation adaptée. »
« Cette stratégie aura, j’espère, de vraies chances de réduire ce risque de récidive. Mais cette petite fille, quoi qu’il arrive, sera toujours plus en danger que si elle n’avait pas déjà eu le cancer. »
« Bien sûr, on ressent une profonde injustice face à cette situation. »
« Et cette injustice concerne aussi d’autres patients, qui adoptent un comportement de vie sain…et développent pourtant un cancer. »
« Malgré cela, il faut avoir conscience LORSQU’ON N’EST PAS MALADE, qu’une grande partie de notre destin est dans nos mains, que les choix que nous faisons (alimentaires, physiques, sociaux, spirituels, etc.) déterminent en grande partie la probabilité d’avoir – ou non – un cancer. »
« Aujourd’hui, aux Etats-Unis, 20 % des cas de cancers sont évitables. Cela signifie qu’un cancer sur cinq découle des choix que nous faisons dans notre vie quotidienne. »
« Fumer, manger trop sucré, éviter les légumes, privilégier la nourriture industrielle, être en surpoids, ne pas faire d’exercice, boire trop d’alcool ou de boissons sucrées, tout cela augmente considérablement le risque de cancer. »
« Le dernier rapport « Prévention du cancer et détection préventive » de la Société Américaine du cancer a publié ses dernières données. Elles montrent à quel point la prise de conscience n’a pas encore eu lieu :
- Le surpoids explose. 7 adultes sur 10 sont en surpoids ou obèse. L’obésité a été multipliée par trois (!!!) chez les jeunes de 12 à 19 ans entre 1976 et 2002 ;
- Le manque d’exercice physique est patent : en 2015, seulement un américain sur deux atteint le niveau recommandé par semaine ;
- On ne mange pas assez de légumes. 16 % seulement des américains en mangent quotidiennement ;
- Un quart des adultes consomme encore trop d’alcool ; »
Prendre conscience que même face au cancer, NOUS sommes les pilotes de notre santé, NOUS sommes la solution ! Voilà l’immense défi que souligne l’auteur de cette lettre.
C’est vrai aux Etats-Unis, mais c’est encore plus vrai en France, où d’après les chiffres du ministère de la Santé et des Affaires Sociales, ce ne sont pas 20 %, mais « 40% des cancers qui pourraient être évités si nous changeons nos comportements quotidiens » [2].
Ainsi, sur les 355 000 cancers diagnostiqués chaque année en France, 140 000 pourraient être évités. 140 000 vies épargnées par des années de maladie, de souffrance et de lourds traitements. Il faut voir ce que cela représente : la population d’une ville comme Brest, chaque année !
Mais cela suppose d’en finir avec l’idée que le cancer est une fatalité, quelque chose qui vous « tombe dessus » par hasard.
Traitement du cancer : très peu de progrès depuis 50 Ans !
Savez-vous qu’en France, malgré 15 milliards dépensés contre le cancer par an, le nombre de nouveaux cancers a doublé entre 1980 et 2012 [3].
Le Centre International de recherche sur le Cancer (CIRC) a estimé pour sa part qu’il y avait eu 14 millions de nouveaux cas de cancers dans le monde en 2014. L’institut prévoit que ce nombre atteindra les 22 millions en 2031.
Cela non plus, on ne le crie pas sur les toits, mais on n’a fait que très peu de progrès dans le traitement du cancer depuis 1971.
À cette époque, les chercheurs avaient trouvé un traitement de chimiothérapie qui guérit 80 % des enfants victimes de leucémie.
Malheureusement, la leucémie n’a rien à voir avec les autres cancers : c’est un cancer du sang, très différent des tumeurs solides… comme les tumeurs du cancer du sein, de la prostate, du cerveau, du côlon, de l’estomac ou du pancréas.
Pour ces cancers-là, on a connu quelques avancées avec :
- La détection plus précoce des cancers, grâce aux IRM, biopsies, etc.
- Le perfectionnement de la radiothérapie, avec ses rayons de plus en plus ciblés ;
- Et les prouesses de la chirurgie, comme la greffe de moelle osseuse, qui améliore les chances de guérison des malades traités par chimio.
Mais malgré tout ça, on meurt presque autant du cancer qu’il y a 50 ans [4].
Selon le Dr Laurent Schwartz, chercheur à l’École Polytechnique :
« L’espérance de vie des personnes atteintes de cancers difficilement curables (pancréas, cerveau, poumon…) ne s’est pas améliorée. La mortalité par cancer reste très élevée (150 000 morts par an en France) [5].
Alors bien sûr, on vous dit que les « taux de survie » se sont améliorés. Mais si l’on survit plus souvent du cancer qu’avant, c’est surtout « parce qu’on détecte (indûment) beaucoup de cancers qui n’auraient jamais tué ». Autrement dit, on « guérit » davantage de cancers qui n’auraient jamais été dangereux.
Le scandale des traitements inefficaces et hors de prix
Et pourtant, cela n’empêche pas les firmes pharmaceutiques de vous vendre leurs traitements peu efficaces à des prix exorbitants :
Car le coût des traitements « nouvelle génération » est devenu insoutenable : entre 80 000 et 120 000 euros par an et par patient !
À ce prix-là, on serait en droit d’attendre des bienfaits considérables ! Et bien ce n’est pas du tout le cas.
Une étude parue dans le British Medical Journal a révélé le pot aux roses [6] :
La moitié des médicaments anti-cancer commercialisés entre 2009 et 2013 n’apportent strictement aucun bénéfice aux patients.
Voici ce que disent les chercheurs :
« L’évaluation systématique des médicaments approuvés par l’Agence européenne du médicament entre 2009 et 2013 montre que la plupart d’entre eux n’ont aucun bienfait en termes de survie ou de qualité de la vie. »
Vous avez bien lu. Ces « nouveaux » médicaments autorisés par nos autorités de santé sont :
- Vendus 5 à 10 fois plus cher que les anciens ;
- Sans le moindre effet positif sur la santé des patients !
Et même lorsque ces médicaments ont une certaine efficacité… l’effet est dérisoire. Au mieux, les patients peuvent espérer vivre entre 1 et 6 mois de plus. « Toujours ça de pris » ? Peut-être…mais il faut tenir compte de la qualité de vie. Subir la violence d’une chimio, et ses conséquences ensuite, pour vivre 3 mois, 6 mois de plus, est-ce vraiment souhaitable ?
Hippocrate et le cancer
Je pense que le grand Hippocrate (460 – 377 av J.-C.), le « père de notre médecine moderne » dont il a, avec d’autres, dessiné les objectifs et les limites, aurait répondu « non » à cette question.
Lui qui était à la fois médecin, philosophe, amoureux de la beauté et de la Vérité disait qu’il fallait « avoir dans les maladies deux choses en vue : être utile ou du moins, ne pas nuire » [7].
Le rôle principal du médecin était alors d’aider la nature à faire son travail, plutôt que de la diriger arbitrairement. Ce qui implique de savoir aussi s’abstenir, de se retirer même, lorsque l’intervention aura toute probabilité d’aggraver le mal.
Toutes les interventions contre le cancer remplissent-elles ces objectifs ?
Bien sûr, ces questions sont difficiles et prétendre qu’on y répond par A ou B ne serait pas juste.
Mais je veux revenir au propos du début de cette lettre, l’indispensable prise de conscience qu’une grande partie de notre destin est dans nos mains, dans les choix que NOUS faisons chacun pour notre santé.
Prenez le cancer de la prostate. C’est LE cancer « familial » par excellence – si votre père et/ou grand-père l’a eu, vous avez à peu près 50 % de risques de l’avoir aussi.
Mais les scientifiques ont découvert que les chances de survie à ce cancer n’ont quasiment rien de génétique [8].
Des gènes peuvent vous donner plus de risques d’avoir ce cancer… mais votre survie dépend essentiellement de vous !
Quant aux autres cancers, l’impact des gènes est faible : 31 % pour le cancer du sein, 18 % pour le cancer du poumon, 15 % pour le cancer du côlon… [9]
Ce qui signifie là-encore que c’est à NOUS…de prendre conscience de ce que NOUS dit la maladie…et d’agir.
Vous avez peut-être entendu parler du Dr Edward Bach, médecin homéopathe anglais de la première moitié du Xxème siècle, inventeur des Fleurs qui portent son nom.
Lui pensait que la maladie était l’expression d’un manque de correspondance entre les aspirations d’une personne et ses actions réelles dans la vie de tous les jours. La maladie survient alors comme une alarme, pour rappeler à la personne qu’elle n’est pas sur sa route. Le cancer serait le dernier appel, comme pour dire à la personne : « tu changes ou tu meures ».
Attention, je ne suis pas du tout en train de vous dire que les Fleurs de Bach vont soigner le cancer, mais il me semble que cette interprétation traduit une vérité que la science démontre aujourd’hui : la véritable guerre à mener est celle qui se joue avant (et bien sûr pendant) la maladie, contre la passivité.
La désinformation médicale généralisée a depuis tellement d’années matraqué son message en faveur des médicaments chimiques que peu de personnes savent par exemple qu’une expérience publiée en 2007, ayant consisté à donner un simple complément de vitamine D et de calcium à des femmes ménopausées, pour atteindre un taux sérique de vitamine D de 40 ng/m, a entraîné une baisse de 77 % de l’incidence du cancer, tous types confondus [10] ?
