Chère lectrice, cher lecteur,
Je vous écris cette lettre alors que nous nous approchons de Noël.
Les familles se préparent, les enfants piaffent, le sapin clignote. On attend l’heure.
Les maisons se referment un temps sur elles-mêmes, pour garder la chaleur de ces moments.
Pour les chrétiens, c’est un temps particulier. Ils fêtent la naissance de ce lui qu’ils appellent leur sauveur.
Le paradoxe est que ce sauveur est l’être le plus fragile qui soit. Un enfant pauvre, né dans une mangeoire, veillé par un âne et un bœuf. Un enfant devant lequel pourtant, des mages, hommes puissants et respectés, viendront s’incliner et poser des trésors.
Pourquoi ?
C’est que cet enfant nu, entièrement dépendant de ceux qui vont prendre soin de lui, représente le coup de tonnerre absolu, l’inversement TOTAL de l’ordre établi des choses dans les sociétés humaines gouvernées par la force, la violence, le pouvoir et la domination.
La vraie révolution, pour reprendre ce mot qu’on utilise à tout bout de champ.
Une révolution qui se produit dans le cœur de l’homme, lorsqu’il comprend que sa faiblesse, sa nudité, sa fragilité, sont le socle même de son humanité.
Les mages le savaient. Et nous, l’avons-nous oublié ?
Je vous écris cela aujourd’hui, car je pense en particulier à un homme, que le destin a placé dans une situation de fragilité absolue.
Il s’appelle Vincent Lambert.
Les médias ont souvent parlé de cet ancien infirmier devenu « patient tétraplégique », à la suite d’un accident de voiture en 2008 [1] .
Depuis dix ans maintenant, cet homme est allongé sur un lit d’hôpital, sans pouvoir rien dire, rien faire, alors qu’au dessus de lui, médecins, experts, familles, se déchirent et alternent entre décision d’arrêt et de reprise des soins.
Et lui, que pense-t-il ? Alors que Noel arrive, où est-il ? Avec nous, ailleurs ? Ces questions sont autant d’énigmes auxquelles la science, même la plus avancée, est incapable de répondre.
Le cas de Vincent Lambert pose les limites de notre compréhension du monde. Alors bien sûr, on essaie d’agir malgré tout, mais nous avançons comme des aveugles. A tâtons, sans la moindre idée de la direction à suivre.
Ainsi, le 22 novembre dernier, trois médecins chargés de l’examiner ont estimé qu’il était, aujourd’hui, dans « un état végétatif chronique irréversible » et que cela ne lui laissait plus « d’accès possible à la conscience ».
Une nouvelle conclusion qui fait suite à une précédente. Un expert qui remplace un autre expert. Son avis qui vient s’ajouter à celui d’un confrère, parfois le conforter, parfois le contredire.
Un coup la vie, un coup la mort…
La médecine donne l’impression d’agir, en rendant des avis.
La justice donne l’impression d’agir, en nommant des nouveaux experts.
Mais la vérité, c’est que rien ne change. Rien ne bouge.
Vincent Lambert, un être humain de chair et d’esprit comme vous et moi, reste au même endroit où il était la veille, et probablement où il sera le lendemain. Et je crois qu’il nous place tous devant la question immense de notre propre fragilité. Il est le miroir que nous avons peur de regarder. « Et moi, si ça m’arrivait ? »
Lui vit dans une constance, tragique ou indifférente, qui se moque bien des palabres de son temps.
Je ne sais pas si on peut lui souhaiter un joyeux Noel, mais je crois qu’on peut penser à lui, et à tous ceux qui sont dans son cas. Hommes et femmes si différents de nous qui sommes valides, et pourtant si proches, frères et soeurs en humanité.
Vincent Lambert est peut-être le plus connu de ces patients, mais ils seraient actuellement près de 1500 à vivre dans le même état. La légion des oubliés. Ces personnes qui se trouvent en « état végétatif chronique » ou de « conscience minimale » :
« Ces patients ont une conscience très limitée, voire inexistante, après avoir été victimes d’un traumatisme crânien ou d’un accident vasculaire cérébral. Le diagnostic définitif a été posé après leur sortie du coma artificiel dans lequel ils avaient été plongés. Leur état peut se prolonger des mois, voire des années ».
« Qu’il s’agisse d’état végétatif ou d’état de conscience minimale, les patients alternent des phases d’éveil et de sommeil. Mais l’état de conscience minimale se caractérise par l’existence de signes de conscience, totalement absents en cas d’état végétatif [2] ».
Voilà pour les « définitions ».
Les hôpitaux français comptaient en 2014 un peu plus de mille lits consacrés à ces patients.
Les autres sont accueillis dans des structures différentes, mais aussi parfois à domicile, comme le footballeur Jean-Pierre Adams, un ancien de l’équipe de France tombé dans un profond coma le 17 mars 1982 à la suite d’une erreur d’anesthésie [3]…
Alors qu’il vient de fêter ses 70 ans, Jean-Pierre Adams semble toujours dans un autre monde : il respire, il mange mais il ne parle pas. Son épouse est à ses côtés et depuis 36 ans, elle veille sur lui :
“Les gens sur Facebook disent qu’il faut le débrancher, dit-elle. Mais il n’est pas branché ! Moi je ne me sens pas le courage d’arrêter de lui donner à manger ou à boire” dit-elle simplement, inquiète à l’idée de mourir avant lui“.
Quelles sont les certitudes qui résistent, devant ces situations ?
Il n’y a que le grand mystère de la vie, de la souffrance, l’impuissance qui nous caractérise, nous les hommes, qui croyons tellement que nous avons explication à tout. Et qu’il existe seulement une explication rationnelle à tout.
Peut-être dans dix ans, dans vingt ans, la médecine et la science franchiront de nouvelles frontières, en effet, pour expliquer rationnellement ces cas d’état végétatif.
Peut-être pas.
Et parce que le fait de poser toutes ces questions n’avance pas à grand chose, il faut le reconnaître, je crois que nous pouvons tous en revanche montrer le plus grand respect et le plus grand soutien à ceux qui traitent ces patients lourdement handicapés de la même façon qu’ils traiteraient un autre être humain.
Les infirmier(e)s, les soignant(e)s, les thérapeutes qui assurent au quotidien les soins de ces malades.
Les médecins qui savent poser les limites de leur action.
Les bénévoles, les anonymes, les familles, les proches.
Tous ceux qui à un moment ou à un autre tiennent une main, disent un mot gentil, font un sourire, ou se contentent simplement d’être là.
Là, aux côtés de Vincent et des autres, tous ces malades qui aujourd’hui nous rappellent la fragilité, la faiblesse, qui sont le cœur même de la fête de Noël.
Joyeux Noël à vous,
Gabriel Combris
merci pour cette lettre qui répond à mes propres émotions , mes préoccupations pour notre humanité. Merci pour cette lettre émouvante et tellement juste.
Je vous conseille la lecture du livre :Voyage d’un neurochirurgien au cœur de la conscience de : Dr Eben Alexander éditeur Guy Trédamiel
de prendre contact avec une association pour la communication facilitée Il y a des personnes qui peuvent communiquer avec eux. En suisse http://www.cf-romandie.ch
bonnes fêtes à vous Hélène Chiot
merci
il y a aussi le coureur automobile Michael Schumacher
Vincent Lambert représente, en plus, le débat sur l’euthanasie avec un bras de fer entre l’état représenté par l’hôpital et les parents aidé par un avocat
Bonjour Monsieur Combris,
votre petit mot est important, car il souligne la fragilité de l’incarnation .