La vitamine D n’est bien sûr qu’un premier pas vers un mode de vie anticancer. Mais trop de gens ignorent encore que c’est à eux de faire ce premier pas.
Stratégies naturelles contre le cancer
De très nombreuses études scientifiques ont montré ces dernières années que vous pouvez réduire votre risque de développer un cancer en adoptant certains comportements plutôt que d’autres :
- Mangez bio, en évitant le plus possible les supermarchés.
- Évitez les contacts avec les pesticides, désherbants, les produits de beauté chimiques, les peintures, vernis et teintures synthétiques.
- Cuisson : évitez les fritures, barbecues, grillades et autres pratiques culinaires visant à passer les aliments à très haute température, même brièvement. Priviélgiez une cuisson douce (four à 80 °C), cuisson à la vapeur. Vous pouvez aussi faire pocher ou bouillir vos aliments.
- Abusez des herbes et épices : de nombreuses herbes et épices ont des vertus anti-inflammatoires et antioxydantes. Consommées quotidiennement, elles ont sur le long terme un effet anticancer, car vos tissus et cellules sont protégés des radicaux libres et de l’environnement inflammatoire qui favorisent le cancer. Pensez au curcuma, au gingembre, à la coriandre, à l’ail, au persil, à la sauge, la ciboulette, au basilic, etc.
- Pensez « légumes » ! Apprenez à vos enfants ou vos petits-enfants à découvrir les plantes et les légumes : une étude a montré que le simple contact avec les plantes permet d’augmenter de plus de 70 % la consommation de fruits et de légumes [11].
- Redécouvrez les aliments et boissons fermentés non pasteurisés : choucroute, kimchi, kvass (jus de betterave rouge fermenté), kéfir, contiennent d’importantes quantités de probiotiques.
- Prenez un complément de probiotiques de bonne qualité (Lactobacillus gasseri, Lactobacillus acidophilus, bifidobacterium).
- Le surpoids et l’obésité sont associés à des risques plus élevés de cancers de l’œsophage, du pancréas, colorectal, du sein (après la ménopause), de l’endomètre, du rein, de la vésicule biliaire, de l’ovaire, du foie, de la prostate au stade avancé, les hémopathies malignes (leucémies et lymphomes) [12].
- Luttez contre le mauvais sommeil et le stress.
- Entretenez des relations sociales et amicales saines, valorisantes et enthousiasmantes.
Maladie et sens de la vie
Maintenant pour conclure, j’aimerais finir avec une réflexion sur le sens nouveau que la maladie – et surtout lorsqu’elle est grave comme le cancer – peut parfois mettre dans nos vies. L’exemple du psychologue américain Richard Taylor est à ce titre absolument étonnant. Lui a été diagnostiqué d’une forme de démence en 2001, alors qu’il n’avait que 58 ans [13], avec des perspectives de survie limitées.
Face à ce diagnostic, il s’est d’abord senti abandonné, avant de s’engager dans une psychothérapie.
« Cela m’a permis de réapprendre ce que j’avais moi-même toujours expliqué à mes patients : la vie est comme elle est. Ni bonne ni mauvaise, elle est ce qu’on en fait. Tu connais tes problèmes, alors efforce-toi de les résoudre. »
Chaque soir, il s’est mis à écrire ce dont il parvenait à se souvenir de sa journée. C’est devenu un livre. Pendant des années, il a parcouru le monde et témoigné de son expérience de la maladie. Celle-ci ne l’a pas terrassé, contrairement à ce qu’on lui avait dit. Elle l’a révélé, donnant un sens nouveau à son existence.
Car la maladie, même grave, ne signifie pas la fin de la vie.
Richard Taylor, lui, a vécu ainsi 15 années pleines et utiles, parmi les plus heureuses de sa vie :
« Transmettre l’enseignement qu’il tirait de sa maladie est devenu sa vocation, et sa vie était peut-être même plus enrichissante qu’auparavant ».
Santé !
[2] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/0211308555585-40-des-cancers-pourraient-etre-evites-2028718.php
[3] http://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/cnamts_rapport_charges_produits_2016.pdf
[4] https://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-maladies/le-cancer/cancer-lespoir-du-traitement-metabolique
[5] https://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-maladies/le-cancer/cancer-lespoir-du-traitement-metabolique
[6] http://www.bmj.com/content/359/bmj.j4530
[7] Jacques Jouanna, Hippocrate, Fayard, 1992 (ISBN2-213-02861-3).
[8] http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/pros.23344/full
[9] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2480486
[10] http://ajcn.nutrition.org/content/85/6/1586.full
[11] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2017/06/06/jardiner-fait-mieux-quun-cours-de-sensibilisation-ou-quun-logo-nutritionnel-sur-le-bien-manger_848127
[12] http://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Surpoids-et-obesite
[13] In Michael Nehls, Guérir Alzheimer, comprendre et agir à temps, éditions Actes Sud.
tout simplement
MERCI pour ce que vous écrivez et qui ne nous guerrit pas certe mais nous fait esperer et l’esperance c’est un bien fait.
merci encore
josette robert
Et BELJANSKI 95 pour cent de réussite utilisé dans certains hopitaux américains !!!!!
Tout à fait d’accord avec vous. J’ai eu recours à ces compléments et ma sœur très touchée par un cancer des ovaires de grade IV est encore de ce monde + de 4 ans après que l’on ai indiqué à son fils qu’elle n’avait que 3 à 6 mois à vivre !!. Quelques oncologues hospitaliers commencent à reconnaitre les bienfaits Beljanski.
où peut-on trouver les praticiens capables de soigner avec les plantes ,
Si on suit les régimes ( sérieux ) qui sont donnés pour éviter la maladie, on se demande quel est l’intérêt de vivre…
Quand au cancer…Beljanski et encore Beljanski…seul conseil vraiment utile dont on ne parle jamais…
Bonjour! tout ce qui se passe est décidé par le gouvernement mondial non élu. Tout va vers le but de réduire la population mondiale.
Les 11 vaccins sont là pour détruire la santé de la génération qui voit le jour depuis le 1 Janv 2018.
L’huile de cannabis guérit les cancers, épilepsies , et bien d’autres maladies, c’est pourquoi cette plante est diabolisée.
Les pétitions ne servent plus à rien. Les chamtrails nous déversent des poisons jours et nuits. Tout ce qui est bon pour la planète et l’humanité est interdit. Tout ce qui est destructif est autorisé. Nous sommes verrouillés, il est trop tard.
Merci pour vos magnifiques articles.
Je n’ai malheureusement pas de compte en devises pour pouvoir payer l’abonnement, notre banque centrale Tunisienne ne nous le permet pas !
Bonne continuation
Merci Gabriel,
Cette lettre est magnifique, pleine de bon sens et riche d’enseignements.
Tous mes vœux de bonheur et de bonne santé physique et mentale.
Hélène
je suis de cet avis à tout point de vue
mon épouse st décédée d’un cancer et j’ai vérifié cet engrenage médical et psychologique
il faut faire confiance à son corps et le respecter
les médicaments sont souvent le pire des remèdes et les médecins complices d’une pensée unique
en fait ce qui a tué mon épouse ce sont les effets secondaires incontrolés
je veux éviter la colère et tout ressentiment mais ne faites pas confiance aveuglément
vous devez garder le droit de vous informer et de décider en connaissance
je suis complètement d’accord avec ce que vous écrivez ! mon époux n’est pas mort du cancer mais des rayons trop forts qui ont brûlé son oesophage, ……………….et de l’intervention qui a suivi pour y introduire un “ressort” pour le tenir ouvert, que de souffrances pour rien ! souffrances pour lui et pour son entourage !
Merci incroyablement bien documenté et je suis psychologue spécialisée en psycho traumatologie. On peut mentionner aussi l nEmdr la cohérence cardiaque et l’IFS qui permettent de se libérer des fardeaux émotionnels qui nous rendent malade merci
tout à fait d’accord avec votre exposé. C’est à nous d’être à l’écoute de notre corps, car il est le messager de notre âme.
Si nous ne comprenons pas ce message, le corps lui le comprend, l’enregistre et nous le révèle par ces mots la mal a dit ( maladie )
la référence du Docteur Bach est réelle. Cela ne s’adresse pas qu’au cancer, mais à toutes formes de” mal à dit “., pour nous rappeler que nous ne sommes pas sur la bonne route. Changeons de direction pour la retrouver.
Geneviève
tout cela est bien beau
yakafokon
nous sommes déjà empoisonnés par les pesticides les plastiques la radioactivité
bien sûr qu’il faut bien manger et éviter etc tout ce qui est nocif
notre société est malade du stress de la surconsommation et de la fuite en avant
il faut arrêter de culpabiliser la population et lui proposer des solutions alternatives
cela arrive petit à petit
et remettre la Nature au cœur de notre vie
Merci pour vos nombreux articles et recherches. J’aimerai compléter un aspect qui me paraît essentiel.
Comment nous pensons ? Quel choix faisons nous pour une vie plus belle faite de simplicité de joie de vivre de rencontre d’activité comme la danse qui stimule nos cellules saines (Biodanza ) Pour moi si nous mettons les médias de côtés déjà c’est un premier pas pour voir la vie positivement. Personnellement la maladie c’est le mal à dit. Conclusion le mode alimentation le soin avec des plantes Un Grand OUI mais surtout notre façon de Pensée et de voir la Vie. Merci à Vous. Sophie Vernier
LE CANCER : CET INTRUS QUI SQUATTE NOS VIES. LE CANCER : RESULTAT DU MAL-ETRE, DU MAL VIVRE, DE LA MAL-BOUFFE N’EST QUE L’INDICE D’UNE SOCIÉTÉ MORTIFERE. Par Ginette Hess Skandrani Janvier 2008 En cette mi-septembre 2007, après un été maussade et particulièrement pluvieux, atteinte d’un moral au plus bas, je m’aperçois tout à coup, en prenant ma douche, qu’un espèce d’os très dur apparaissait sous mon sein gauche. Il n’est pas douloureux et je l’oublie dans la journée, puis j’y repense. Je croyais tout d’abord que c’était un déplacement d’os suite à l’agression subie dans mon appartement en octobre 2006 par quatre nervis casqués membres d’un groupe paramilitaire d’extrême droite juive qui m’avaient reproché mon soutien aux Palestiniens et frappée violemment avec des casques. Comme j’ai été traumatisée par cette agression, trou dans la tête, arcade sourcilière éclatée, lunettes brisées, nombreux bleus et écorchures sur le corps et baignant dans une mare de sang, j’ai pensé que ces malotrus avaient très bien pu me déplacer un os. J’ai attendu quelques jours avant de consulter ma toubib qui m’a envoyé faire une mammographie et une échographie par prudence tout en n’étant pas inquiète. Je ne l’étais pas non plus. Et, oh ! surprise ! En regardant ma radio j’aperçois une tache blanche cellulaire, ronde comme une balle de ping-pong. Comme j’avais suivi ma copine Monique atteinte d’un cancer du sein dans les années 2002, j’ai vite compris qu’il s’agissait d’un cancer. Que le radiologue voulant me rassurer essaie de me faire croire que l’on ne pouvait se prononcer sans études complémentaires, me semblait dérisoire et même plutôt stupide. Il m’a proposé de faire une cytoponction afin d’y voir plus clair. Après la ponction effectuée dans un laboratoire spécialisé, la réponse était claire : c’était un cancer ou plutôt un adénocarcinome mammaire en langage médical spécialisé. Le médecin qui m’avait fait la cytoponction à l’aiguille fine sous contrôle échographique a qui j’avais demandé en insistant lourdement, de me traduire ce langage barbare, s’est énervé et m’a sorti excédé : « Eh Oui ! ! Madame, vous avez un beau, gros cancer au sein gauche. » Le protocole pouvait se mettre en place. Entre prises de sangs diverses, radios et échographies du foie, palpations des seins, ça n’en finissait plus, avis des uns et des autres. On ne m’a jamais autant palpé les seins. J’avais l’impression d’être devenue une vache qu’on tripote dans tous les sens afin de bien voir la tumeur. Intellectuellement, je n’avais pas encore accepté le verdict et surtout pris conscience que ce machin si dur qui pointait sous mon sein, faisait partie de moi et allait envahir toute ma vie en prenant possession de mon corps et de mon esprit. Ma toubib m’a sournoisement envoyée à l’hôpital Saint-Louis chez une Oncologue (médecin qui s’occupe de la chimiothérapie) en me faisant croire que j’avais rendez-vous avec un chirurgien. J’avais demandé à un ami de m’accompagner car je commençais déjà à me méfier de tout ce protocole (rien que le mot me foutait la chair de poule). Lorsque j’ai vu cette oncologue (dont je préfère taire le nom) en train de me raconter, comme on récite une leçon toute prête : “il faut tout de suite une chimiothérapie pour réduire la tumeur et peut être éviter l’ablation qui sera peut-être quand même nécessaire car c’est un vieux cancer qui date depuis au moins huit ans”, je cherchais vainement sur son bureau la boule de cristal dans laquelle, elle avait pu lire l’âge de mon cancer. Elle avait aussi décidé après une palpation et une mesurette qu’il avait 4 cm. Et pendant tout ce temps qu’elle me parlait, elle enregistrait ses paroles sur un petit magnéto et collait des étiquettes sur plein de dossiers qui se trouvaient devant elle avec des gestes saccadés comme ceux du clown Kergrist qui nous mimait les dangers du nucléaire, il y a bien trente ans déjà. L’avenir qu’elle me promettait : chimiothérapie, opération, ablation, plus rechimiothérapie, plus radiothérapie me paraissait bien sombre et avait de quoi me désespérer. Surtout qu’elle avait à peine lu mon dossier et qu’elle voulait plein d’examens complémentaires : biopsie, synthigraphie des os etc… Je lui ai dit tout net : je n’accepterai jamais la chimiothérapie car je ne vois pas pourquoi il faudrait torturer des gens déjà malades. Elle s’est offusquée, disant : « la chimiothérapie n’est pas une torture c’est un soin ». C’était évident, elle défendait son beefsteak, puisqu’elle en vivait et qu’elle n’avait jamais subi ce genre de traitement. L’avenir qu’elle me promettait était bien sombre. Il y avait de quoi désespérer. Et surtout, je n’avais aucune envie de suivre son processus protocolaire. J’ai appelé une copine qui avait été atteinte d’un cancer du sein, il y a quelques années et qui se soignait avec des méthodes parallèles : concentrés de vitamines à hautes doses, médicaments homéopathiques. Elle avait refusé tout le protocole, changé radicalement de nourriture, ne consommant que des légumes, fruits et céréales. Elle m’a mis en rapport avec Philippe, ancien médecin qui l’avait conseillée. Entre temps, ma fille qui s’était découvert un cancer du sein, il y a trois ans et qui avait suivi tout le protocole : chimiothérapie, ablation, radiothérapie en se faisant aider par les médecines homéopathiques et qui en était à la reconstruction du sein, me dit : « Pourquoi tu n’essaierais pas le fameux extranaze à base de bromélaïnes (racines d’ananas) préconisé par le Dr Dogna qui a apparemment eu de bons résultats. Je l’ai su trop tard, sinon, je l’aurai également utilisé. Ce médicament ne t’évitera certainement pas la chimiothérapie, mais pourra te réduire la tumeur ». C’étaient les conseils que me donnaient également Philippe et ma copine Joelle. Puis ma fille m’a conseillé de venir me faire soigner à Colmar, car vu la pandémie de cancers du sein en Alsace, ma sœur, ma fille, les copines ont commencé à s’organiser, à créer un réseau, à se conseiller et à sélectionner les meilleurs chirurgiens tout en comparant les différentes méthodes de soin. Ma sœur ayant perdu son mari d’un cancer du poumon était devenue très sensible à ce sujet et a commencé à s’occuper de ses copines en les conseillant, les prenant en charge, les conduisant dans les différents services, en les soutenant lors des terribles chimiothérapies si mal supportées. Ma fille me disait : « Nous avons un réseau de soutien ici et tu ne seras pas seule et puis nous avons un des meilleurs chirurgiens qui fait la biopsie après avoir enlevé la tumeur et conseille le protocole à suivre selon l’état de la tumeur, sa localisation et son étendue et selon les ganglions atteints. MON RETOUR DANS LA VILLE DE MON ENFANCE. J’ai quitté la pollution, le bruit et le mouvement parisien pour retrouver mes racines alsaciennes. J’habite dans le quartier de Ménilmontant, du côté 11ème et j’ai fini par aimer ce quartier si vivant à cause de la diversité de ses habitants. La planète entière y défile, toutes les contrées du monde se rencontrent, se croisent dans ce carrefour du cosmopolitisme. Il suffit de s’asseoir, en été ou au printemps, sur la terrasse d’un café pour voir passer ce monde si divers et si proche : des Africaines en boubous, des Maghrébines portant fièrement le hidjab ou vêtues à l’occidentale, des jeunes, des vieux d’ici ou d’ailleurs, des loubavitchs en chapeaux noirs sur leurs loks et regardant leurs chaussures pour ne pas croiser les regards etc. Il est vrai que le paysage colmarien est bien différent avec un centre ville bien propre, tout piéton et beaucoup moins pollué, bien commerçant, attaché à ses traditions et certainement moins vivant, moins diversifié que mon quartier parisien. J’ai vu le Dr Meyer chirurgien à l’hôpital Pasteur et spécialiste des cancers du sein. Il a consulté tout mon dossier que j’avais eu la présence d’esprit de ne pas laisser à l’oncologue, s’est pris du temps afin d’ausculter mon sein, m’a tâté les ganglions pour voir si l’on sentait quelque chose. Il m’a proposé de m’opérer fin novembre et pris rendez-vous avec l’anesthésiste et les infirmières. Mais, je n’étais pas encore tout à fait décidée pour cette opération car avec la quarantaine de bromélaïnes quotidiennes, le sélénium, la vitamine C, à hautes doses, le zinc, je me sentais de mieux en mieux, moins fatiguée, meilleur moral et j’avais comme l’impression que ma tumeur diminuait tout en devenant pointue et très chaude, comme brûlante à l’intérieur. Surtout que mes amis Parisiens que j’avais revu, le temps d’un week-end, me demandaient d’attendre afin de voir si la tumeur ne pouvait pas diminuer en continuant à prendre tout le cocktail de médicaments. C’est le médecin