Le corps humain est intimement relié à l’esprit, c’est la raison de son apparition sur Terre.
Les médecins classiques, dans l’état actuel de notre évolution, n’en sont toujours qu’à l’aspect matière de l’humain , très peu l’esprit.
Et il constatent donc des états de coma selon leurs critères.
Mais l’être qui est dans le corps n’est pas ” déconnecté ” de …quelque chose…
A nous tous de comprendre pourquoi surgissent de tels cas…
Et l’Humanité fera un (très) grand pas vers le vrai savoir.
Bien à vous.
merci pour ces mots et ce partage !
Je suis TOTALEMENT d’ accord avec vous. Le corps et l’Esprit ne font qu’un, ils ne peuvent être dissociés, seulement la médecine rationnelle ne peut le comprendre, car son approche comme son enseignement diffère de la réalité et de la conscience humaine. Si les chercheurs, les professeurs osent désavouer la médecine rationnelle, ils se font vite rappeler à l’ORDRE des médecins et parfois mis sur la touche.
On peut être dans le coma ou un ” légume ” l’Esprit est toujours présent et reste éveillé dans le corps. Seulement le corps physique ou matière ne répond plus aux données de la médecine, et elle reste incompétente devant une telle situation, car elle n’a pas les données ni la compréhension de la globalité du corps humain. aussi, elle se trouve dans une impasse face à ce corps inerte ( qu’elle croit ) alors que son Esprit est bien vivant dans le corps, et qu’il continue son évolution d’une autre façon.
Il n’est plus en contact avec la réalité, mais la vie est toujours présente en lui, car il n’est pas coupé de la Source ni des Êtres de Lumière qui l’entourent.
Puis-je ajouter que c’est l’être humain qui a choisi de vivre cette expérience à travers son incarnation. L’exemple de cette femme qui depuis 36 ans vit auprès de son mari sans espoir d’évolution si ce n’est l’amour qu’elle lui offre pour le soutenir dans son choix de vie , quel beau cadeau . D’autres ont fait ce choix pour aider la médecine à évoluer et changer de cap. Ce n’est pas pour demain, mais il faut garder confiance un jour viendra où elle comprendra son erreur.
Il y a les médecins du ciel qui n’attendent que notre appel pour venir nous aider, seulement faut-il le savoir, et y croire !
Amicalement
Bonjour AUTANT,
je vous remercie vivement d’avoir envoyé votre réponse.
Elle est tellement bien écrite, permet de saisir certaines « vérités » , qui devaient ici être développées.
Elle me fait penser à ce tableau ancien où l’on voit l’archange Gabriel prenant un humain dans ses bras protecteurs.
Mais c’est d’abord à nous, de nous donner suffisamment d’Amour, pour sortir de cette dualité qui nous fait tant souffrir, mais également tant grandir…
Joyeux Noël à vous tous.
bonjour Francis,
merci de votre réponse, elle me va droit au cœur.
Je crois et je le pense être sur la même longueur d’onde que vous.
J’ai lu quelques lettres toutes en accord avec la médecine naturelle, seulement les personnes ne cherchent pas à élargir leur champ de vision sur la santé du corps et de l’Esprit. Et pourtant on ne peut les dissocier.
Et c’est là où les effets de la médecine naturelle vont entrer en ACTION, et développer toutes leur PUISSANCE .
Les plantes sont comme NOUS, elles ont besoin des 2 éléments Ciel et Terre pour se développer, et si l’humain en plus ajoute un acte d’AMOUR envers la TERRE et la plante, elle n’en sera que plus belle, et ses effets bénéfiques pour le corps humain n’en seront que grandis !
C’est quelques lignes ne sont qu’une goutte d’eau dans l’immensité universelle, mais je garde l’espoir de voir cette goutte d’eau s’étendre sur toute la Terre.
Bonne journée
Geneviève
bonjour Mr Baeb et à tous
Merci Mr , je n’ ai rien à rajouter à vos propos qui sont parfaitement justes et ils ont en plus
l’avantage de nous inviter à la réfection personnelle qui seule peut nous éclairer dans un cas comme celui-ci
via notre intuition….
Bonne journée.
Continuez à nous abreuver de vos lectures car c’est la vraie vie et pas la médecine des la os qui nous tue pour soi-disant mieux nous soigner mais seulement pour gonfler leur portefeuille. C’est pourquoi il nous ont mis le covid pour nous vendre leur vaccins merci
seule la personne qui et légalement proche de cette personne a le pouvoir de décision, epouse ou sans parent et sans , enfants mais je ne peu m’empeché de leur souhaiter bon courage
Merci pour cette lettre où votre humanité transparaît dans toute la conscience de sa vulnérabilité. J’ai grand plaisir à vous souhaiter aussi bon Noel.
Un de vos frères en humanité,
Patrick
ce que je vais écrire n’engage que moi ..je ne prétends pas avoir raison..c’est mon ressenti…je trouve qu’il y a beaucoup d’hypocrisie quand on s’acharne a maintenir des gens en vie alors que nous mêmes ne souhaiterions pas étre ainsi…quand on envoie des jeunes gens en bonne santé se battre ..pourquoi ? j’ai envie de dire…on n’a pas tant d’état d’âme…j’ai 75 ans et suis maman d’une fille àâgée de 45 ans atteinte d’autisme de kaner..elle ne parle pas..crie et s’automutile..elle est sous camisole chimique depuis l’age de 22 mois..d’apres les encadrants de la MAS elle comprend tout..donc pour moi elle est prisionnière dans son corps..sa seule autonomie est la marche mais dépendante de nous pour tout le reste…il m’arrive souvent de penser qu’elle serait mieux dans le repos éternel…moi je vis avec en moi une plaie béante qui saigne et qui n’arrive pas à cicatriser…voila c’est tout..c’est dit…de la souffrance en continue pour elle comme pour nous..
Bonjour madame, je vous ai lu et je me suis mise à votre place, je ne suis pas dans votre cas, mais je me suis posée la question : que faire. J’ai l’habitude de ne prendre jamais de décision importante sans prier Jésus avant, là je ferais cela, “et toi Jésus, que veux tu que je fasse ? ” et j’attendrais sa réponse, Jésus réponds toujours à nos questions, il suffit de se mettre en communion avec Lui et d’attendre ses signes, plusieurs fois pour que la Paix vienne en même temps que sa réponse. Bon courage et je demande moi pour que Jésus vous donne sa paix et vous éclaire. Soyez bénies toutes les deux.
Bonjour, merci de nous rappeler dans ce monde de (sur)consommation que Noël n’est pas la plus merveilleuse période de l’année pour tout le monde. Profondément chrétienne, j’ai rarement lu un commentaire de la naissance du Christ aussi vrai.
Cette nuit, grâce à vous, j’aurai une prière un peu plus élargie et je vous en remercie.
Joyeux Noël!
Bonjour, merci à vous , ce texte est très bien écrit et je vais le partager sur FB afin que d’autres puissent en avoir connaissance.Bon NOËl à vous et mes pensées positives de VIE vont vers tous ceux cités qui sont de près ou un peu plus de loin au contact de ces situations …
Très belle lettre, très touchante, merci pour cette humanité qui fait tellement du bien.
Avec mes voeux.
Micheline
Merci et belle fête de Noël
Bonjour à vous tous,
Merci de tous vos écrits Monsieur Combris, pour ce qui concerne celui-ci merci de me donner l’occasion de propager mes meilleurs souhaits de tout mon être à tous ceux qui vivent de près ou de loin des situations difficiles.