homéopathe que je suis allée consulter à Colmar qui m’a convaincue qu’il fallait passer par cette opération car on ne pouvait savoir ce qu’il y avait dans la tumeur et sous celle-ci avant d’avoir ouvert, ni si les ganglions étaient atteints. Je le connais depuis plus de tente cinq ans et j’ai entièrement confiance en lui. Par ailleurs je suis très confiante car le chirurgien qui propose de m’opérer a une très bonne réputation. Il est devenu le spécialiste des opérations des cancers du sein vu leur recrudescence à Colmar ainsi que dans toute l’Alsace. Je suis d’ailleurs effarée en rencontrant dans les couloirs de l’hôpital ou dans les sous-sols où l’on pratique la scintigraphie du sein afin d’aider les chirurgiens à rechercher le ganglion sentinelle, de croiser autant de femmes atteintes du cancer du sein. Cela m’apparaît comme une véritable épidémie, ou appelons cela une pandémie de plus en plus étendue et touchant des femmes de plus en plus jeunes et de toutes les classes sociales. Rien ne m’enlèvera de l’esprit, et beaucoup de malades ou d’infirmières, voire des médecins sont du même avis que moi, que cela est l’un des effets du nuage de Tchernobyl qui a traversé l’est de la France, il y a vingt ans. Contrairement aux affirmations du Pr. Pèlerin qui nous parlait d’anti-cyclone qui aurait arrêté le nuage à la frontière, il a bel et bien irradié les Français ce qui est une des raisons (malheureusement pas la seule) de la recrudescence des cancers de toutes sortes. Les autres causes, pollutions de toutes sortes, pesticides, engrais chimiques et mauvaises bouffes de plus en plus industrialisées, agressions de toutes sortes, violences physiques ne sont pas faits pour arranger les choses. Ils mettent également en cause le tabac. Il est vrai que la fumée, y compris celle des usines est très nocive. On nous dit également que le cancer est génétique surtout celui des seins. Mais tous ces facteurs n’expliquent pas cette hécatombe, car des non-fumeurs sont également atteints et certains n’ont pas de cancéreux dans leur famille. Il est vrai que mon grand-père maternel est mort d’un cancer de la prostate et que ma fille a également un cancer du sein. Mon père est mort d’un cancer des poumons ayant travaillé dans la poussière d’amiante et ce cancer-là n’avait rien de génétique. Malgré cela je ne pense pas que le cancer soit uniquement génétique. Je suis végétarienne depuis vingt ans, j’essaie de manger le plus bio possible, je ne fume pas et évite les endroits enfumés et mène une vie assez réglée tout en sortant de temps en temps. Il est vrai que je marche moins depuis que je suis devenue une fan d’Internet et que j’échange mes infos avec les quatre coins de la planète. MON COURT SÉJOUR AUX HOSPICES CIVILES DE COLMAR. Arrive enfin ce fameux 28 novembre jour de mon admission à l’hôpital afin d’y être opérée le 29. Je ne suis pas bien fière et je crois que je déprime pas mal. Puis voyant dans le lit qui me faisait face une dame de presque 86 ans (elle allait fêter son anniversaire à l’hôpital) qui bougeait et n’arrêtait pas de se promener partout avec une telle vivacité, tout en commentant le service et les soins, cela a fini par me rassurer. Elle devait subir une opération du côlon et c’était la troisième, car ils ne lui ont pas enlevé tous les polypes lors de deux dernières. C’était une Colmarienne bon teint qui avait vécu quelques années à Paris et était toute contente de pouvoir discuter en français avec moi. Cela m’a d’ailleurs bien surpris en arrivant à l’hôpital, toutes les infirmières, les aides-soignantes, le personnel d’entretien discutaient entre eux et s’adressaient également aux malades en alsacien. Bien qu’ayant un peu perdu l’usage de ma langue maternelle (24 ans de séjour à Paris n’ayant pas arrangé les choses) j’étais très heureuse de constater qu’à l’heure de la mondialisation et de l’américanisation de nos sociétés, une région comme l’Alsace y résistait grâce à sa langue et ses coutumes régionales. J’ai essayé de discuter en Alsacien avec ma voisine de chambre qui m’a d’ailleurs encouragée malgré quelques fautes de langage. J’ai quand même passé une nuit assez cauchemardesque et fort agitée, ne sachant à quelle sauce je serai mangée le lendemain matin. On m’a envoyé vers 14 heures faire une lymphoscinthigraphie du sein afin que le chirurgien puisse repérer le ganglion sentinelle, celui qui montre l’étendue des dégâts du cancer. On m’a injecté un liquide radioactif et j’ai dû repasser le soir. Ils ont repéré ce fameux ganglion et mis un gros point noir à l’endroit où il se trouvait et également délimité la tumeur avec un gros feutre noir en me demandant de ne pas me laver à ces deux endroits. Le lendemain, réveillée à 6 heures, devant prendre une douche avec un savon antibactérien (qui m’a créé une allergie) j’ai attendu dans une salle hyper froide contiguë à la salle d’opération durant une heure trente. Le médecin m’a anesthésié et je n’ai jamais vu la salle d’opération. Je me suis réveillée dans une salle de réveil ne sachant pas si j’avais été opérée jusqu’au moment où le chirurgien est venu m’annoncer : « votre tumeur était profonde, j’ai dû creuser et curer beaucoup. Elle était toute pointue et toute rouge contrairement aux tumeurs qui sont grises en général (était-ce l’effet de la bromélaïne, qui peut le savoir ?). Le ganglion sentinelle n’était pas atteint, je n’ai pas eu à en enlever d’autres. Le résultat définitif vous sera communiqué d’ici 6 jours après analyse de la tumeur enlevée. » J’étais rassurée. Le fait qu’aucun ganglion n’était contaminé, j’avais de bonnes chances d’échapper à la chimiothérapie et cela me soulageait énormément. J’ai vu les effets de cette médicamentation à outrance sur ma fille qui atteinte d’un cancer du sein qui, contrairement au mien, avait fui et contaminé les ganglions et qui a dû subir quatre chimiothérapies sur les six préconisées. Elle a été très malade : nausées, perte de cheveux, affaiblissement, déprime et surtout apparition d’un candidat dans les intestins et le tube digestif qui ne l’a plus quitté depuis. Elle a tenu quatre séances, puis elle a abandonné ne pouvant en supporter plus. Comme elle devait subir une ablation du sein et qu’aucun chirurgien ne voulait l’opérer, par peur de la dissémination, elle a été obligée de supporter les 4 séances de chimiothérapie. Elle a été conseillée par ce médecin homéopathe que nous connaissons depuis plus de vingt-cinq ans et qui a été notre médecin de famille qui lui a fait commandé des médicaments afin de traiter le virus ayant déclenché le cancer, médicaments vendus en Belgique uniquement. Une de mes amies, Monique ayant eu également un cancer du sein avec les ganglions contaminés, il y a cinq ans, a dû subir 12 séances de chimiothérapie. Elle en est sortie diminuée à vie et obligée de prendre des médicaments pour guérir les dégâts causés par ces longues séances. La chimiothérapie tue peut-être les cellules cancéreuses, mais elle tue également les cellules saines qui ne peuvent se régénérer aussi facilement que l’on nous l’annonce. Heureusement que Monique avait un moral d’enfer et qu’elle avait gardé toute sa combativité. C’est ce qui l’a sauvé. Je sais bien que pour certains cancers qui ne sont pas localisés et qui se disséminent, la chimiothérapie reste le dernier espoir pour éviter les métastases. Les gens qui la supportent doivent faire preuve d’un courage énorme et avoir un moral d’enfer. On n’a malheureusement encore rien trouvé afin de remplacer cette torture médicale à laquelle j’ai échappé, vu mon âge et je pense surtout à cause de mon obstination car j’avais prévenu tous les médecins et soignants que je ferai absolument tout pour y échapper. Les médecines parallèles ou alternatives, homéopathiques, ortho moléculaires (molécules qui conviennent à notre organisme) immunothérapies douces, ne sont malheureusement pas développées, ni remboursées, ni financées par nos systèmes de santé actuels qui veulent conserver ce qui apparaît comme le plus rentable et le plus profitable. En un mot comme en cent : ils veulent garder le monopole et refusent de prendre en compte tous les apports des médecines douces. Je ne pense pas, du moins pas encore, que ces médecines parallèles puissent remplacer la chirurgie ou d’autres soins plus protocolaires, mais doivent certainement les accompagner en les complétant comme l’a écrit David Servan Schreiber dans son livre, anti-cancer « prévenir et lutter grâce à nos défenses naturelles ». Se nourrir différemment, prendre en compte que le corps et l’esprit ne font qu’un, changer de vie et de façon de voir la vie, se reposer, marcher beaucoup, faire du sport, se réconcilier avec notre environnement naturel, bouger, aimer, sont des principes sains qui peuvent et doivent accompagner la maladie. S’accepter et se réconcilier avec soi même c’est également accepter le cancer qui est en nous et squatte notre vie. Ecologiste depuis ma tendre enfance, car fille d’un communiste bon teint qui était également membre des « Amis de la Nature, adhérente d’Ecologie et Survie, en Alsace et du Mouvement d’Ecologie Politique (MEP) en 1981, membre co-fondatrice des verts en 1984, j’ai toujours été sensible