Que ferais-je en de telles circonstances à cet instant je ne sais pas.
Selon des sages : “être ici et maintenant à 100% ” est une lumière pour éclairer chacun de nos pas.
Bien avec vous.
magnifique réflexion sur la fragilité de nos existences dépendante des avis contradictoires des experts qui ne tiennent pas compte des souffrances de l’entourage. Cet entourage vit une relation que la science froidement évacue , mais qui pourtant est essentielle à la vie. Qui détient la vérité ?
Merci à Gabriel pour ce beau rappel d’humanité.. Je suis particulièrement touchée car notre fils de 41 ans a été placé en coma artificiel pendant quinze jours après une chute gravissime et interieurement je me suis préparée à l’inéluctable. Ceci vient de se passer en ce mois de décembre 2018…il est réveillé depuis quelques jours, nous reconnaît, échange avec nous de là où il est. Pour moi une chose est certaine, le connaissant je ne l’aurai pas maintenu dans un état végétatif.. La mort fait partie intégrante de notre vie,et nous continuons à vivre avec ceux qui nous ont ‘apparemment’ quittés mais qui sont bien présents dans nos cœurs.. C’est un autre chemin de communion et c’est ce qui donne veritablement sens à notre vie. La venue de Jésus en ce temps de Noël redonne toutes ses couleurs à la Vie.. Je n’ai pas su dire avec des mots ce que je ressens et vis profondément, malgré les souffrances, les difficultés, les obstacles de toute sorte.. Je ne peux que témoigner que la Vie est belle grâce à l’Amour incarné par Jésus, que la Joie est dans mon cœur et que je me sens toute émerveillée par ce que nous pouvons comprendre à travers n’importe quel événement à condition de réajuster nos ‘lunettes’ intérieures. Je vous souhaite un très beau Noël, et merci encore pour vos publications… Eliane Galzin
Tous mon respect a Madame ADAMS tres courageuse je me souviens de son mari remarquable footboleur
mais evidemment le grand dilem est pour les gens qui respire spontanement a t-on le droit de decision sur leur vie ,???????
Merci, Gabriel, de ces belles pensées pour ces patients oubliés, qui nous rappellent en effet notre fragilité, mais aussi notre ignorance face à la conscience. S’ils sont encore là physiquement sans être là par l’esprit, cela ne veut pourtant pas dire qu’ils ne perçoivent rien de nous… je dirais même qu’ils accèdent à une dimension qui ne est pas accessible !!! Respect pour eux, et pour tout leur entourage.
Votre lettre est bouleversante et met en lumière cette notion de fragilité de l existence en même temps que souvent la vanité de nos comportements orientés vers la rentabilité le pouvoir la puissance…
Nous sommes en réalité tout petits face à Dieu, au destin’, en fonction de ce que l on croit.
Merci pour ce rappel et merci à tous ces anonymes qui consacrent du temps à tous ces « oubliés ».
Ce sont eux les véritables héros de notre époque.
Bonjour,
Merci pour ce rappel à l’essentiel.
Je suis d’accord pour être en union de pensées et prières pour les proches, familles amis, soignants , aidants de ces oubliés
Evidemment je n’ai aucun mérite d’y penser : la vie quotidienne me rappelle à cette réalité étant moi-même concernée par mon époux qui a la maladie d’Alzheimer et chaque jour est une montagne à franchir pour moi et je ne sais pas bien le faire…J’essaie tout de même.
Joyeux Noël !!
J’ai lu un livre sur les travaux de Vincent sur le pH du corps humain ; il relatait un cas de coma résolu en normalisant le pH de ce patient qui s’est alors éveillé.
Qu’on le laisse s’en aller ENFIN, vu qu’il n’est déjà plus là depuis longtemps.Stop a l’acharnement thérapeutique pour ceux que l’on dit Aimer.Ne soyons pas EGOISTES
MERCI POUR CES MOTS SI PROFONDS SUR … LA VIE !
HEUREUSEMENT , IL EXISTE EN FRANCE DES CENTRES DE READAPTATION
TELLEMENT MIEUX ADAPTES QUE L’HOPITAL…
MERCI LES SOIGNANTS ! VOUS ETES FORMIDABLES !
je ne peux que saluer de beaux sentiments et de belles intentions , mais il y a ,a mon sens une hierarchie qui me semble fondamentale et qui se doit d’etre respectée ( sortir des dogmes et des idéologies qui masquent un refus de l’autre et un égoisme ) la protection contre les maltraitances physiques et psychiques des enfants lesquelles ont des répercutions sociétales très importantes .
Merci de cette prise de conscience. Après cela on sait qu’avoir un corps et un esprits sains a un tès grand prix. Encore merci.
Bonjour et merci pour cette lettre,
Cette réflexion me fait penser à la reliance qui existe entre tous les êtres. Chacun est unique et fait partie intégrante de l’univers.
Cette souffrance nous la ressentons parce qu’elle est aussi la nôtre. La vie est tout simplement quelque soit sa forme. Quand la science ne peut expliquer, elle se retranche derrière des lois. Seule notre conscience sait, ressent et comprend sans pouvoir y mettre des mots.
Ce mystère nous rapproche de notre humanité, de nos racines et ces racines communiquent entre elles.
Et si nous utilisions cette période d’hiver pour nous enraciner davantage ?
Bien à vous,
Chantal
Une belle lettre pleine d’humanité .Merci à vous .Belles fêtes de fin d’année à vous et votre entourage
Très belle lettre – personnellement je préfèrerai qu’on me débranche, pour les miens et moi-même , et permettre à ceux qui m’entourent de redémarrer une nouvelle vie avec de la joie, du bonheur, ce qui n’empêche pas de penser à ceux qui sont partis, c’est peut être aussi les libérer (les patients)
Idée : sur la carte de groupe sanguin ou autre, de notre vivant, une mention pourrait être indiquée stipulant notre volonté si un tel cas nous arrivait. Ce serait le respect de nos dernières volontés, indiscutables
BON NOEL, le mot est mal approprié je crois, à ceux qui souffrent physiquement et moralement
Dans ma petite enfance j’ai subi un très grave accident . Certains médecins m’ont vu perdu et
n’ont pas pris la peine d’isoler du plâtre un membre cassé , persuadé que je ne m’en sortirai pas.
J’étais dans le coma . J’y suis resté pendant un mois.
Je suis revenu à la vie le jour de “Pâques”
J’ai gardé de cet accident quelques séquelles physiques .Mais
je m’en suis sorti.
Ce qui m’est arrivé peut aussi arriver à tous les malades sans exception.
Il faut conserver l’espoir chevillé au corps …
Pour moi, ces situations sont d’une tristesse infinie car je vois que des êtres peuvent par amour, garder prisonniers de cette situation des êtres que , soi disant , ils aiment. Ce que je vois, c’est que maman Lambert s’aime tellement elle même qu’elle est incapable de laisser son fils libre de vivre ce qu’il a à vivre maintenant. Et qui, certainement , est bien plus palpitant que ce qu’elle l’oblige à vivre. Naître et mourir ne sont que des métamorphoses: le corps n’est que la demeure transitoire de notre âme et esprit.
Et, si, un jour, elle voit de combien de choses elle a privé son fils pendant tant de temps,!!! j’espère que ses yeux s’ouvriront douloureusement à ce dont elle est responsable .