aux détériorations de notre environnement par la société productiviste, marchande et gaspilleuse des ressources. J’ai accompagné mon père, toute petite en montagne, dans les forêts, Vosges ou Forêt-Noire, des deux côtés du Rhin. Le ballon d’Alsace, la crête des Vosges ou la forêt du Neuland (sacrifiée sur l’hôtel de l’autoroute) n’avaient pas de secrets pour moi ce qui m’a fait m’engager contre la construction de la centrale nucléaire de Fessenheim dans cette magnifique plaine d’Alsace. Je viens d’avoir les résultats définitifs de la segmentectomie associée au prélèvement de deux ganglions (je croyais que le chirurgien n’en avait retiré qu’un seul) : il s’agit bien d’un carcinome canalaire infiltrant avec une différenciation hyper mucipare classée SBR II (il faudra qu’on m’explique) sans envahissement vasculo-nerveux et avec une composante intra-canalaire minime. Les quatre recoupes étant négatives ainsi que les ganglions, je ne comprends pas pourquoi mon chirurgien veut me faire suivre une radiothérapie en préventive. J’estime ne pas en avoir besoin préférant soigner ce qui a causé mon cancer. J’en ai parlé à mon médecin homéopathe qui est également de mon avis. Il m’a fait faire une prise de sang avec recherche lymphocitaire dont les résultats ont confirmé ce dont il se doutait vu qu’il soigne également ma fille pour une partie des mêmes symptômes. Le sérodiagnostic des Herpes virus 1-2, ainsi que la sérologie du virus varicelle-Zona se sont montrés largement positifs, ce qui est à l’origine de mon cancer. J’ai commencé à me soigner avec des préparations homéopathiques que je fais venir de Belgique : Cum Citokinae et SNA-C2 à base de gélules de différentes couleurs à prendre tous les matins, ainsi que d’autres préparations. Au moment où l’on nous dévoile tous les accidents survenus avec les appareils de radiothérapie et que les médias dévoilent les irradiations subies, je n’ai aucune envie d’expérimenter cette thérapie. Le chirurgien a essayé de me convaincre sur les bienfaits de cette radiothérapie qui pouvait m’éviter une récidive. Ma sœur également. D’autres, surtout mes amis ont parfaitement compris que cela ne servait à rien, car j’étais fermement décidée à me soigner selon des méthodes plus douces. Ai-je raison ? Ai-je tort ? L’avenir nous le dira. A suivre. Janvier 2008 ——————————————————– Cancer, Récidive et suite… Début août 2008, je commence à sentir un petit truc bizarre sur la cicatrice du sein gauche, celui qui a été opéré. Je vais voir mon médecin traitant afin de me faire prescrire une mammographie, ne voulant surtout pas laisser traîner. J’ai attendu une semaine, vu qu’entre temps, je me suis fracturé le poignet gauche (toujours ce mauvais côté gauche). J’ai fait une mammographie et une échographie où il est apparu un petit nodule anodin sur la cicatrice et un truc un peu moins anodin sous la cicatrice, dans l’aine du sein. Le laboratoire d’imagerie a conseillé une ponction. En entendant ce mot, j’ai revu tout le cinéma et j’ai tout de suite pensé, ça y est, cela recommence, cette fois-ci je suis bonne pour le protocole, car je n’y échapperai plus. J’ai préféré prendre mes radios et contacter le Dr. Meyer qui m’avait opéré, tout en sachant qu’il allait me passer un savon parce que j’avais refusé la radiothérapie ainsi que l’hormonothérapie et que je ne lui avais plus donné de nouvelles. Ma sœur m’a pris rendez-vous pour le 25 août. Ça n’a pas raté, il m’a tout de suite dit « si vous ne vous étiez pas sauvé à Paris et aviez continué tous les soins que je vous avais prescrit : radiothérapie et hormonothérapie, vous n’en seriez pas là. Je vais vous prescrire une nouvelle mammographie et échographie et éventuellement une micro biopsie si ces nodules qu’on voit sur les dernières radios ont grandi. Les nodules avaient effectivement grandi entre les radios faites à Paris, le mois précédent, et celles qui ont été faites à Colmar. J’ai fait la biopsie le 9 septembre, il s’est avéré que le résultat donné le 12 était positif. En lisant le compte-rendu de l’analyse, le Dr. Meyer m’a dit : je peux vous opérer dans les trois jours, si vous le désirez, mais il faudra me promettre de faire la radiothérapie. J’ai tout promis et je suis rentrée à l’hosto le 17 septembre, non sans avoir pris rendez-vous avec le radiothérapeute. J’ai été opérée le 18. Il y avait cinq petits nodules et le chirurgien m’a de plus prélevé dix ganglions car je n’avais plus le ganglion sentinelle qui avait été enlevé lors de la première opération. Il m’a dit qu’il ne voulait pas prendre de risques. L’opération s’est bien passée sauf que la suite était nettement plus douloureuse à cause d’une plus grande ablation et d’un curage plus consistant et surtout à cause du prélèvement des dix ganglions et des drains qui ont été laissés durant cinq jours. Mon aisselle gauche est toujours insensible et a tendance à gonfler vu que le système lymphatique est déréglé. Entre-temps le chirurgien m’a informé que mes ganglions n’étaient pas atteints et qu’il n’y avait pas de métastases. J’espère que c’est la dernière fois que je passerais sur le billard. Je vais essayer de suivre cette radiothérapie où tout le monde veut m’envoyer en me la décrivant comme une méthode « miracle ». Je n’y crois pas trop, mais comme j’ai promis au chirurgien et que je tiens toujours mes promesses, je vais y aller (en traînant les pieds). Je continuerai quand même à prendre les médicaments homéopathiques : interleukin (micro-immunothérapie utilisant les cytokines ainsi que des acides nucléiques), ainsi que tous les autres prescrits par mon homéopathe et qui me coûtent les yeux de la tête, car ils ne sont pas remboursés.
La radiothérapie
J’ai commencé ma radiothérapie le 23 octobre après une matinée de séance de marquage sous scanner. En sortant de cette première séance, je me sentais très mal, complètement cotoneuse et mon sein avait rougi comme si j’avais pris un coup de soleil, alors que ma peau résiste très bien au soleil d’habitude.. Lorsque j’ai posé la question à mon médecin radiothérapeute, en demandant s’il n’avait pas forcé la dose de radiation, il m’a répondu que ces rougeurs dépendaient beaucoup du grain de peau de chaque femme. Je sens que cela promet puisqu’il me faut 30 séances en tout. Je vais essayer de serrer les dents, mais je ne suis pas sûre d’arriver jusqu’au bout. Après une dizaine de séances mon sein a commencer à rougir et à brûler. J’ai dû m’arrêter après 18 séances ayant des brûlures au deuxième degré. J’ai demandé un rendez-vous au médecin radiothérapeute afin qu’il diminue les doses, les dirige ailleurs que sur les brûlures ou les arrêter définitivement en disant “le chirurgien a essayé de me sauvegarder mon sein gauche, ce n’est pas nécessaire de le brûler”. Il a changé de programme et les rayons sont dirigés vers le haut du sein qui commence, après deux séances à rougir comme une tomate trop mûre. Je me doutais que cette radiothérapie serait très dure, mais je ne pensais pas que cela me fatiguerait autant et m’empêcherait de bouger, tout en ayant très mal.
J’ai quand même tenu bon. J’ai fait mes trente séances de radiotherapie. Je ne sais pas si elles serviront à arrêter mon cancer. J’ai plutôt l’impression qu’elles m’ont bien irradiée et que les consequences de cette irradiation ne vont pas tarder à se faire ressentir. J’ai été brûlée à certains endroits jusqu’au troisième degré. Des lambeaux de peau se détachaient. J’ai du me battre afin d’espacer les séances.
J’ai également commencé à prendre l’hormonothérapie suite au conseil d’un homéopathe quand il a vu que mes plaquettes chutaient à nouveau. Il avait peur d’une récidive.
Il paraît que cette hormonothérapie bloque les cancers hormonodépendants.
Je ne sais pas si l’arimidex que j’ai pris pendant 8 mois m’a bloqué le cancer, mais ce que je sais c’est que ce traitement très dur que je suis sensée supporter pendant 5 ans, m’a surtout bloqué les articulations. Je ne pouvais même plus monter ou descendre les escaliers. Je souffrai horriblement.
J’ai demandé à changer de thérapie. Mon chirurgien m’a proposé l’aromasine. C’est le même poison, mais je le supporte un tout petit peu mieux. Je ne pense pas que j’irai au bout de ces cinq années de dépendance d’une petite pillule à prendre tous les matins, moi qui ai refusé toute ma vie d’être dépendante de la pilule.
J’ai définitivement arrête cette hormonothérapie qui porte un joli nom : aromasine, mais qui est encore pire que celle qui m’avait été proposée en premier. Je ne pouvais plus me déplacer, ni monter ou descendre les escaliers du metro, encore moins de participer à une manifestation ou marche.. Je souffrais horiblement des articulations et j’ai donc refuse de prendre une autre sorte de thérapie. Si pour gagner deux à trois ans de vie en étant dans un fauteuil roulant, cela ne vaut pas la peine de continuer.
J’ai eu une nouvelle alerte à la veille de Noël 2010, lorsque j’ai dû passer la mammographie annuelle. Ils ont trouvé une anomalie dans le sein droit et j’ai donc dû refaire une biopsie qui heureusement a révélé une petite tumeur bénigne.
Je sais bien que je ne suis pas à l’abri d’une rechute, car beaucoup de mes copines ont rechuté.
Janvier 2011
Ginette Hess Skandrani à suivre…
Si vous utilisez les produits Beljanski (CIRIS ) ils vont vous permettre de beaucoup moins souffrir des radiothérapies,travailler en synergie avec la radiothérapie tuer les cellules cancèreuses et renforcer votre immunothérapie
Ginette Hess : incroyable la similitude de votre parcours et le mien ! cancer sein droit (ablation) et gauche et fracture poignet … protocoles identiques. j”ai été opérée. A l’analyse de la “masse”, l’oncologue me dit qu’elle avait été surprise car la tumeur s’était enkystée et de ce fait, me dit-elle, on aurait pu vous éviter la chimiothérapie si on avait pu détecter cela avant. Mon thérapeute me dit “tu as résolu ton conflit et la tumeur a été enfermée” … cette version me conviendrait assez bien. Cancer du sein droit chez une droitière = conflit avec les enfants (conflit ou problèmes graves), sein gauche (ascendants ou proches). Connaissez vous le décodage biologique ? Un choc physique peut être également un facteur déclencheur sur un terrain propice. Quant à la suite … comme pour vous, il m’est proposé radiothérapie et hormonothérapie pour 5 ans. Pas fan du tout … donc j’attends le curetage des ganglions du sein gauche (tumeur 5 mm enlevée) et leur analyse pour décider de la suite. Des mois d’examens où le discours des médecins vous plonge dans une espèce de condamnation, l’absence totale de prise en compte émotionnelle, l’absence totale d’espace de décision (vous êtes le malade à la merci de la médecine), … les montagnes russes pendant tout ce temps … et l’acceptation d’une mutilation … pas facile à vivre. Avec le recul, je me demande si je n’aurai pas dû écouter mes intuitions et chercher quelques autres alternatives. Tenez nous informées … le partage de nos expériences peuvent nous enrichir. Bon courage
si vous avez un cancer du sein pensez à l’iode WWW sott iode le livre lynne farrow éd. dangles la crise de l’iode. Les expériences
sont très positives..
Bonnes chances
Merci pour cette lettre. Enfin pas de menaces. Elle est exigeante mais rassurante. Non seulement pour le cancer mais aussi pour toutes les autres maladies. Ici on ne stresse pas, ou moins. On apprend qu’il y a lieu de remonter se manches et de foncer. On est valorisé comme le sportif devant son défit.
Deux éléments m’ont cependant étonnée :
Primo: Vous ne valoriser pas les huiles. mises pour beaucoup comme à proscrire avec toutes les (mauvaises) graisses.
Secundo: En rapport également avec le surpoids vous ne nous parlez pas du sucre.
Bien à vous qui portez le m^me prénom qu’un des mes petits fils.
Claire
vous recommandez des probiotiques de qualité, dont Lactobacillus gasseri. Est-ce que Lactobacillus casei est bien aussi?
Merci
Bravo pour cette belle lettre! Je suis entièrement d’accord avec vous. J’ai adopté depuis longtemps exactement la même philosophie de vie, que ma famille m’a transmise dès mon enfance. Cela m’a permis de vivre agréablement et de surmonter toutes les épreuves qui se sont présentées à moi: surcharge de travail pendant mes études et mon doctorat en physique, petit “burn-out” à 45 ans pour cause de surcharge professionnelle, décès de ma femme à 57 ans, etc. A 76 ans, je suis toujours actif professionnellement et dirige chaque année des courses de montagne jusqu’à l’altitude de 3000 mètres dans les Alpes, y compris un peu d’escalade.
Le système de santé actuel est malade. C’est dans la prévention des maladies qu’il faut investir et arriver notamment à ce que toujours plus de gens se prennent en mains eux-mêmes et orientent leur vie en conséquence, comme vous le décrivez. Il y a là cependant un gros problème: tous ceux qui gagnent beaucoup d’argent avec le système actuel s’opposent bien entendu à tout changement. Ils ne veulent pas perdre leurs “patients” (et bons clients)!
Jean-Marc Suter
Je suis tout à fait d accord avec vous et Jean Marc, nous sommes acteurs. Pas de tout mais de beaucoup de choses. Notre alimentation, nos mode de vie, nos traitements si besoin etc etc… Le corps à un potentiel de survie formidable pour beaucoup. Le premier confinement l a bien montré. Plus d AVC aux urgences??? Plus de grossesses pathologiques et ce n est pas parce que les gens ne venaient pas . Pas vrai. Ils n y en avais pas. Des mécanismes se sont mis en route.
Pour l obésité, le sucre, et la malbouffe j y mets soda et toutes les boissons chimiques etc…. l état est responsable et hypocrite. Des rayons entiers dans les supermarchés sont à supprimer. Mais voilà. On laisse faire.
Bref on pour disserter longtemps. Merci pour vos lettres
Merci….est-ce possible de recevoir un extrait du témoignage de Robert Taylor…..Merci
Bonjour
Je suis d accord avec l ensemble de vos explications !
Néanmoins ce qui me gêne de plus en plus dans tous les mails que je reçois, pas seulement les vôtres, vous ne parlez que de comportements alimentaires et physiques!
Jamais vous n abordez les difficultés psychologiques, émotionnelles qui sont la Source de nos maux !La maladien est un symptôme qui vient nous dire que quelque chose ne va pas ,Et qu on n a pas entendu,voulu entendre consciemment ou inconsciemment !Les disfonctionnements comportementaux dans l alimentation, sont les symptômes de mal être intérieur !Il est plus facile de se plaindre d un mal de dos,de tête que de de dire: Je ne suis pas bien,je suis triste,du vague à l âme!!!
Encore du mal à passer dans la notre société !
En effet bien souvent ça renvoie à ses problèmes personnels et on se sent impuissant!
Si on se plaint d une douleur quelconque on entend “prends un doliprane,un anti inflammatoire….etc”On est plus facilement entendu!
L extérieur est le reflet de l intérieur !
Donc ç est d abord ce qu il faut faire!Travailler l intériorité !!!
C est mon expérience!
Cordialement
Curieux que ce discours ne prenne pas : c’est de l’ordre de l’évidence. En 1982 j’ai lu l’ouvrage de Wilfried Zorn “Mars”” édifiant. 40 ans après on en est toujours là.
Bien cordialement
Bien. Je viens de subir une ablation du sein … la quête de sens face à la maladie me semble être une priorité. Mais je regrette seulement que vous n’ayez évoqué le risque lié aux pollutions électromagnétiques … électrosensible, je peux vous garantir que si certains facteurs tels que vous les évoquez, entrent en ligne de causes probables, l’exposition à de “l’électricité sale” augmente la probabilité de développer un cancer. Il suffit de voir les statistiques sur les tumeurs cérébrales chez les jeunes enfants, en augmentation.
Tres-positive et interessante votre lettre.
Vous avez raison d’os Dire des choses aussi vrai et simples..
La plupart des évènements dans notre vie sont évidents mais nous n’avons pas toujours compris.
Bravo pour votre article
Merci
Je ne suis pas d’accord pour dire que le traitement du cancer n’a pas progressé. Évidemment chimio et radio sont à proscrire, les radio mêmes plus précises font quand même du tort à des cellules saines. Quand à la chimio, quand on sait ce que ça coûte, on préférerait mourir tout de suite.
Tout d’abord, il y a la visualisation. Quand on est malade, c’est difficile à imaginer, mais quand on a un esprit comme Bernard Tapie cela fonctionne. J’ai entendu parler de deux cas, un tassement de vertèbres avec déformation de la colonne vertébrale et d’un cancer. Ce dernier imaginait des torrents de globules qui attaquaient les cellules cancéreuses, et cela a fonctionné. L’autre cas, je ne sais pas ce qu’il a imaginé, mais même résultat.
Ensuite les injections massives de vitamine C;
Il y a les feuilles d’armoise annuelle et graviola. Le plus cher, c’est le transport.
Contrairement à ce qu’a dit quelqu’un sur ces lettres de santé, Steve Mc Queen n’est pas mort à cause de la vitamine 17, mais à sa longue exposition à l’amiante. Pendant des années cela ne fait rien, et quand cela se déclenche, il n’y a plus rien à faire. Et puis il se droguait, il en était devenu paranoïaque.
Voilà pour que j’en sais. Il paraît qu’il y a aussi la curcumine, mais elle semble la médication miracle. Mon médecin me parlait de ces bonimenteurs dans le far-west avec leurs bouteilles de sérum miracle, qui rallonge même la vie. La vitamine D maintenant. J’en prends 10000 ui par jour maintenant, donc je devrai être à l’abri.
Le lactobacillus Gasseri est réputé pour faire perdre du ventre. A partir d’un certain âge, tout le monde veut perdre du ventre, mais c’est vrai que l’immunité commence dans les intestins.
Jean.
De l’iode, de l’iode, de l’iode nous sommes en manque ….A lire le livre de lynne Farrow La crise de l’iode l’impact sur notre santé ( tous carencé ?) résultat cancer sein 1 sur 8……
J’ai travaillé dans un établissement où l’on réparait tous les radars de l’armée française, le médecin du travail avait dit qu’il y aurait
beaucoup de cancers à cause des ondes. En 2O14, opérée d’un cancer de l’endomètre et 6 mois après d’un cancer du sein et l’on
m’a retiré 10 ganglions qui n’étaient pas atteints. Le lendemain j’ai eu une séance de chimio. Après la première opération le chirur-
gien m’a dit que je devrais subir de la crurithérapie (que je j’ai pas faite), mais je me fais des injections de VISCUM ALBUM MALI du
laboratoire WELEDA prescrit pas mon médecin homéopathe anthroposophe. Je prends de la vitamine C, D, tous les jours, fais des
cures de produits BELJANSKI (que le président MITTERAND a pris, alors qu’il avait déjà des métastases en 1981), de la bromélaïne,
l’aloé arborescent du père ZAGRO, du magnésium, des amandes de noyau d’abricots, des probiotiques (kéfir de fruit maison).