Je suis quasi tétra, juste la main gauche qui bouge un peu avec le bras, je suis seule, mon mari m’a battue et laissée sur le carreau, sens propre comme figuré, je n’ai plus de famille
je suis allongée toute la journée, avec ma conscience hélas, et si je le pouvais je mettrais un terme à cet enfer. inutile, sans amour, devant l’indifférence générale des un(e)s, qu’ai je à faire sur cette planète ?
j’étais infirmière urgentiste, les drames défilent dans mon pauvre cerveau, nuit et jour, sans possibilité de soulager mes douleurs physiques, je viens de faire une hépatite fulminante, mon foi attend une greffe…. donc pas d’antalgiques pas de somnifères non plus, pour avoir un peu de répit….
je vous narre cela simplement pour vous dire que moi, j’aimerais qu’on m’aide à partir…
je suis épuisée, et je pense à tous ceux qui vont passer ” ces fêtes” dans cet état . cela n’est que rajouter à nos souffrances
mais à tous ceux qui vont bien ou le mieux possible, profitez de chaque instant car un jour ce sera le dernier
alors joyeuses fêtes de bonnes années, et abrégez nos souffrances svp
Bonjour Françoise, Je suis infirmière moi aussi, à la retraite, mais tellement seule, car atteinte d’une maladie orpheline, avec beaucoup de douleurs physiques et psychiques, en plus d’une énorme solitude, mais je peux me déplacer seule, malgré les douleurs. Devant votre souffrance, je n’ai pas de mots, seulement vous dire ma compassion et vous serrer dans mes bras pour vous réconforter, car on est bien démunis face à tout ce mal, que je n’accepte pas, et ne peux comprendre. Je vous embrasse de tout coeur Françoise Ode
Bonsoir Françoise,
Je suis troublé par la profondeur de ce malheur qui vous touche. A distance, il faut un miracle pour apporter plus que des mots sur un écran. Car c’est cela qui compte, et non les belles phrases. Si Jésus vous parlait, et vous annonçait un au-delà avec lui, pour réparer cette abomination. Tout votre malheur deviendrait au contraire une raison plus grande pour lui de vous sauver, d’une manière ou d’une autre.
Je ne mérite pas d’être appelé chrétien, je ne prêche pas et je n’adhère pas à tout ce qui est consigné dans la Bible…
Mais je viens à vous avec ce peu de foi dans mon cœur, Juste assez pour prier et attirer l’attention sur vous.
Je suis retraité et seul comme beaucoup, je ne réveillonnerai pas mais je veillerai en pensant à vous, jusqu’à parvenir à prier comme je peux, éloigné de la joie je l’avoue, pour mille raisons. Bonne nuit de Noël et plus si possible. Je serai avec vous en pensée.
Bonjour Françoise,
Celui qu’on a appelé le Christ dit : « La souffrance est un grand mystère »
Croyez en sa parole, Françoise, ouvrez-vous à cette énergie, et non pas à une croyance mentale, dans laquelle fonctionne la plupart des êtres.
Votre démarche sera personnelle.
Souffrir comme vous le vivez, c’est très très dur.
Mais laissez-vous envahir par la chaleur de l’Amour et vous sentirez alors qu’il existe un mystère insondable mais réel à la souffrance. Point besoin de tout comprendre, mais d’avoir la foi.
Vous verrez, vous aurez dans l’avenir bien des raisons à aimer la Vie.
Je vous le souhaite de tout cœur.
Bonne fête de Noël !
Bon Noël à tous, n’écoutons que leur coeur…
Bonjour, La première chose qu’il serait souhaitable serait que sa famille cesse de “batailler” pour ou contre son maintien en vie. Selon la psychosomatique et la psychogénéalogie, nous portons des “mémoires” de personnes décédées trop jeunes ou de façon tragique, et le clan familial nous “charge de porter” cet épisode non résolu, (dont le deuil pas fait, entre autres) J’ai peu de place pour donner beaucoup d’explications, mais voici mon interprétation, selon ce que j’en pense : les parents veulent que Vincent continue à vivre “pour les aider à porter quelque chose qui est trop lourd pour eux”, mais dont ils n’ont pas conscience (C’est bien enfoui au tréfonds de leur inconscient, et ils n’en sont pas responsables) Quand à son épouse, on peut très bien comprendre qu’elle ait envie de refaire sa vie, mais il y a un fond de culpabilité qui semble bloquer quelque part, peut être face à ses beaux parents, qui sont, je crois chrétiens. Pour moi, et cette “position” n’engage que moi, serait que la famille et belle famille se rassemblent, se réconcilient, et, peut être, se retrouvent auprès du lit de Vincent pour lui dire l’amour que chacun a pour lui, et laisse de côté tout ressentiment, quel qu’il soit. Et que la nature (ou Dieu) fasse ce qu’il y a de mieux pour Vincent, dans la paix se son coeur à lui, et dans le coeur de chacun de ses proches, sans culpabilité. Pour moi, j’ai le sentiment d’une grande souffrance morale chez Vincent, partagé entre deux familles, et il ne peut “partir” en paix ! Je ne porte AUCUN JUGEMENT sur quiconque, des choses nous échappent à tous, car elles appartiennent au domaine de choses invisibles, mais bien actives dans nos vies.
… Si on ne s’appelle pas Michael Schumacher, oui, on ne pense pas à vous !… Pour aider autrui, il faut s’aider, s’aimer soi-même avant d’aider les autres ; pour s’aider soi-même, il faut se connaître soi-même. Comme disait Socrate “Connais-toi toi-même (ou “Know Thyself-Connais le Soi”) J’ai la chance d’avoir connu un guide, Mr Prem Rawat Ambasador of Peace : il m’a montré comment m’aider et me connaître moi-même… Comme moi, ayez cette soif de vous connaître ; alors vous pourrez aider autrui ; si vous ne vous connaissez pas, vous posterez des milliers de pétitions, sur des centaines de sites pendant des années ; en espérant ; rien qu’espérer ?… “Charité bien ordonnée commence par soi-même” : c’est un dicton catholique, je crois, mais c’est un BON dicton : si on n’est pas sûr de soi, comment peut-on aider autrui ? “Je vous souhaite le meilleur” ! Chris, Toulouse.
En ces périodes de fêtes de fin d’année et particulièrement de Noël, merci à Monsieur Gabriel Combris de nous rappeler les cas des gens dont nous ne savons pas si oui ou non, ils nous entendent… si oui ou non, ils souffrent…si oui ou non, ils peuvent ressentir… juste pour nous rappeler d’être heureux parce que nous sommes “vivants” et possédons toutes nos facultés. Un grand merci pour le personnel qui sillonne et prenne soin de ces malades.
J’apprécie beaucoup vos articles, mais je ne sais toujours pas qui vous êtes M. Combris ( si tel est bien votre nom) .
Impossible d’en savoir plus sur le site, et impossible de vous laisser un message autrement que d&ans les commentaires.
Donc si vous voulez bien éclairer ma bougie, svp, répondez moi
Bien à vous
Bonjour Monsieur,
A la veille de Noël, votre lettre m’a beaucoup émue car je pense aussi à toutes ces personnes qu’on laisse malgré tout souffrir et pour qui la vie terrestre n’existe plus. Mais il y a toutes celles et ceux qui finissent leurs jours grabataires et dans des états de dégénérescence physique et mentale venus avec le grand âge ou la maladie . Pour ne vous parler que de la fin de vie de ma mère, survenue à l’âge de 96 ans, le 31 Décembre 2016, il lui a fallu un courage infini et cela m’a demandé de me battre pour lutter contre l’inertie médicale au moment où la maison de repos où elle se trouvait en fin de vie fonctionnait avec des médecins remplaçants. Malgré des directives anticipées où elle avait souhaité cesser de vivre pour ne pas rester dans un lit, squelettique et ne s’alimentant plus, il a fallu attendre plus d’une semaine pendant laquelle elle souffrait et demandait qu’on l’endorme et moi aussi… La morphine ne la calmait pas et ne faisait que provoquer d’atroces angoisses. Ce ne fut qu’après une nuit d’agonie épouvantable qu’enfin un médecin humain et spécialisé dans les soins palliatifs, a accepté de pratiquer une sédation profonde pour soulager nos souffrances, enfin! Deux ans plus tard et à la veille de ces fêtes, ma mère demeure auprès de moi par la pensée et me manque, mais je reste convaincue que nous avons fait le bon choix, car elle disait que ce n’était plus une vie de continuer ainsi…
D’où l’importance de tout prévoir au mieux pour sa fin de vie et aussi d’obtenir en France, le droit à l’euthanasie.
Toutes mes salutations et bonnes fêtes.
Monsieur Gabril Combris, MERCI pour votre message de Noël….qui m’émeut beaucoup
…Vous êtes formidable! et continuez, nous avons besoin de vous.
JOYEUX NOËL à VOUS ET VOTRE FAMILLE ET TOUS CEUX QUE VOUS AIMEZ, EN CETTE NUIT DE NOËL
ET QUE DIEU QUI VIENT à NOUS , ET NOTRE DOUCE VIERGE MARIE VOUS BENISSENT ET VOUS PROTEGENT AINSI QUE TOUS NOS FRERES SOUFFRANTS DONT VOUS PARLEZ AVEC TANT DE COEUR, ET CEUX QUI LES ACCOMPAGNENT SI GENEREUX, CONFIANTS, ET COURAGEUX
MAGNIFIQUE MESSAGE D’AMOUR DE SON PROCHAIN..
……………JOYEUX NOËL à VOUS TOUS.
VIVE DIEU, VIVE NOTRE FRANCE CHRETIENNE!
Chantal de Bengy-Puyvallée- Choisy
Merci pour cet article très touchant. Je suis très émue, par ces mots justes et tellement profond. Cela nous renvoie à notre profonde humanité et à notre fragilité. En effet, n’oublions pas que cela peut nous arriver. La vie est belle et sensible. Avec toute ma compassion pour ces personnes, leurs familles, leurs soignants.
Je vous souhaite de la lumière dans le coeur pour ce jour de Noël. Amen
Merci Monsieur Combris, j’admire votre analyse et j’avoue que j’ai écrit mes dernières volontés car, en aucun cas, je ne souhaite me trouver dans ces situations. Par contre j’admire celles et ceux qui font leur maximum pour soulager ces femmes et ces hommes que les uns et les autres se déchirent pour le maintien ou non de leurs vies.
Bonjour à tous. Mon mari a fait une embolie cérébrale il y a 10 ans. Comme nous en avions discuté longuement avant cet accident, après 1 mois en service de réanimation, en accord avec tous les enfants, son chirurgien vasculaire et sa sœur, j’ai demandé l’arrêt des traitements invasifs qu’il subissait. Deux jours après il est décédé tranquillement. Si c’était à refaire je le referai et je souhaiterais qu’on agisse de même pour moi. D’ailleurs mes enfants ont un courrier en ce sens que je renouvelle régulièrement.
Joyeux Noël à tous
Et moi je ferais quoi ? Je n’en sais rien…
Merci pour cette lettre émouvante
Un grand MERCI pour cette belle lettre pleine de sensibilité, de mesure et d’humanité. Le droit à la vie est essentiel et ne peut certainement pas être remis en cause par un corps médical dont on voit bien, dans le cas de Vincent Lambert, qu’il a perdu tout sens de l’éthique et toute conscience de sa seule raison d’être et d’exister : soigner et soulager l’être humain qui souffre !
Merci Monsieur Combris pour votre lettre qui nous rappelle la fragilité et la précarité de notre vie.
Toutes mes pensées remplies de compassion pour ces personnes immobilisées et leurs aidants.
NOËL, c’est vrai, fête la naissance de Jésus. Quand vous écrivez qu’il est le SAUVEUR des Chrétiens, ne nous trompons pas et essayons de comprendre. En effet, il est venu apporter son Message de Paix: en expliquant comment s’y prendre. Ainsi, appliquant son enseignement, chaque personne favorise cette Paix; pour lui-même; et si tout le monde s’y met sur la Terre entière ! ! !
Mais il me semble que tout le monde n’a pas bien compris. Et que c’est encore un peu le grand bazard sur cette Belle Terre.
Que penser du cas de Vincent Lambert? Son épouse et le personnel soignant s’occupe de lui avec dévouement et c’est formidable.
Et plus loin, vous écrivez: “un coup la vie, un coup la mort . . . ” On dit aussi que personne n’est revenu . . . ! Bof.
En fait, la mort existe t-elle vraiment ? C’est à dire plus rien après cette vie terrestre .
Dans la Nature, tout, absolument tout a un cycle de naissance, croissance, maturation, vieillissement, mort pour se recycler obligatoirement.
Pourquoi pas notre âme ? ! ! !
Bon Noël.
André Décarsin
Bonsoir!
En cette veille de Noël, j’ai été interpelée par votre article! Je vais le transférer à ceux de ma famille qui sont médecins ou qui était infirmière. BON COURAGE aux soignants et aux proches!
Cher Gabriel,
Merci pour ce regard porté sur notre société parfois tellement performante… et… parfois si démunie.
Je souhaite simplement à certains de nos médecins occidentaux, français notamment, une belle et généreuse ouverture d’esprit pour résoudre les cas “limites” (je pense notamment au recours aux médecines orientales, millénaires, généreusement oubliées dans nos protocoles de soins). Bonnes fêtes de fin d’année ! Bonnes fêtes d’espoir !
belle lettre, beau message et belle reconnaissance de Noel, et de la naissance de Jésus, de l Amour au plus profond de nos coeur ( suis croyante, catho, et bien que vous ne sembliez pas l étre, vous le vivez en vous )
Bonsoir, si l’on perd de vue Jésus et le sens de tout ce qu’il a voulu faire avec nous, le parallèle basé sur sa seule fragilité ne va pas bien loin. Croire ou ne pas croire en lui, en son enseignement, et chercher son aide, sa présence, cela donne un sens.
Que ferais-je sans lui là est la question. Sans souci de ce qu’il pense… C’est le sort le plus commun de l’homme d’aujourd’hui, éloigné de Dieu. Une situation où l’on doit puiser dans ce qui reste d’élevé et de désintéressé en nous….
Bon courage à tous ceux qui partage cette condition. Sans l’aide de Jésus, c’est tragique, surtout en cette période.
Bonnes fêtes malgré tout pour revenir aux choses du cœur et de l’Esprit.
Cher M. Cambris,
j’ai relu deux fois votre lettre. J’ai apprécié et aimé la vérité simple et profonde qu’elle transmet. Vous posez une question cruciale, d’une difficulté immense. Il me semble qu’il ne peut y avoir une réponse. Chaque cas est différent. Et nous ignorons tout de ce que perçoit un être en état végétatif, ou de conscience minimale, selon les définitions que vous citez. Ce que je crois avoir appris des expériences et réflections d’une longue vie, c’est la passivité: une conquête, pour la personne inquiète et hyper-active que j’étais. Une passivité fondée sur la foi. Croire que des forces intelligentes nous guident, les écouter, percevoir les signes qui conseillent d’agir ou de permettre que les choses s’accomplissent.