Je fais du QI GONG et sur les conseils de mon médecin je fais de la méditation. Je vais aux réunions du Cercle des Amis de Bruno
GRONING , il s’agit de guérision spirituelle, mes douleurs d’une épine du calcaleum ont disparu le lendemain de la projection du
film de sa vie. Je me fais aussi des tisanes de gui de pommier (recette dans le livre de Maria TREBEN : A la pharmacie du Bon Dieu).
Si je récidive je ferais la cure de GERSON et KELLY préconisée par Michel DOGNA dont un médecin dit qu’il a plus de connaissances
que 99 % des médecins. J’ai aussi un thérapeute quantique. Je m’applique sur le bras de la teinture d’iode, parce que j’ai des
nodules à la thyroïde.
J’ai travaillé dans un établissement où l’on réparait tous les radars de l’armée française, le médecin du travail avait dit qu’il y aurait
beaucoup de cancers à cause des ondes. En 2O14, opérée d’un cancer de l’endomètre et 6 mois après d’un cancer du sein et l’on
m’a retiré 10 ganglions qui n’étaient pas atteints. Le lendemain j’ai eu une séance de chimio. Après la première opération le chirur-
gien m’a dit que je devrais subir de la crurithérapie (que je j’ai pas faite), mais je me fais des injections de VISCUM ALBUM MALI du
laboratoire WELEDA prescrit pas mon médecin homéopathe anthroposophe. Je prends de la vitamine C, D, tous les jours, fais des
cures de produits BELJANSKI (que le président MITTERAND a pris, alors qu’il avait déjà des métastases en 1981), de la bromélaïne,
l’aloé arborescent du père ZAGRO, du magnésium, des amandes de noyau d’abricots, des probiotiques (kéfir de fruit maison).
Je fais du QI GONG et sur les conseils de mon médecin je fais de la méditation. Je vais aux réunions du Cercle des Amis de Bruno
GRONING , il s’agit de guérision spirituelle, mes douleurs d’une épine du calcaleum ont disparu le lendemain de la projection du
film de sa vie. Je me fais aussi des tisanes de gui de pommier (recette dans le livre de Maria TREBEN : A la pharmacie du Bon Dieu).
Si je récidive je ferais la cure de GERSON et KELLY préconisée par Michel DOGNA dont un médecin dit qu’il a plus de connaissances
que 99 % des médecins. J’ai aussi un thérapeute quantique. Je m’applique sur le bras de la teinture d’iode, parce que j’ai des
nodules à la thyroïde.Je ne suis pas allée aux séances de radiothérapie ni pris l’AMIRIDEX prescrit par le cancérologue et je vais
très bien.
Avec les produits Beljanski ,vous n’avez pas besoin d’autre chose ;Tapez Le PERLIER JEAN PAUL BELJANSKI
Il vous expliquera mieux que moi la valeur de ces produits !!
Bonjour Mr Combris gratitude pour ce message sur le cancer et pour vos différentes lettres toutes remplies de bon sens !
ça fait du bien de vous lire, et vous avez mille fois raison l’alimentation est notre première façon de nous soigner, manger moins ce n’est pas forcément faire un régime, ça peut être moins de repas par jour et surtout pratiquer au moins deux fois cinq jours de jeûne complet par an !
Permettez-moi d’apporter mon témoignage pour rassurer ceux qui hésitent, le jeûne n’est pas compliqué ni difficile c’est une question de mental. Le vide de toute nourriture est essentiel pour tous nos organes et l’autophagie des cellules “mutées” pour ne pas dire cancéreuses est accentuée par l’absence de nourriture disponible très souvent en grande quantité !! Le premier jeûne est un peu plus difficile notamment les premières 24 H période où le corps vide toutes les réserves en glucose (sucres) ensuite c’est la lipides… Au bout de 2 à 3 jours la sensation de faim s’amenuise pour disparaître et laisser la place à un bien être, un rajeunissement, une énergie étonnante et bienfaitrice… Surveillez bien votre IMC pendant cette période de jeûne… Après un jeûne prenez conscience de votre façon de vous alimenter, attention aux aliments acides… Mais Gabriel COMBRIS vous parle bien mieux de tout cela, j’ajoute juste que le jeûne est extraordinairement bénéfique et que l’on a envie de recommencer. cordialement pascal
Merci Pascal c’esr Juste nos cellules cancéreuses ce sont les nôtres transformées donc il faut obliger notre organisme à faire l’inverse on y réussit !!!!!! Difficile mais oui JJSC a donné le LA donc il faut continuer et la victoire est au bout Paul
Pitié Mr Combis ne lâchez rien ! continuez à nous informer de vos précieux conseils et il ne faut pas que l’on nous prive sciemment de ces précieux produits naturels.
Grâce à vous et vos confrères je peux dire que je ne fais plus de cystites qui m’ obligeaient à prendre des antibiotiques souvent
(6 cystites en quatre mois auparavant ): la prise de bruyère et busserole avec les huiles essentielles en sont venues à bout associée à une perte de poids certes , mais à présent je respire et mes intestins se portent mieux après un nettoyage en profondeur et des produits lacto-fermentés consommés régulièrement.
Je viens de guérir d’un cancer de la thyroïde semi-différentié, métastasé dans les poumons et en train d’attaquer l’os. J’ai essayé diverses thérapies : Iode 131, métabolique, hyperthermie… sans succès. Ma survie était estimée à quelques mois lorsque qu’un médecin en Allemagne m’a proposé une virothérapie lettone. En une année, le cancer a été vaincu par un virus bénin appelé “Echo 7”. Aucune récidive ne s’est manifestée un an après….
Cette thérapie bénéficie d’une aide des Communautés Européennes (projet Horizon 2020) où elle a même obtenu un prix. Elle est inconnue des oncologues français qui la traitent de “charlatanerie”. Certes, elle est très coûteuse si le patient doit la payer complètement, mais elle ferait gagner beaucoup d’argent à la sécurité sociale si elle était introduite dans la pratique médicale…
La médecine naturelle ne peut pas être une application d’une posologie mais un état d’être et une façon de vivre. La posologie c’est l’ordonnance de l’homéopathe ou d’autres praticiens non reconnus, mais cela ne sert à rien si il n’y a pas une éthique de vie reposant sur des pratiques alimentaires relevant de la diététique qui recommande ce que le corps a besoin pour fonctionner. Tout superflus étant de l’excès nuisible à ce fonctionnement. Il est à notre époque impossible de se référer à ce concept si on parcours les grandes surfaces, la seule échappatoire et de reconquérir les cuisines pour se réapproprier le gout et le plaisir de manger. La télé est révélatrice de ces nouvelles tendances par le succès des émissions sur la cuisine ou des chefs apprennent à cuisiner entr’autres des restes et insistent sur l’économie des produits employés et la diététique des plats. Les circuits courts sont une réponse. Pour finir le sport que nos grands parents faisait sans le pratiquer ne ressemblent pas à ces nombreux concepts que nous voyons ou des personnes suent sur des appareils à travers une vitre. L’égo se nourris de narcissisme plutôt que d’effort quotidien. La marche pour remplacer la voiture et pour les autres le vélo. Il y a du boulot………………………
Le malheur c’est que nous sommes beaucoup plus “rentables” malades que bien portants! Pardi, si on se soignait avec des médecines naturelles, on guérirait et alors? Plus de traitements à vie? plus de chirurgie, de chimiothérapie? mais aussi moins d’examens coûteux et parfois dangereux. Nous paierions moins de sécurité sociale, les pharmaciens devraient se reconvertir en apothicaires et vendre des extraits de plantes qui restent bon marché… Nous nous sommes enfermés dans une spirale vers l’argent gagné n’importe comment, même au détriment de la santé publique. Il y a du ménage à faire dans notre médecine française!
Il y a des détracteurs dans tous Les domaines..mais si nous partageons sur votre site, c’est bien parce que nous ne croyons plus , à tous leur dire..dès que l’on est plus dans la norme dictée…nous sommes punis..
Heureusement, de plus en plus de personnes se rendent compte , que les médicaments officiels,apportent d’autres inconvénient..
Depuis mon plus jeune âge, je sais ce qui est bon pour moi..
Herboristerie,homéopathie…médecine alternative…sont pour moi, les meilleurs remèdes..
Je ne prends aucun traitement, car je n.en ai pas besoin..
Mes analyses sont toujours normales
Alors continuer votre action, nous’ nous avons besoin de vous..et je suis persuadée que de plus en plus de personnes viendront nous rejoindre
Bonsoir, merci pour tout ce que je viens de lire.; mais une question : comment utiliser les plantes : sauge basilic, et autres herbes , à part les tisanes
Merci pour votre réponse.
Quand va t on insister sur les traitements probants du Dr. SCHWARTZ, à savoir régime cétogène, prise concomitante d’hydroxycitrate et
d’acide lipoïque, vitamine C à haute dose et surtout prise dix fois par jour de boisson avec dioxyde de chlore (chlorite de sodium + acide
chlorhydrique) – sans toxicité lourde et au coût dérisoire ?