Je vous remercie de tout ce que vous faites, et de m’en donner l’occasion.
Avec mes meilleurs voeux Elisabeth
Bonjour,concerné par cette situation que je trouve sournoise,Frédéric attend quoi?voilà 8 ans qu’on le maintien en vie pourquoi? tout est détruit,regard blême pas de suivi,couché pas de mouvement, trachéotomie,membres qui s’atrophie voilà la vie de se garçon de 33ans.
Dite moi la meilleure solution pour l’entourage.
Vous m’avez faîte pleuré d’émotion. En ce jour de Noël nous avons besoin de remettre les pendules à l’heure sur ce qui est réellement notre vie
Maintenir en vie artificiellement une personne qui n’a plus aucune réaction et est en état végétatif chronique est totalement inhumain. Il faut accepter que la personne puisse partir sereinement et permettre à l’entourage de faire son deuil. La médiatisation de ces situations est totalement déplacée. Aujourd’hui, il faut anticiper ces décisions avec une ou plusieurs personnes de confiance et arrêter de polémiquer pour ne rien faire. La vie est pleine d’épreuves auxquelles il faut faire face.
Bonjour,
C’est vrai qu’il n’est pas facile de dire “moi je ferai ça ou pas” nous ne sommes pas à leur place. On y réfléchi vraiment quand on est dans cette situation. Nous avons des idées bien précises mais nous pouvons être amenés à en changer car nous nous disons que des progrès peuvent arriver très vite et sauver la personne aimée.
Je suis pour l’euthanasie mais si un jour je dois prendre la décision de laisser partir un être proche, en aurai-je le courage? je l’espère pour lui et pour moi.
Pour ma tante qui n’a pas d’enfant et dont je m’occupe pour tous les rdv médicaux, je suis La personne à joindre en cas de problèmes et qui doit prendre une “décision” si elle ne peut plus le faire….
Bravo à toutes celles et tous ceux qui prennent soin de ces patients …
Juste un mot : MAGNIFIQUE !
Bonjour
j’ai trop de misère a lire ces écrits en gris pensez donc a ceux qui ont de la misère
pourquoi ne pas mettre les écrits en noir…merci beaucoup et Bonne Années a tous..
D’après la Bible…
Le “droit de mourir”: qui doit en décider?
‘NE ME laissez plus végéter!’ implorait Clara, une femme âgée de 88 ans clouée sur son lit d’hôpital. Elle avait dû être réanimée trois fois en une semaine et son seul désir était de terminer sa vie en paix. Comme elle, beaucoup de malades incurables réclament la mort. Leur requête place les médecins et les juges devant une question litigieuse, et les proches parents du patient devant un choix douloureux. Mais à qui la décision appartient-elle?
Les causes du dilemme
Selon le livre Face à la mort (angl.), il arrive qu’“on prolonge la vie d’une manière insensée dans les hôpitaux par une débauche de technique médicale”. La question du droit de mourir dignement se pose lorsqu’une mort imminente peut être retardée par des moyens médicaux exceptionnels. Un patient ne peut-il, dans une certaine mesure, choisir son genre de mort, décider s’il finira dans d’atroces souffrances ou en paix? Comme la Nouvelle encyclopédie britannique l’explique, “quand un patient est artificiellement maintenu en vie, un dilemme moral très controversé se pose. La question est alors de savoir si l’on devrait ou non débrancher l’appareil”. Un chirurgien qui opère dans un grand centre médical américain soulève les questions suivantes: “Est-ce un meurtre de débrancher le respirateur? Sur le plan éthique ou moral, y a-t-il une différence entre le fait de ne pas le mettre en marche et celui de l’arrêter une fois qu’il est en fonctionnement?”
Le dilemme se complique d’autant plus qu’il n’existe ni une définition uniformément acceptée des termes “vivant” et “mort”, ni de moyens sûrs permettant d’établir sans doute possible qu’un malade est “incurable” ou “mourant”. Les moyens que l’on qualifie d’“exceptionnels” diffèrent suivant l’endroit, l’époque et les compétences du spécialiste traitant. D’autre part, des conflits éclatent parfois entre les désirs des patients, des proches parents et du personnel médical. En outre, comme le docteur Oladapo Ashiru l’a reconnu lors d’un colloque sur l’éthique médicale tenu en 1982 à la faculté de médecine de l’université de Lagos, au Nigeria, “il est difficile de déterminer objectivement à quel moment quelqu’un est conscient qu’il va mourir”.
Ces questions posent un problème de conscience aux médecins qui pensent devoir respecter les convictions morales, éthiques et religieuses. C’est pourquoi le docteur Ashiru est arrivé à cette conclusion: “Il faut aborder chaque cas avec beaucoup d’attention, de respect, de bon sens médical, de retenue et aussi de fermeté.”
Le point de vue biblique
La vie est un don sacré de notre Créateur (Psaume 36:9). Il faut lui accorder du prix. Par respect pour le point de vue de Dieu sur la vie, en considération de la loi des hommes, et pour garder une bonne conscience, le chrétien ne peut en aucun cas causer intentionnellement la mort de quelqu’un. — Exode 20:13; Romains 13:1, 5.
Les médecins reconnaissent qu’“en réalité les efforts intenses déployés pour préserver la vie en viennent parfois à prolonger l’agonie plutôt que la vie.” Que faire donc si les médecins affirment pouvoir tout au plus retarder la mort par des moyens artificiels? Quand de toute évidence la fin est imminente ou inéluctable, la Bible n’oblige personne à prolonger artificiellement l’agonie. Dans un tel cas, ce ne serait pas violer la loi divine que de laisser la mort survenir.
Un chrétien jugera utile de méditer sur ces récits bibliques: Après avoir été, leur semblait-il, à l’article de la mort, Job et Ézéchias se sont tous deux rétablis (Job 7:5, 6; 42:16; II Rois 20:1-11). Il ne faut donc pas conclure trop hâtivement que quelqu’un est mourant. L’issue a toutefois été différente dans le cas de Ben-Hadad (II Rois 8:7-15). Quand Saül demanda à son porteur d’armes de l’aider à ‘mourir dignement’, celui-ci refusa d’accéder à sa requête; David, cependant, déclara meurtrier un autre homme qui, lui, prétendait avoir provoqué cette ‘euthanasie’, et il l’exécuta (I Samuel 31:4; II Samuel 1:6-16). La Bible n’approuve donc pas le fait de hâter la mort.
Ces exemples soulignent la nécessité d’être prudent quand il faut faire face à de telles situations de nos jours. Chaque cas est particulier, et les personnes concernées doivent prendre une décision en ayant recours à la prière et en respectant comme il se doit le point de vue de Dieu sur le caractère précieux de la vie. Rébecca nous a laissé un excellent exemple sous ce rapport. Quand elle s’inquiéta pour sa vie, “elle alla interroger Jéhovah”. — Genèse 25:22.
À qui appartient la décision?
On entend souvent cette question: ‘De toute manière, à qui appartient la vie?’ La décision revient essentiellement au patient, car il est le dépositaire de ce don du Créateur (Actes 17:28). Cependant, s’il n’est plus en mesure de prendre un parti, son plus proche parent ou un représentant légal peut le faire à sa place. Dans tous les cas, ce remplaçant doit respecter et défendre les droits du patient, et non les siens. Pareillement, quand il s’agit d’enfants mineurs, les parents ont la responsabilité biblique et le droit légal de décider pour eux. — Psaume 127:3.
D’autre part, comme l’affirme une revue juridique, “beaucoup sont d’avis qu’une salle d’audience n’est pas l’endroit idéal pour choisir un traitement. (…) Les tribunaux sont mal équipés pour prendre ce genre de décision à la place du patient”. Quant au médecin, n’enfreindrait-il pas la déontologie médicale s’il imposait ses propres convictions religieuses à son patient? Il se doit de respecter les convictions religieuses du malade, ou alors de se rétracter si un grave conflit surgit entre sa conscience et celle de ce dernier. La meilleure décision qui soit pour le patient est généralement prise lorsque celui-ci examine la question avec son médecin, un ministre religieux et ses proches parents.
Quelles que soient les conséquences de la décision prise, les chrétiens peuvent avoir confiance en la promesse du Créateur selon laquelle un temps viendra où personne ne dira plus: “Je suis malade.” (Ésaïe 33:24). Les personnes atteintes d’une maladie incurable peuvent puiser de l’espoir en la merveilleuse promesse divine de la résurrection dans le Paradis où chacun vivra en bonne santé sous le Royaume de Dieu (Actes 24:15; Révélation 21:1-4). Bientôt, par l’intermédiaire de Jésus Christ, Jéhovah Dieu accordera aux humains obéissants le droit de vivre oui, de vivre éternellement. — Jean 3:36.
-POUR le chrétien, le choix et les limites des soins à prodiguer à un malade condamné peuvent soulever des questions lourdes de conséquences. Par exemple:
Serait-il contraire aux Écritures de ne pas faire l’impossible pour préserver la vie? Et s’il est moralement acceptable de laisser quelqu’un mourir naturellement, c’est-à-dire sans mettre en œuvre des techniques dites héroïques, que penser de l’euthanasie, l’acte qui consiste à mettre fin aux souffrances d’un malade en abrégeant délibérément sa vie?
De nos jours, ces questions se posent avec une grande acuité. Toutefois, nous ne sommes pas sans aide pour y répondre.
Un rédacteur divinement inspiré a dit avec justesse: “Dieu est pour nous un refuge et une force, un secours facile à trouver durant les détresses.” (Psaume 46:1). Cela est également vrai en rapport avec le sujet qui nous concerne. Jéhovah Dieu est le mieux placé pour nous aider, car il est le plus sage et celui qui a le plus d’expérience. Il a observé la vie de milliards d’humains. Il sait mieux que n’importe quel médecin, moraliste ou homme de loi ce qui nous convient. Considérons donc quelle aide il nous fournit. — Psaume 25:4, 5; Hébreux 4:16.
Une vision réaliste de la vie
Soyons conscients que l’acharnement thérapeutique n’est pas inspiré par les seuls technologues de la médecine. Il découle naturellement de l’idée qu’on se fait aujourd’hui de la vie. En effet, si l’homme n’a rien d’autre à attendre que la vie présente, il peut sembler logique de vouloir préserver celle-ci en toutes circonstances et à tout prix. Toutefois, cette vision matérialiste de l’existence donne parfois lieu à des situations proprement cauchemardesques lorsque des personnes plongées dans le coma sont maintenues artificiellement “en vie” pendant des années.
D’un autre côté, il y a ceux qui croient en l’immortalité de l’âme. Selon eux, la vie n’est qu’une étape vers une condition meilleure. Platon, l’un des pères de cette doctrine, déclarait:
“Mourir, en effet, c’est l’une ou l’autre de ces deux choses; car, ou bien la chose est de telle sorte que le mort n’a absolument pas d’existence et qu’il n’a non plus aucune conscience de quoi que ce soit, ou bien, comme on le dit, c’est précisément un changement d’existence, et, pour l’âme, une migration de ce lieu-ci vers un autre lieu. (…) Quel bien, vous, Citoyens qui êtes des juges, pourrait-il y avoir qui fût plus grand que celui-là?”
Une personne ayant une telle croyance pourrait considérer la mort comme une amie, l’attendre, voire la précipiter. Or, la Bible enseigne que la vie est sacrée aux yeux de Jéhovah. “Auprès de toi est la source de la vie”, a écrit le psalmiste sous inspiration (Psaume 36:9). Dès lors, un chrétien digne de ce nom devrait-il accepter de participer à un acte d’euthanasie?
D’aucuns y trouvent une référence dans le passage des Écritures où le roi Saül, grièvement blessé, supplie son porteur d’armes de le tuer. Ils voient là une forme d’euthanasie, un acte délibéré visant à hâter la mort d’un agonisant. La suite du récit montre qu’un Amalécite se vantera d’avoir accédé à la requête de Saül. Mais, a-t-on considéré que cet homme avait accompli une bonne action en abrégeant les souffrances du roi? Nullement. David, l’oint de Jéhovah, le fit exécuter pour ce meurtre (1 Samuel 31:3, 4; 2 Samuel 1:2-16). Par conséquent, un chrétien ne peut en aucun cas citer cet épisode biblique pour justifier l’euthanasie*.
Cela signifie-t-il qu’un chrétien est tenu de faire tout ce qui est techniquement possible pour entretenir une vie qui s’éteint? Faut-il prolonger l’agonie le plus longtemps possible? La Bible enseigne que la mort est, non pas une amie de l’homme, mais une ennemie (1 Corinthiens 15:26). Par ailleurs, les morts n’éprouvent ni souffrances ni sentiment de béatitude, mais ils sont plongés dans un état comparable au sommeil (Job 3:11, 13; Ecclésiaste 9:5, 10; Jean 11:11-14; Actes 7:60). Les perspectives de vie des personnes décédées dépendent entièrement du pouvoir de Dieu de les ressusciter par l’entremise de Jésus Christ (Jean 6:39, 40). Nous constatons donc que Dieu nous a donné cette connaissance des plus utiles: Il ne convient pas de souhaiter la mort, mais ce n’est pas une raison pour prolonger l’agonie par tous les moyens.
La ligne de conduite chrétienne
Quelle ligne de conduite un chrétien pourrait-il suivre dans le cas où l’un de ses proches se trouverait à l’article de la mort?
Tout d’abord, il faut se dire que chaque situation impliquant la phase terminale d’une maladie est différente, tragiquement différente, et qu’il n’existe pas de règles universelles. De plus, il convient de tenir compte des lois du pays (Matthieu 22:21). Enfin, gardez présent à l’esprit que l’amour chrétien est parfaitement incompatible avec la négligence médicale.
C’est seulement lorsqu’un patient est manifestement au stade terminal de sa maladie (qu’il est clair que la situation est sans espoir) qu’on devrait envisager de faire débrancher l’appareillage qui le maintient en vie. Dans de tels cas, rien dans les Écritures ne justifie le recours à une technologie qui ne ferait que prolonger une agonie déjà bien avancée.