Je pense aussi à l’anti-oxydant le plus puissant ce que je prends en médecine naturelle
C’est du glutathion Liposomé
Vous parlez de vivre sainement…. ma fille à 2 adorable petites filles que j’aime de tout mon coeur. Elle leur donne toujours une alimentation saine (légumes bio achetés chez des producteurs, ainsi que les fruits etc etc) .Et pourtant en novembre 2018 ma petite fille âgée de 5 ans 1/2 est tombée malade. Du 10 novembre au 13 décembre elle était à l’hôpital de Lyon avec plus de 40 de fièvre et ce jour là suite à une biopsie d’un bouton on nous annonce qu’elle avait un lymphome ( cancer des ganglions ) donc chimio a partir du 19 décembre . le 2 mai 2019 ont nous annonce qu’elle était en rémission totale qu’elle joie… Mais de courte durée le 10 mai tout recommence éruption de boutons, forte fièvre et gonflement des ganglions.. Les médecins disent à ma fille et à mon gendre c’est un lymphome très agressif donc nouvelle chimio depuis le 2 juin. Pour l’instant tout à l’air de fonctionner et l’ont sais que se sera long…. Là ils ont fait des tests sur sa petite soeur âgée de 3 ans pour voir la compatibilité au cas où elle aurait besoin d’une greffe, par bonheur elle est compatible a 100% mais ont espère ne pas en avoir besoin car le combat est assez dur comme ça même si ma puce c’est toujours battue sans se plaindre et avec le sourire ……….. Je ne comprend pas ont à beau vivre , manger sainement cette saloperie s’en prend de plus en plus aux enfants, expliqué moi svp
J’ai entendu dire et lu sur internet que l’aloe arborescens détruisait les cellules cancéreuses ; est-ce vrai ? Connaissez-vous certaines personnes qui ont pu bénéficier de ses bienfaits ?
Cela me touche car j’ai moi-même eu un cancer à 7 ans et beaucoup de séquelles par la suite. Moi aussi j’en fait part (sur le site Wattpad, l’œuvre “handicapé(e)” mon pseudonyme Florence Hand). C’est important de parler aux autres
Bonjour ,
Bien sûr que je suis d’accord avec vous Monsieur, la nature est bien faite et notre créateur a pensé à tout. Tout se qui peux nous guérir se trouve dans la nature. Il suffit de l’observé et découvrir ses secrets.
Bonsoir,
Merci pour vos bons conseils, mais, que pensez-vous des irradiations dues au nucléaire civil? Entre les accidents non dits, les déchets répartis n’importe où, nous vivons dans une atmosphère extrêmement irradiée!!!
je veux bien croire en notre responsabilité, mais entre la chimie qui pollue notre nourriture, et les atomes qui polluent notre air, je nous vois mal armés pour nous sauvegarder!
Et la cure Breuss anti cancer…
Je suis a 100% d’accord avec ce que vous dites. Par contre je trouve que la médecine a bien avancer dans le cancer de la prostate. Début 2019 on a diagnostiqué un cancer de la prostate métastasé aux os a mon mari on ne l’a pas opéré ni fait chimio et radiothérapie.Il prend 2 gélules le matin a jeun et d’autres médicaments aussi sinon il ne serait plus a mes côtés a ce jour.Une fois le cancer déclarer il faut pouvoir joindre les deux, la médecine et le naturel. C’est juste mon point de vue.
Bonjour, votre témoignage m’a intéressée . C’est pourquoi, ayant autour de moi quelqu’un qui a un cancer de la prostate et qui s’est fait opérer mais n’est pas guéri malheureusement, je me permets de vous laisser ce message pour vous demander un renseignement. Vous indiquez qu’il consomme des gélules et autres médicaments qui me paraissent efficaces. Je serais intéressée de connaître le nom de ces gélules et le nom des médicaments. Ont -il été prescrits par un médecin ? Je vous remercie beaucoup de votre réponse . Cordialement.
Je suis heureuse de recevoir votre lettre jounalièrement perclue d’arthrose scoliose importante rachitisme enfance ostéoporose importante je ne connais que la douleur, malheureusement je ne peux pas acheter votre livre, je suis belge avec un compte social qui ne me permet pas d’acheter cvotre livre car je ne peux rien payer vers l’étranger. je ne suis pas du tout en surpoids je ne bois pas et ne fumes plus ulcère à l’estomac et foie fragile dû aux régulières crises de malaria née au congo belge et y ai vécu jusqu’à mes dix-huit ans . FIBROMIALGIE . Je suis à une quinzaine de médicaments par jour et là depuis votre courrier j je fais un traitement de collagène marin curcuma et acide hyaluronique. J’attend une légère amélioration d’ici deux mois je l’espere et e suis achetée une plateforme vibrante dont je fais 3/4 d’heure par jour ne me déplaçant très difficlement. nourriture saine jamais de plats préparés depuis toujours ni fast food mais bon;;;; merci pour votre courrier
Pourquoi refuser les possibilités de guérisons de certains médecins médecins et de leurs méthodes comme le Docteur Janine Fontaine ?
Pourtant sur cette possibilité de guérison qui aboutit à une possibilité d’ observation sur ce qu’est un corps Humain y a -t-il tant de blocages ?
Le plus simple n’est-il pas le plus vrai ?
Bonjour Jean marc,
Tout a fait d’accord avec ce que vius écrivez ok, dans le livre du grand dictionnaire des malaises et des maladies de de Jacques Martel.
Pour n’importe quelle maladie qui soi, symptômes, incidents, pathologies etc…celles ci a une cause sur sa conséquence.
Tout n’apparaît pas par le fruit du grand hasard sûrement pas.
Avoir certes une vie saine si possible oui, enfin tout ce vous écrivez est juste mais pas que.
Nous venons aussi tous sur terre, pour mettre en ordre certains choses que nous n’avons pas mis en ordre dans ou plusieurs vies antérieure même un jeune enfant a aussi sa charge karmique a régler.
Je ne souhaite pas trop m’étaler sur ce sujet très delicat, chaque être humain est différent des uns des autres oui.
Beaucoup d’événements, douleurs, stress, souffrances etc….peuvent faire que….
La maladie, (mal- à-die) nous envoies aussi des messages, il ni a pas que ceci ou cela qui peuvent faire que….
Cordialement.
Mme Reiser Madeleine
Quand début juillet 2019 mon vétérinaire a découvert sur mon chien Boby une tumeur cancéreuse grosse comme mon poing , il en avait pour un mois à vivre …..Il m’a alors dit ceci “: certains vétérinaires vous proposeraient l’opération qui consiste à enlever la vessie et mettre une poche , je suis contre ! On va le prolonger d’un mois , pour des souffrances inutiles , je n’en vois pas l’interêt “! On a alors parlé d’extranase , spiruline , bromelaine …..C’est alors que j’ai tenté le coup pour le coup , je lui ai commandé de la bromelaine (dynveo) hautement dosée .
Au bout de 15 jours , sa tumeur avait diminué de moitié et 3 semaines plus tard il ne sentait plus rien . On a alors refait une écographie , elle était asséchée , ratatinée …..Les curieux tapez donc ces mots “solomidès , carzodelan” dans votre moteur de recherche .
Samedi dernier mon petit Boby est parti au pays des anges . Il avait près de 15 ans et n’est pas mort de sa tumeur , mais de vieillesse …
Une des causes die van er est formée pat les onder nocives de la communication Sans fil: Blue tooth, wifi, smart phone (3G, 4G et bientôt la 5G).
Il est prèsqu’impossible d’éviter ces ondes nocives, appelées elektro-smog, mais prendre quelques précautions peuvent aidet;
Utiliser plustot le 3G au lieu du 4G oú 5G
La nuit, pas de gsm à côté du lit.
Ordinbateirs: connection internet cablée er désactiver le wifi.
Munir chaque appareil à communication Sans fil d’une protection contre les onde électro-magnétiques.
Etc..
Bien à vous.
Pat
Bonjour,
Je suis entièrement d’accord avec vous, j’ai toujours pensé qu’il y a un véritable problème dans ce monde, certains médecins ne soignent plus,ils détériorent encore plus notre santé en nous prescrivant des médicaments qui nous détruise d’avantage, car ce n’est pas normal qu’en 2021 la médecine n’a pas vraiment avancé, alors que des remèdes naturels peuvent nous soigner, je souffre d’hypertension, j’ai arrêté mon traitement depuis plusieurs mois dont celui-ci m’a détérioré mes reins et depuis plus rien tout va bien,je mange beaucoup de légumes,jus de betterave,amande,etc….afin de me soigner moi même.alors conclusion, éviter les médicaments et soignez-vous par vous-même.
Cordialement,
Bonjour,
Merci pour tous vos précieux conseils. Dans votre lettre vous parlez des probiotiques ( lactobacillusgasseri, lactobacillus, acidophilus et bifidobacterium ) aurriez-vous serait-il possible de nous donner une référence qui contienne ces quatre souches, car j’ai cherché dans plusieur laboratoires, seulement on n’en trouve qu’une ou deux à chaque fois. Ou bien faut-il cumuler les différents probiotiques pour les avoir tous ?
Cordialement
Une chose est sûre.
Si les autorités américaines en relation avec les autorités françaises n’avaient pas tué Georges Lakhovsky qui avait créé la machine « anti-cancer » qui est l’Oscillateur à Longueur d’Onde Multiple dans les années 30, on ne mourrait plus ou très peu du cancer aujourd’hui.
Je sais de quoi je parle.
Bonne journée à vous!