Ces situations souvent très difficiles peuvent appeler des décisions déchirantes. Comment être sûr, par exemple, qu’il n’y a vraiment plus d’espoir? Il est vrai qu’on ne peut jamais être affirmatif à 100 %; mais après en avoir discuté en profondeur, il convient de se montrer raisonnable. Voici le conseil qu’un journal médical adressait aux médecins:
“En cas de désaccord sur le diagnostic ou le pronostic, ou sur les deux, la procédure de maintien en vie devrait être poursuivie jusqu’à ce qu’un accord raisonnable soit atteint. Cependant, vouloir à tout prix des certitudes au delà de ce qui est raisonnable peut gêner le médecin dans son choix d’un traitement lors de situations apparemment sans espoir. Les cas très rares de patients se trouvant dans un état identique et ayant survécu ne suffisent pas à eux seuls à justifier la poursuite d’un traitement agressif. Cette éventualité statistique négligeable ne l’emporte pas sur le pronostic raisonnable qui doit guider la décision dans le choix d’un traitement.”
Dans une situation aussi difficile, le chrétien, qu’il soit le patient ou l’un de ses proches, devrait pouvoir compter sur l’aide de son médecin. L’article mentionné ci-dessus concluait ainsi: “Quoi qu’il en soit, il n’est pas normal de se contenter d’apporter une masse de faits et de choix médicaux, pour laisser ensuite le patient se débattre seul sans le conseiller quant au choix d’une intervention ou d’une non-intervention.”
Par leur maturité, les anciens de la congrégation locale peuvent également se révéler d’un grand soutien. Bien sûr, dans cette situation extrêmement pénible sur le plan affectif, c’est au patient et à ses proches qu’il appartient de prendre la décision finale.
En dernier lieu, méditez sur ces quelques points: Les chrétiens souhaitent ardemment continuer à vivre pour servir Dieu. Malgré tout, ils savent pertinemment que, dans le système actuel, tous les humains sont appelés à mourir; d’une certaine façon, nous sommes donc tous atteints d’une maladie incurable. Seule la rançon, le sang versé par Jésus Christ, nous donne l’espoir d’échapper à ce triste sort. — Éphésiens 1:7.
Si la mort nous enlève un être cher, aussi cruelle cette disparition soit-elle, nous ne sombrons pas dans l’affliction “comme les autres qui n’ont pas d’espérance”. (1 Thessaloniciens 4:13.) Nous pouvons puiser du réconfort dans l’idée que nous aurons fait tout ce qui était raisonnablement possible pour le malade et que toute l’assistance médicale mise en œuvre aura apporté à ce dernier ce qu’il y a de mieux pour l’instant. Par ailleurs, nous avons la promesse réjouissante d’être libérés de toutes ces sources de tristesse quand ‘le dernier ennemi, la mort, sera réduit à néant’. — 1 Corinthiens 15:26.
Car c’est bien de Dieu que viendra finalement la meilleure des assistances, de lui qui fit don de la vie aux premiers humains et qui promet de ressusciter ceux qui exercent la foi en lui et dans son Fils, Jésus Christ. — Jean 3:16; 5:28, 29.
Tous mes bons voeux
Et surtout continuer dans cette ascension où déjà la conscience à pris la réalité car la santé est dans la nature, heureusement que beaucoup de personnes ont pris conscience que les empoisonneurs ne feront plus recette, car aussi il voulait faire mains mises sur les huiles essentielles. A rappeler que BIG PHARMA a aidé financièrement beaucoup de politiciens à être en place pour les présidentielles afin qu’il nous distribue avec obligations de vacciner nos petits et autres.
Bonjour Monsieur Combris,
Meilleurs vœux pour 2019.
Mon avis est que l’intention de votre engagement est l’aide aux autres donc sauf si derrière votre question il y a une fatigue et un besoin de faire une pause pourquoi ne pas continuer…
Merci de votre démarche.
Sincèrement
continuer car il n’y a pas assez de voies qui s’élèvent contre big pharma et cela est rassurant de savoir que la médecine naturel est défendue
MERCI
Mr Combris,bonjour
Je vous souhaite une merveilleuse année, avec encore plus de recherche dans cette médecine du 3ème millénaire.Je suis de tout coeur avec vous.Nous comptons sur vous, pour ce terrible combat contre Big Pharma.CDT Couloumy.
Je suis medecin belge (Dr. F. Bonne) depuis 1961. J’ai fait de la médecine classique jusqu’en 1975 et puis, dégouté par cette médecine -business je me suis spécialisé en étudiant différentes branches de la médecine “parallèle” e.a. homéopathie; mésothérapie; naturopathie (= H.E. ; médecine des plantes etc..) médecine énergétique; médecine anti-obésité (J. Moron), l’acuponcture en Chine.
Je peux vous confirmer que cette médecine est une merveille et soigne les patients de loin mieux et avec d’excellents résultats. Cette médecine ne laisse pas d’effets secondaires indésirables comme la médecine de Big Pharma.
En outre, nos ancêtres se soignaient par la médecine naturelle. La médecine classique n’existe que depuis la fin des années 1880! Donc elle ne doit pas s’appropier la santé de nos concitoyens comme elle était la vraie et unique médecine existant dans ce bas monde. Cette “Evidence Based Medicine” a encore beaucoup de reatard à rattraper pour pouvoir concurrencer la VRAIE médecine qu’est la médecine naturelle!!
Votre combat doit être soutenu
Ne vous découragez surtout pas ! Les attaques actuelles contre les médecines naturelles sont le signe de l’inquiétude des “chimistes”.
En tenant bon, vous arriverez, avec nous, à les faire céder.
Pour ma part, je me soigne depuis toujours avec de l’homéopathie et avec l’aide de la médecine anthroposophique. J’ai 84 ans et n’ai aucune raison de me plaindre de mon sort.
Bon courage !
Vers 20 ans j’ai compris que les médicaments n’étaient pas bon pour soigner. Même plus jeune j’étais attiré par les plantes qui soignent. Aujourd’hui 40 années après je n’ai jamais plus eu recourt aux médicaments seul la nature par les abeilles, les plantes, huiles essentiels me soignent et bien plus vite et mieux que les médicaments sur les personnes qui m’en tour. Le problème c’est de connaître d’abord la maladie et comment la soignée naturellement. Donc nous avons besoins de personnes qui savent. Si on réfléchis bien est-ce que Dieu qui a tout fait avec Amour et équilibre ce monde pour l’homme, n’a t-Il pas fait de façons que l’on puisse ce soigné naturellement ? Est-ce que les produits chimiques sont bon ? Les médicaments c’est la fortune des laboratoires, et avec d’autres multi-national, banques, ils gouvernent le monde. Facile de comprendre que les plantes et autres choses que l’on trouve facilement à pas cher, c’est leurs pire ennemis. Vive la nature merci de continué.
Nous Sommes sous la coupe des laboratoires pharmaceutiques; prisonniers comme nous le sommes du système bancaire; il existe beaucoup de méthodes de soins de par le monde; mais en France tout devient interdit comme me l’on dit un jour en famille une bande de pharmaciens amis de mon gendre lui même pharmacien alors que je recommandais a son père médecin l’homéopathie pour faire baisser sa tension artérielle; “tu nous enlève le pain de la bouche, un médicament contre la tension artérielle coute 50 € et l’homéopathie 2€50” personne ne s’est préoccupé du malade qui pourtant était notre hôte et lui même médecin et qui en était a 3 médicaments différents par jour alors que moi dans le même temps je prenais des granules et m’en portait très bien.
Est-ce que quelqu’un a deja utilise le site de teleconsultation de [url=https://www.maquestionmedicale.fr/]MaQuestionMedicale[/url] pour voir un medecin de garde? Pouvez-vous me donner votre avis?
Oui absolument il faut se soigner avec des solutions naturelles par les huiles essentielles ou les plantes
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Après le décès de mon père le04 /02/22je souffrent d’insomnie comment me soigner